Je me demandais qui, de toi ou inderweltsein, serait le premier à parler du film ici suite à sa projection vénitienne.
Tu confirmes donc être encore plus obsédé par Malick que lui.
That “Voyage of Time: Life’s Journey” is too damn is long is hardly its biggest issue, however (though, and this we must reiterate, it’s too damn long). No, there’s a bigger issue at hand for this expertly crafted, visually arresting ode to Life, the Universe and Everything and it’s a simple one: The film is completely insufferable.
Effectivement, on ne peut que s'incliner devant la puissance argumentative de cette critique.
That “Voyage of Time: Life’s Journey” is too damn is long is hardly its biggest issue, however (though, and this we must reiterate, it’s too damn long). No, there’s a bigger issue at hand for this expertly crafted, visually arresting ode to Life, the Universe and Everything and it’s a simple one: The film is completely insufferable.
Effectivement, on ne peut que s'incliner devant la puissance argumentative de cette critique.
Oui, elle est un peu pourrie cette critique ! Comme celle de Libération qui aurait pu être établie sans avoir vu le film: condamnation de la hype entourant le film et culte de la personalité du réalisateur ermite, images genre la Geode, condamnation de la spiritualité " Tract Vatican"...Facile.
Kaganski a écrit :Alors que je faisais une moue dubitative, un célèbre critique français plus tout jeune et groupie de Malick me hurlait “mais enfin, relis Walt Whitman et tu comprendras !”
Les mecs... Ils en sont toujours à leurs petites prises de bec par papiers interposés (la réponse dans l'édito du prochain numéro de Positif).
Kaganski a écrit :Alors que je faisais une moue dubitative, un célèbre critique français plus tout jeune et groupie de Malick me hurlait “mais enfin, relis Walt Whitman et tu comprendras !”
Les mecs... Ils en sont toujours à leurs petites prises de bec par papiers interposés (la réponse dans l'édito du prochain numéro de Positif).
T'as trouvé !!
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.
m. Envoyé Spécial à Cannes pour l'Echo Républicain