Commentaires à propos de votre film du mois
Modérateurs : cinephage, Karras, Rockatansky
- John Holden
- Réalisateur
- Messages : 6230
- Inscription : 1 sept. 14, 21:41
- Contact :
Re: Commentaires à propos de votre film du mois
Poisson (pané) d'avril ?
Je ne l'avais pourtant pas détesté, comme beaucoup ici, ce film assez attachant.
Je ne l'avais pourtant pas détesté, comme beaucoup ici, ce film assez attachant.
"Il y a des gens qui parlent, qui parlent - jusqu'à ce qu'ils aient enfin trouvé quelque chose à dire." Sacha Guitry (Mon père avait raison, 1936)
"Il y a des gens qui cherchent, qui cherchent - jusqu'à ce qu'ils aient enfin trouvé la capture." Rick Blaine
-
- Assistant opérateur
- Messages : 2394
- Inscription : 10 mai 03, 10:20
Re: Commentaires à propos de votre film du mois
J'ai vu en mars

*** excellent / ** bon / * moyen / 0 mauvais / NS ne sait
La Princesse grenouille / Tsareva Iyagushka / The frog Princess (Mikhaïl Tsekhanovski, 1954) *** Mon film du mois
Le fils d'un roi part délivrer une princesse transformée en grenouille par un sorcier qu'elle a éconduit. Un moyen-métrage qui concentre en 40 minutes les merveilles des contes populaires et de l'animation soviétique avec son histoire aux métaphores emboîtées en poupées russes, ses mouvements fluides - travaillés en motion capture - et ses décors colorés de forêts et de châteaux. Sans mignonnerie ni superflu, toute la pureté du classicisme. YouTube
Show Boat (George Sidney, 1951) **
Les amours et les drames d'une petite troupe de comédiens d'un bateau théâtre sur le Mississippi. S'il n'égale pas le chef-d'oeuvre de James Whale de 1936, cette adaptation MGM du merveilleux musical de Kern & Hammerstein en impose avec son Technicolor hurlant, son dosage de sourire et de pathos et Howard Keel, Kathryn Grayson et Ava Gardner. Mais les morceaux chantés sont un peu mous, "Old Man River" compris. BR US
Jazz à Newport / Jazz on a summer's day (Bert Stern, 1959) **
En juillet 1958, sur scène et avec les vacanciers au festival de jazz de Newport. Le premier film de concert non classique réalisé est, au-delà de l'alignement de Thelonious Monk, Anita O'Day, Big Maybelle, Chuck Berry, Louis Armstrong, une formidable time capsule d'humanité radieuse. Représentant la moitié des images, les beaux visages des spectateurs de toutes couleurs de peau irradient. Et ce final avec Mahalia Jackson ! BR US
La mousson / The rains of Ranchipur (Jean Negulesco, 1955) **
Aux Indes dans les années 30, un couple en visite chez des expatriés se fissure quand la femme s'éprend d'un docteur indien et que la mousson provoque un tremblement de terre. Un mélodrame colonial sublimement absurde, tout centré sur les occidentaux, les deux seuls autochtones étant Richard Burton et la Maharani Eugenie Leontovich, frottés au brou de noix. Avec le Cinemascope, le Technicolor et Lana Tuner, je me régale. BR FR
Sainte Maud / Saint Maud (Rose Glass, 2019) *
A Scarborough, une jeune femme perturbée est chargé de s'occuper d'une ex-chorégraphe mourant d'un cancer. Bien interprété par ses deux actrices principales (Morfydd Clark et Jennifer Ehle), un drame intimiste flirtant avec l'horror religieux qui souffre de trop rappeler de meilleurs films sur la schizophrénie ou le mysticisme. Mais vu comme une métaphore des ravages de la solitude extrême, ça se tient malgré les maladresses. BR UK
Piège pour Cendrillon (André Cayatte, 1965) **
Brûlée et amnésique suite à un incendie qui a tué sa riche "cousine" dont elle était le sosie, une jeune femme tente de comprendre ce qui s'est passé. D'après un roman de Sébastien Japrisot, un thriller à la Hitchcock à la française qui n'est pas sans défauts dans l'écriture mais qui est porté par ses personnages : un triple rôle pour Dany Carrel qui s'en sort bien et surtout la formidable lesbienne manipulatrice de Madeleine Robinson. BR FR
Vaiana : La légende du bout du monde / Moana (Ron Clements & John Musker, 2016) **
Une ado polynésienne s'aventure hors de son île pour rendre son coeur à une déesse de la Nature qui se l'est fait voler, plongeant la région dans un désastre environnemental. Avec son message animiste, féministe et écologiste, un dessin animé Disney pour notre temps, qui s'égare un peu dans l'action au milieu mais dont le spectacle des décors et des couleurs est formidable, comme la chanson "Shiny" du crabe-démon. Très sympa. BR FR

*** excellent / ** bon / * moyen / 0 mauvais / NS ne sait
La Princesse grenouille / Tsareva Iyagushka / The frog Princess (Mikhaïl Tsekhanovski, 1954) *** Mon film du mois
Le fils d'un roi part délivrer une princesse transformée en grenouille par un sorcier qu'elle a éconduit. Un moyen-métrage qui concentre en 40 minutes les merveilles des contes populaires et de l'animation soviétique avec son histoire aux métaphores emboîtées en poupées russes, ses mouvements fluides - travaillés en motion capture - et ses décors colorés de forêts et de châteaux. Sans mignonnerie ni superflu, toute la pureté du classicisme. YouTube
Show Boat (George Sidney, 1951) **
Les amours et les drames d'une petite troupe de comédiens d'un bateau théâtre sur le Mississippi. S'il n'égale pas le chef-d'oeuvre de James Whale de 1936, cette adaptation MGM du merveilleux musical de Kern & Hammerstein en impose avec son Technicolor hurlant, son dosage de sourire et de pathos et Howard Keel, Kathryn Grayson et Ava Gardner. Mais les morceaux chantés sont un peu mous, "Old Man River" compris. BR US
Jazz à Newport / Jazz on a summer's day (Bert Stern, 1959) **
En juillet 1958, sur scène et avec les vacanciers au festival de jazz de Newport. Le premier film de concert non classique réalisé est, au-delà de l'alignement de Thelonious Monk, Anita O'Day, Big Maybelle, Chuck Berry, Louis Armstrong, une formidable time capsule d'humanité radieuse. Représentant la moitié des images, les beaux visages des spectateurs de toutes couleurs de peau irradient. Et ce final avec Mahalia Jackson ! BR US
La mousson / The rains of Ranchipur (Jean Negulesco, 1955) **
Aux Indes dans les années 30, un couple en visite chez des expatriés se fissure quand la femme s'éprend d'un docteur indien et que la mousson provoque un tremblement de terre. Un mélodrame colonial sublimement absurde, tout centré sur les occidentaux, les deux seuls autochtones étant Richard Burton et la Maharani Eugenie Leontovich, frottés au brou de noix. Avec le Cinemascope, le Technicolor et Lana Tuner, je me régale. BR FR
Sainte Maud / Saint Maud (Rose Glass, 2019) *
A Scarborough, une jeune femme perturbée est chargé de s'occuper d'une ex-chorégraphe mourant d'un cancer. Bien interprété par ses deux actrices principales (Morfydd Clark et Jennifer Ehle), un drame intimiste flirtant avec l'horror religieux qui souffre de trop rappeler de meilleurs films sur la schizophrénie ou le mysticisme. Mais vu comme une métaphore des ravages de la solitude extrême, ça se tient malgré les maladresses. BR UK
Piège pour Cendrillon (André Cayatte, 1965) **
Brûlée et amnésique suite à un incendie qui a tué sa riche "cousine" dont elle était le sosie, une jeune femme tente de comprendre ce qui s'est passé. D'après un roman de Sébastien Japrisot, un thriller à la Hitchcock à la française qui n'est pas sans défauts dans l'écriture mais qui est porté par ses personnages : un triple rôle pour Dany Carrel qui s'en sort bien et surtout la formidable lesbienne manipulatrice de Madeleine Robinson. BR FR
Vaiana : La légende du bout du monde / Moana (Ron Clements & John Musker, 2016) **
Une ado polynésienne s'aventure hors de son île pour rendre son coeur à une déesse de la Nature qui se l'est fait voler, plongeant la région dans un désastre environnemental. Avec son message animiste, féministe et écologiste, un dessin animé Disney pour notre temps, qui s'égare un peu dans l'action au milieu mais dont le spectacle des décors et des couleurs est formidable, comme la chanson "Shiny" du crabe-démon. Très sympa. BR FR
... and Barbara Stanwyck feels the same way !
Pour continuer sur le cinéma de genre, visitez mon blog : http://sniffandpuff.blogspot.com/
Pour continuer sur le cinéma de genre, visitez mon blog : http://sniffandpuff.blogspot.com/
- Jeremy Fox
- Shérif adjoint
- Messages : 102557
- Inscription : 12 avr. 03, 22:22
- Localisation : Contrebandier à Moonfleet
- Jack Carter
- Certains l'aiment (So)chaud
- Messages : 33822
- Inscription : 31 déc. 04, 14:17
Re: Commentaires à propos de votre film du mois
En Avril, je fais mon retour sur le topic des films du mois 


Veneno para las hadas (Carlos Enrique Taboada, 1986)
- John Holden
- Réalisateur
- Messages : 6230
- Inscription : 1 sept. 14, 21:41
- Contact :
Re: Commentaires à propos de votre film du mois
Si c'est un poisson d'avril...
"Il y a des gens qui parlent, qui parlent - jusqu'à ce qu'ils aient enfin trouvé quelque chose à dire." Sacha Guitry (Mon père avait raison, 1936)
"Il y a des gens qui cherchent, qui cherchent - jusqu'à ce qu'ils aient enfin trouvé la capture." Rick Blaine
- Père Jules
- Quizz à nos dépendances
- Messages : 16965
- Inscription : 30 mars 09, 20:11
- Localisation : Avec mes chats sur l'Atalante
Re: Commentaires à propos de votre film du mois
C'est de très mauvais goût !
- Jack Carter
- Certains l'aiment (So)chaud
- Messages : 33822
- Inscription : 31 déc. 04, 14:17
Re: Commentaires à propos de votre film du mois


Veneno para las hadas (Carlos Enrique Taboada, 1986)
- John Holden
- Réalisateur
- Messages : 6230
- Inscription : 1 sept. 14, 21:41
- Contact :
Re: Commentaires à propos de votre film du mois
41 films vus en Mars et un Top 10 assez polyglotte.
Du skal aere din hustru (Le Maître du logis)…Carl Theodor Dreyer (1925) [BR Potemkine]

Premier Bal…Christian-Jaque (1941)

Atlantic City…Louis Malle (1980)

Пять вечеров (Cinq soirées)…Nikita Mikhalkov (1979) [Potemkine]

Le Comédien…Sacha Guitry (1948) [DVD LCJ]
[
Blume in love…Paul Mazursky (1973)

La Guerre sans nom…Bertrand Tavernier et Patrick Rotman (1992) [Replay Mycanal]

Yotsuya kaidan (Le Fantôme de Yotsuya)…Keisuke Kinoshita (1949)

Maccheroni…Ettore Scola (1985)

Ore wa matteru ze (J'attends)…Koreyoshi Kurahara (1957)

Du skal aere din hustru (Le Maître du logis)…Carl Theodor Dreyer (1925) [BR Potemkine]

Premier Bal…Christian-Jaque (1941)

Atlantic City…Louis Malle (1980)

Пять вечеров (Cinq soirées)…Nikita Mikhalkov (1979) [Potemkine]

Le Comédien…Sacha Guitry (1948) [DVD LCJ]
Blume in love…Paul Mazursky (1973)

La Guerre sans nom…Bertrand Tavernier et Patrick Rotman (1992) [Replay Mycanal]

Yotsuya kaidan (Le Fantôme de Yotsuya)…Keisuke Kinoshita (1949)

Maccheroni…Ettore Scola (1985)

Ore wa matteru ze (J'attends)…Koreyoshi Kurahara (1957)

"Il y a des gens qui parlent, qui parlent - jusqu'à ce qu'ils aient enfin trouvé quelque chose à dire." Sacha Guitry (Mon père avait raison, 1936)
"Il y a des gens qui cherchent, qui cherchent - jusqu'à ce qu'ils aient enfin trouvé la capture." Rick Blaine
- G.T.O
- Egal à lui-même
- Messages : 4930
- Inscription : 1 févr. 07, 13:11
Re: Commentaires à propos de votre film du mois
Films du mois de mars
1. La religieuse - Jacques Rivette

Magistrale déconstruction d'une vie prédestinée, poids institutionnel, mais aussi d'une époque enclavée, où le sort de la liberté se jouait entre différentes formes d'engagement. Du couvent au bordel, le récit quasi bressonien d'une même obstination qui, à travers oppressions et diverses tentations romantiques, renvoie à un même horizon de liberté.
2. Fulci for Fake - Simone Scafidi

Curieuse mise en abîme documentaire qui commente le lien entre vie tragique du cinéaste et penchant cruel de son cinéma, geste vengeur. Soit l'illustration de l'adage Truffautien d'après lequel le cinéma substitue à notre regard un monde qui s'accorde à nos désirs.
Daube du mois :
Faute d'avoir vu le nouveau suppo de Dupieux, Mandibules, la palme revient à l'inepte et pas drôle Problemos de Eric Judor.

1. La religieuse - Jacques Rivette

Magistrale déconstruction d'une vie prédestinée, poids institutionnel, mais aussi d'une époque enclavée, où le sort de la liberté se jouait entre différentes formes d'engagement. Du couvent au bordel, le récit quasi bressonien d'une même obstination qui, à travers oppressions et diverses tentations romantiques, renvoie à un même horizon de liberté.
2. Fulci for Fake - Simone Scafidi

Curieuse mise en abîme documentaire qui commente le lien entre vie tragique du cinéaste et penchant cruel de son cinéma, geste vengeur. Soit l'illustration de l'adage Truffautien d'après lequel le cinéma substitue à notre regard un monde qui s'accorde à nos désirs.
Daube du mois :
Faute d'avoir vu le nouveau suppo de Dupieux, Mandibules, la palme revient à l'inepte et pas drôle Problemos de Eric Judor.

- Vic Vega
- Roi du BITE
- Messages : 3796
- Inscription : 15 avr. 03, 10:20
- Localisation : South Bay
Re: Commentaires à propos de votre film du mois
Qu'est-ce qui t'a poussé à regarder ça?

C'est mon film du mois, je signe.John Holden a écrit : ↑1 avr. 21, 09:43 La Guerre sans nom…Bertrand Tavernier et Patrick Rotman (1992) [Replay Mycanal]
Boubakar a écrit : ↑31 mars 21, 08:39 Excellent mois de mars, où j'ai eu le plus grand mal à départager mes quatre premiers films du top, mais j'ai voulu mettre en avant Tsui Hark, et par la même occasion le cinéma asiatique que j'occulte un peu trop souvent dans les films du mois.
1 - The lovers (Tsui Hark)

Découvert en salles il y a 17 ans, pas revu depuis mais le souvenir est vivace (et puissant).
Vu et aimé en mars.
Et donc à l'instar de son compagnon de l'époque (Marcel Bozzuffi) Françoise Fabian avait fait un tour du côté du cinéma de genre italien? Allez hop, sur ma pile. J'en profite pour mentionner que les visionnages ont fait d'Enrico Maria Salerno (qui joue dedans) un des acteurs les plus attachants du cinéma transalpin seventies à mes yeux.




- cinephage
- C'est du harfang
- Messages : 24397
- Inscription : 13 oct. 05, 17:50
Re: Commentaires à propos de votre film du mois
Un joli mois de mars, riche en jolies découvertes (39 films ce mois-ci). Parmi mes plus belles, je me dois d'évoquer :
1. Peking opera blues, de Tsui Hark (1986)
En Chine, dans les années 1910, des rebelles démocrates cherchent à voler les preuves d'une collusion entre le pouvoir et des banques européennes... Un opéra itinérant est l'occasion de se dissimuler.
Une comédie de haute volée, qui réunit trois héroïnes aussi charmantes que bien construites. Une des grandes oeuvres du maître, je savais qu'il avait bonne réputation, mais je ne m'attendais pas à être aussi emballé. Je le reverrai avec grand plaisir.
Une véritable petite perle de film muet, construit en deux parties symétriques, et toutes deux funeste et portée par une montée en puissance magistralement orchestrée par un brillant travail de mise en scène.
Un film très dense et un peu austère, mais où l'on discute philosophie, théologie, géopolitique, dans un contexte historique restitué à la perfection. Mais Puiu nous parle aussi et avant tout d'aujourd'hui, par une mise en scène qui se présente à nous comme un puzzle à déchiffrer. Passionnant.
1. Peking opera blues, de Tsui Hark (1986)
En Chine, dans les années 1910, des rebelles démocrates cherchent à voler les preuves d'une collusion entre le pouvoir et des banques européennes... Un opéra itinérant est l'occasion de se dissimuler.
Une comédie de haute volée, qui réunit trois héroïnes aussi charmantes que bien construites. Une des grandes oeuvres du maître, je savais qu'il avait bonne réputation, mais je ne m'attendais pas à être aussi emballé. Je le reverrai avec grand plaisir.
- Spoiler (cliquez pour afficher)
Une véritable petite perle de film muet, construit en deux parties symétriques, et toutes deux funeste et portée par une montée en puissance magistralement orchestrée par un brillant travail de mise en scène.
- Spoiler (cliquez pour afficher)
Un film très dense et un peu austère, mais où l'on discute philosophie, théologie, géopolitique, dans un contexte historique restitué à la perfection. Mais Puiu nous parle aussi et avant tout d'aujourd'hui, par une mise en scène qui se présente à nous comme un puzzle à déchiffrer. Passionnant.
- Spoiler (cliquez pour afficher)
I love movies from the creation of cinema—from single-shot silent films, to serialized films in the teens, Fritz Lang, and a million others through the twenties—basically, I have a love for cinema through all the decades, from all over the world, from the highbrow to the lowbrow. - David Robert Mitchell
- Rick Blaine
- Charles Foster Kane
- Messages : 25423
- Inscription : 4 août 10, 13:53
- Last.fm
- Localisation : Paris
Re: Commentaires à propos de votre film du mois
Toujours content de voir cet excellent film mis à l'honneur.cinephage a écrit : ↑1 avr. 21, 10:46
2. A Cottage on Dartmoor, d'Anthony Asquith (1929)
Une véritable petite perle de film muet, construit en deux parties symétriques, et toutes deux funeste et portée par une montée en puissance magistralement orchestrée par un brillant travail de mise en scène.
- Spoiler (cliquez pour afficher)

- Frances
- Assistant opérateur
- Messages : 2819
- Inscription : 3 oct. 12, 20:24
Re: Commentaires à propos de votre film du mois
Superbe, en effet. A découvrir.Rick Blaine a écrit : ↑1 avr. 21, 10:49Toujours content de voir cet excellent film mis à l'honneur.
- Spoiler (cliquez pour afficher)
![]()
Sinon, concernant La guerre sans nom, vous l'avez visionné sous quelle forme ? VOD, Dvd ? (les prix sont en train d'exploser).
"Il faut vouloir saisir plus qu'on ne peut étreindre." Robert Browning.
" - De mon temps, on pouvait cracher où on voulait. On n'avait pas encore inventé les microbes." Goupi
Mains Rouges.
Mes films du mois :
" - De mon temps, on pouvait cracher où on voulait. On n'avait pas encore inventé les microbes." Goupi
Mains Rouges.
Mes films du mois :
- Spoiler (cliquez pour afficher)
- Jack Carter
- Certains l'aiment (So)chaud
- Messages : 33822
- Inscription : 31 déc. 04, 14:17
Re: Commentaires à propos de votre film du mois
mycanal.

Veneno para las hadas (Carlos Enrique Taboada, 1986)
- Frances
- Assistant opérateur
- Messages : 2819
- Inscription : 3 oct. 12, 20:24
Re: Commentaires à propos de votre film du mois
Mince et pas dans ma médiathèque.
"Il faut vouloir saisir plus qu'on ne peut étreindre." Robert Browning.
" - De mon temps, on pouvait cracher où on voulait. On n'avait pas encore inventé les microbes." Goupi
Mains Rouges.
Mes films du mois :
" - De mon temps, on pouvait cracher où on voulait. On n'avait pas encore inventé les microbes." Goupi
Mains Rouges.
Mes films du mois :
- Spoiler (cliquez pour afficher)