Commentaires à propos de votre film du mois

[Arn]

ma participation à la campagne de financement pour les deux bouquins

Ah ouais ?

Ah tu l'as manqué ? Ça avait été relayé dans un ou deux topics ici : https://www.kisskissbankbank.com/fr/pro ... eux-livres

[Frances]

Il m'arrive, de faire parfois l'impasse sur des merveilles parce que je ne veux pas trop me disperser. Et quand la rencontre se fait au détour d'un rayon de médiathèque, je m'en veux d'avoir à ce point tardé. Bref, Où est la maison de mon ami de Abbas Kiarostami risque fort de rafler la première place sur le podium.

[Spongebob]

Premier prétendant du mois :

[Major Tom]

Premier prétendant du mois :

Ah oui !

[Frances]

[Major Tom]

PLUIE D'ENFER (Mikael Salomon, 1998) 5,5

[Père Jules]

Je valide globalement l'appréciation selon laquelle on aimerait bien qu'un film d'action aujourd'hui soit de cet acabit ; ça n'empêche que je me suis globalement emmerdé

[Major Tom]

Je valide globalement l'appréciation selon laquelle on aimerait bien qu'un film d'action aujourd'hui soit de cet acabit ; ça n'empêche que je me suis globalement emmerdé

Au fait, elle n'est pas à jour ta liste des films du mois, je crois qu'il y manque un polar mélancolique ou un truc de ce genre.

[Père Jules]

Je valide globalement l'appréciation selon laquelle on aimerait bien qu'un film d'action aujourd'hui soit de cet acabit ; ça n'empêche que je me suis globalement emmerdé

Au fait, elle n'est pas à jour ta liste des films du mois, je crois qu'il y manque un polar mélancolique ou un truc de ce genre.

[Alexandre Angel]

Hard Rain, (Mikael Salamon, 1998) 1/10
Bouse infâme et générique symptomatique des pires films d’actions des 90’s, période la plus décomplexée idiotement parlant. Sans structure, écrit avec le derche, le film ressemble à une suite ininterrompue de scènes d’action profondément débiles (mention à celle des jet ski), pour un résultat qui oscille entre endormissement et consternation. Mise en scène sans le moindre sens spatial, acteurs en déroute, écriture à la truelle, couplée à un rythme absolument léthargique, sans oublier une esthétique immonde de vitre sale, parachève de honte ce machin indigeste destiné aux palais les plus gâtés. Enfin, un heureux et digne successeur de Speed 2, cet autre daube amphibie, reléguée à raison, aux confins du devoir d’oubli. La patine du temps n’excuse pas tout.

[Jack Carter]

[cinephage]

Bravo, en tout cas, vous avez réussi à faire regarder le film à G.T.O.

Maintenant, arrêter de lui jouer des tours...

[Flol]

Hard Rain, (Mikael Salamon, 1998) 1/10
Bouse infâme et générique symptomatique des pires films d’actions des 90’s, période la plus décomplexée idiotement parlant. Sans structure, écrit avec le derche, le film ressemble à une suite ininterrompue de scènes d’action profondément débiles (mention à celle des jet ski), pour un résultat qui oscille entre endormissement et consternation. Mise en scène sans le moindre sens spatial, acteurs en déroute, écriture à la truelle, couplée à un rythme absolument léthargique, sans oublier une esthétique immonde de vitre sale, parachève de honte ce machin indigeste destiné aux palais les plus gâtés. Enfin, un heureux et digne successeur de Speed 2, cet autre daube amphibie, reléguée à raison, aux confins du devoir d’oubli. La patine du temps n’excuse pas tout.

C'est extraordinaire.

[Torrente]

Même quand il défonce des films que j'apprécie, il me fait marrer.

[Arn]

Le nouveau favori du mois :


Où est la maison de mon ami ? (Abbas Kiarostami - 1987)
Tout y est formidable. La manière dont l'enjeu, pourtant "banal", nous tiens en haleine du début à la toute fin. L'aspect conte, avec une loi morale qui transcende le reste. La manière de filmer les enfants et les adultes (et surtout les enfants au milieu du monde des adultes). La poésie.
Bref chef d'oeuvre.