Classement des sorties VOD/DTV/Cinéma 2021 [clos]

[Jack Carter]

oui, mais rapidement (quelques minutes), à l'instar de Desperate hours et Sunchaser.

[Kevin95]

OK merci.

[Supfiction]

The Tomorrow War : 1/10

L’argument de départ à la Terminator + Indépendance day avait l’air sympa mais les notes ici refroidissent sacrément.

[Mosin-Nagant]

Je ne sais pas ce que va donner ce film mais l'affiche est jolie.

[Outerlimits]

The deep house : 6/10

[Alibabass]

Les films de Kôji Fukada ça marche 1 fois sur deux, et j'ai même l'impression que c'est les films dont la distribution en France s'est faite très très modeste qui sont les plus réussie. Il y a pile un an, j'avais vu l'Infirmière ... pfff relou ... Harmonium, casse-gueule au possible les 15 minable dernières minutes.

Alors que Au Revoir l'été, était bien plus fin qu'il y parait avec une transgression douce. Hospitalité !??? il est sorti dans quoi ... 10 salles tout comme Sayonara ... et pour le soupir des vagues (sorti au Japon en 2018) risque de finir comme cela, dans une boite à chaussure ... et il sera au final bien, qui c'est ?? Relou encore une fois le côté pile ou face ...

[douane eddy]

Il n'y aura plus de nuit : 7.5/10

[Mosin-Nagant]

et il sera au final bien, qui c'est ??

Oui, qui sait? Mon cinéma d'A&E le proposera, dans tous les cas...

[Jack Carter]

Les films de Kôji Fukada ça marche 1 fois sur deux, et j'ai même l'impression que c'est les films dont la distribution en France s'est faite très très modeste qui sont les plus réussie. Il y a pile un an, j'avais vu l'Infirmière ... pfff relou ... Harmonium, casse-gueule au possible les 15 minable dernières minutes.

Alors que Au Revoir l'été, était bien plus fin qu'il y parait avec une transgression douce. Hospitalité !??? il est sorti dans quoi ... 10 salles tout comme Sayonara ... et pour le soupir des vagues (sorti au Japon en 2018) risque de finir comme cela, dans une boite à chaussure ... et il sera au final bien, qui c'est ?? Relou encore une fois le côté pile ou face ...

vu il y a deja deux ans au festival Kinotayo dans ma ville, j'avais apprecié.

[zemat]

FEAR STREET PART ONE : 1994 : 6,5/10
Une sorte de mix entre Scream et Stranger Things, ça ne va pas beaucoup plus loin mais c'est assez fun, visuellement l'usage de la lumière et des couleurs claque bien en 4K / Dolby Vision, assez hâte de voir la suite.

[AtCloseRange]

Annette 3/10

[Spongebob]

Annette 3/10

Ça commence bien. Je vais essayer d'aller le voir ce week-end au Max Linder, une des trois salles parisiennes qui a reçu l'aval du réalisateur.

[AtCloseRange]

Annette 3/10

Ça commence bien. Je vais essayer d'aller le voir ce week-end au Max Linder, une des trois salles parisiennes qui a reçu l'aval du réalisateur.

Je ne sais pas si c'est vraiment pire que Holy Motors (auquel j'avais mis un 4) mais ce qui est sûr c'est que le cinéaste de Mauvais Sang et des Amants du Pont Neuf est définitivement mort et enterré.

[zemat]

Ça commence bien. Je vais essayer d'aller le voir ce week-end au Max Linder, une des trois salles parisiennes qui a reçu l'aval du réalisateur.

Je ne sais pas si c'est vraiment pire que Holy Motors (auquel j'avais mis un 4) mais ce qui est sûr c'est que le cinéaste de Mauvais Sang et des Amants du Pont Neuf est définitivement mort et enterré.

Suis assez tenté malgré le 3.5 collé à Holy Motors, notamment parce que j'ai une énorme appétence pour les films baignant dans la musique ("Moulin Rouge !" et "Magnolia" sont mes deux films préférés) mais j'avoue que les 2h20 me font assez peur (si c'est chiant, je vais souffrir...).

[Alibabass]

Kuessipan (Myriam Verreault & Naomi Fontaine, co-scénariste du film et adaptation libre du roman éponyme de cette dernière) : 8,5/10
- Un film bien remarqué dans son pays en 2019, et qui a reçu le prix TV5 dans un festival au Quebec dont j'ai oublié le nom. Je l'avais découvert sur TV5 pendant le 1er confinement, et c'est avec étonnement que je le vois enfin au cinéma. Une vision différente, pour un film "monde" qui parle d'une communauté Indo-Quebecoise sous le prisme de deux amies, de l'enfance (en intro) pour une très belle ellipse jusqu'au moment ou elles deviennent jeunes adultes. Moins formaliste que le premier film de Chloé Zhao, mais il en dégage un sentiment assez sublime de transmission et de liberté jouant sur l'écriture, le regard est là, cinéaste à suivre.