
Ensuite, "pour le moment"... L'espoir fait vivre. Un destockage ?

Modérateurs : cinephage, Karras, Rockatansky
The Eye Of Doom a écrit :Le tout est mis en image par un De Palma efficace mais plutôt sage
Par "plutôt sage", j'entends vis à vis de la mise en scène elle même (découpage, montage, construction des séquences,...). De Palma n'experimente pas particulièrement de ce point de vue, à l'exception notable de toute la séquence finale. On voit bien la transition d'ailleurs: tout s'emballe d'un coupFlol a écrit :The Eye Of Doom a écrit :Le tout est mis en image par un De Palma efficace mais plutôt sage![]()
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Les split-screens, les transitions avec le label Death records qui passent en balayage, les écrans dans les écrans ou caméras dans les caméras, le jeu de dingue avec les miroirs où la caméra n'apparaît pas, l'idée du casting "en accéléré" en un plan-travelling circulaire autour d'un bureau en forme de disque, le travelling circulaire autour de Winslow au piano montrant en un plan tout le décor à 360° avec les spectateurs qui s'en vont, les plans-séquences (dont un en point de vue subjectif où le personnage met son masque sur le visage/la caméra, que Carpenter a piqué pour ouvrir Halloween), le travail sur les lumières, la centaine de références cinéphiles et littéraires, à Hitchcock ou Godard, reprises dans un délire génial et décomplexé (mêlant précisément une multitude d'idées de découpage, montage et construction des séquences) où mille idées semblent nous arriver dans la gueule à la seconde, et tout ça dans un film de 1974. Mais "De Palma n'expérimente pas" ?The Eye Of Doom a écrit :Par "plutôt sage", j'entends vis à vis de la mise en scène elle même (découpage, montage, construction des séquences,...). De Palma n'experimente pas particulièrement de ce point de vue, à l'exception notable de toute la séquence finale. On voit bien la transition d'ailleurs: tout s'emballe d'un coupFlol a écrit :![]()
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Le film n'est pas un objet formel comme Mission Impossible par exemple.
Pour parler de De Palma metteur en scène hors du commun, J'irai pas spontanément citer un "plan" de PotP mais plutôt Body Double, Pulsions, Blow Out, L'impasse,...
Après comme indiqué ceci n'est pas une limite du film, c'est très bien comme cela . De Palma se concentre sur autre chose : la direction artistique par exemple ou la direction d'acteurs.
un des tous premiers quasi clips de l'histoire.Demi-Lune a écrit :La seule séquence où le Fantôme compose et chante la chanson pour Phoenix, avec toutes ces surimpressions qui se succèdent au montage (les notes de musique, l'horloge qui tourne, le visage de la bien-aimée, etc), suffit à une contre-argumentation.
....danse malheureusement comme un dindon.shubby a écrit :Et Jessica Harper est splendide et...
OH YEAH!Alexandre Angel a écrit :....danse malheuseusement comme un dindon.shubby a écrit :Et Jessica Harper est splendide et...
C'est dommage, il manque d'un poil (ou plutôt d'une plume) la dimension dindonWatkinssien a écrit :OH YEAH!Alexandre Angel a écrit : ....danse malheuseusement comme un dindon.
Alexandre Angel a écrit :C'est dommage, il manque d'un poil (ou plutôt d'une plume) la dimension dindonWatkinssien a écrit : OH YEAH!