Votre film du mois de Décembre 2015
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Re: Votre film du mois de Décembre 2015
Film du mois
Star wars, le réveil de la force.
Découvertes
Star wars, le réveil de la force : 9/10
Fantastic mister Fox de ses Anderson : 9/10
Une question de vie ou de mort de Michael Powell : 8/10
Le voyage d'arlo 7,5/10
Le vieil homme et l'enfant de Claude Berri : 7,5/10
Le pont des espions de Steven Spielberg : 7.5/10
Espion sur la tamise de fritz Lang : 7/10
Match d'amour de busby Berkeley : 7/10
Le vent de la plaine de John Houston : 7/10
Hunger games la révolte partie 2 : 6,5/10
Spectre de Sam mendes : 6.5/10
Faites sauter la banque de jean girault : 6.5/10
Dallas buyer club de Jean Marc vallée : 6/10
Un moment d'égarement de Claude Berri : 6/10
Divergente de Neil burger : 6/10
Redécouvertes
Le canardeur de Michael cimino : 7/10
Gremlins de Joe Dante : 7/10
Moi moche et méchant 2 : 7/10
Star wars, le réveil de la force.
Découvertes
Star wars, le réveil de la force : 9/10
Fantastic mister Fox de ses Anderson : 9/10
Une question de vie ou de mort de Michael Powell : 8/10
Le voyage d'arlo 7,5/10
Le vieil homme et l'enfant de Claude Berri : 7,5/10
Le pont des espions de Steven Spielberg : 7.5/10
Espion sur la tamise de fritz Lang : 7/10
Match d'amour de busby Berkeley : 7/10
Le vent de la plaine de John Houston : 7/10
Hunger games la révolte partie 2 : 6,5/10
Spectre de Sam mendes : 6.5/10
Faites sauter la banque de jean girault : 6.5/10
Dallas buyer club de Jean Marc vallée : 6/10
Un moment d'égarement de Claude Berri : 6/10
Divergente de Neil burger : 6/10
Redécouvertes
Le canardeur de Michael cimino : 7/10
Gremlins de Joe Dante : 7/10
Moi moche et méchant 2 : 7/10
Dernière modification par C2302t le 24 déc. 15, 17:36, modifié 11 fois.
- gnome
- Iiiiiiil est des nôôôôtres
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Re: Votre film du mois de Décembre 2015
Films du mois : Décembre 2015
Film du mois
Les films vus (par ordre décroissant de préférence) - Les redécouvertes - Les films revus
Chef d'oeuvre !!!
On est vraiment pas loin de la masterpiece!
- Star Wars - Episode V - L'empire contre-attaque (Irvin Kershner) 9.5/10 BR VO
- Games of Thrones saison 2 (various) 8.5-9/10 TV VO
- Spiderman 2 (Sam Raimi) 8.5-9/10 TV VF
- Les sorcières de Zugarramundi (Alex de la Iglesia) 9.5/10 TV VF
Excellent !
- Blancanieve (Pablo Berger) 8/10 TV
Plastiquement irréprochable. Transposition originale. Berger maitrise son film un peu plus apprécié à cette révision que lors de la découverte en salles. Il manque cependant un petit quelque chose pour réellement me toucher, mais je ne sais pas quoi.
- Hunger Games - La révolte partie 2 (Francis Lawrence) 8.5/10 VF Ciné
Belle conclusion (même si pérvisible) pour une saga qui a bonifié avec le temps. Peut-être le meilleur épisode.
- Game of Thrones saison 3 (various) 8-8.5/10 TV VO
Une saison un peu en demi-teinte sauvée par un épisode 9 apocalyptique. Mais globalement, c'est toujours aussi bon.
- Star Wars - Episode III - La revenge des Siths (Georges Lucas) 8/10 BR VO
- Star Wars - Episode IV - Un nouvel espoir (Georges Lucas) 7.5-8/10 BR VO
- Star Wars - Episode VI - Le retour du Jedi (Richard Marquand) 8/10 BR VF
- Star Wars - Episode VII - Le réveil de la Force (J.J. Abrams) 8-8.5/10 Ciné 3D VF
Deux premiers tiers formidables puis une petite baisse de régime à l'apparition de Leïa avant de reprendre un peu le dessus sur le final. J'aurais peut-être pu mettre encore une meilleure note tant niveau spectacle (surtout en 3D ici vraiment bonne) ça assure, mais trop d'emprunts/ clins d’œil aux premier film (le droïde qui cache un "message", l'échiquier en hologrammes, une scène cantina like, sans parler des histoires de filiation...). Puis bon Dieu, où ont-ils été chercher ce falot de Driver !!!! Abrams prouve par ailleurs qu'il est mille fois meilleur réalisateur que Lucas. Voilà ce à quoi aurait dû ressembles les épisodes I à III.
- Mission : Noël Les aventures de la famille Noël (Sarah Smith) 8/10 TV VF
- Bienvenue chez les ch'tis (Danny Boon) 8/10 TV VF
- Spiderman (Sam Raimi) 8-8.5/10 TV VF
- Spiderman 3 (Sam Raimi) 8.5/10 TV VF
Tout à fait honorable
- Star Wars - Episode II - La guerre des clones (Georges Lucas) 7/10 BR VO
- Batman (Tim Burton) 6-6.5/10 TV VF
Pourquoi pas, mais peut mieux
A oublier
Le dessin est clair, non?
Film du mois
Les films vus (par ordre décroissant de préférence) - Les redécouvertes - Les films revus
Chef d'oeuvre !!!
On est vraiment pas loin de la masterpiece!
- Star Wars - Episode V - L'empire contre-attaque (Irvin Kershner) 9.5/10 BR VO
- Games of Thrones saison 2 (various) 8.5-9/10 TV VO
- Spiderman 2 (Sam Raimi) 8.5-9/10 TV VF
- Les sorcières de Zugarramundi (Alex de la Iglesia) 9.5/10 TV VF
Excellent !
- Blancanieve (Pablo Berger) 8/10 TV
Plastiquement irréprochable. Transposition originale. Berger maitrise son film un peu plus apprécié à cette révision que lors de la découverte en salles. Il manque cependant un petit quelque chose pour réellement me toucher, mais je ne sais pas quoi.
- Hunger Games - La révolte partie 2 (Francis Lawrence) 8.5/10 VF Ciné
Belle conclusion (même si pérvisible) pour une saga qui a bonifié avec le temps. Peut-être le meilleur épisode.
- Game of Thrones saison 3 (various) 8-8.5/10 TV VO
Une saison un peu en demi-teinte sauvée par un épisode 9 apocalyptique. Mais globalement, c'est toujours aussi bon.
- Star Wars - Episode III - La revenge des Siths (Georges Lucas) 8/10 BR VO
- Star Wars - Episode IV - Un nouvel espoir (Georges Lucas) 7.5-8/10 BR VO
- Star Wars - Episode VI - Le retour du Jedi (Richard Marquand) 8/10 BR VF
- Star Wars - Episode VII - Le réveil de la Force (J.J. Abrams) 8-8.5/10 Ciné 3D VF
Deux premiers tiers formidables puis une petite baisse de régime à l'apparition de Leïa avant de reprendre un peu le dessus sur le final. J'aurais peut-être pu mettre encore une meilleure note tant niveau spectacle (surtout en 3D ici vraiment bonne) ça assure, mais trop d'emprunts/ clins d’œil aux premier film (le droïde qui cache un "message", l'échiquier en hologrammes, une scène cantina like, sans parler des histoires de filiation...). Puis bon Dieu, où ont-ils été chercher ce falot de Driver !!!! Abrams prouve par ailleurs qu'il est mille fois meilleur réalisateur que Lucas. Voilà ce à quoi aurait dû ressembles les épisodes I à III.
- Mission : Noël Les aventures de la famille Noël (Sarah Smith) 8/10 TV VF
- Bienvenue chez les ch'tis (Danny Boon) 8/10 TV VF
- Spiderman (Sam Raimi) 8-8.5/10 TV VF
- Spiderman 3 (Sam Raimi) 8.5/10 TV VF
Tout à fait honorable
- Star Wars - Episode II - La guerre des clones (Georges Lucas) 7/10 BR VO
- Batman (Tim Burton) 6-6.5/10 TV VF
Pourquoi pas, mais peut mieux
A oublier
Le dessin est clair, non?
Dernière modification par gnome le 31 déc. 15, 18:49, modifié 8 fois.
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Re: Votre film du mois de Décembre 2015
Pavillons lointains (mini série TV - 1984 - DVD commerce) 8,5/10
Étranges vacances (Dieterle - 1944 - DVD gravé VOST) Très joli film romantique de saison. Décidément, Dieterle est à l'aise dans ce registre si délicat et intime. Joseph Cotten et Ginger Rogers sont tous les deux excellents, naturels et crédibles. 8/10
La Dépravée (Winner - 1983 - DVD commerce VOSTA) La très mauvaise réputation du film me semble absolument injustifiée. La première version (le célèbre Masque aux yeux verts) est un des mes films favoris mais ce remake est un festival camp parfaitement assumé dans lequel Faye Dunaway dépasse la mesure comme même elle n'a jamais osé le faire ailleurs. C'est presque une parodie, ou en tout cas une version comique et ça marche. La reconstitution est fort belle. 8/10
Au fil de la vie (Marshall - 1988 - DVD commerce) Un de ces "films de filles" quasi épique et qui touche au mélodrame, typique des années 80 (Potins de femmes, Tendres passions ...) avec Bette Midler (en chanteuse ambitieuse et égoïste mais sympathique) et Barbara Hershey (sa meilleure amie, élégante et parfaite avocate). Plaisant et tire-larmes. 7,5/10
Tender Comrads (Dmytrick - 1943 - DVD gravé VOST) A mi chemin entre Les Quatre filles du Docteur Marsh et les grands mélodrames guerriers des années 40 (Depuis que tu es parti, Mrs Miniver etc.). Dmytrick, Trumbo et Ginger Rogers essayent très dur, un peu trop sans doute et ratent le final (long monologue patriotique de Rogers) ce qui n'empêchent pas des réussites patentes dans le registre de la tendresse et de l'intimité féminine. Un film inabouti sans doute et pourtant attachant. 7,5/10
La Cage aux poules (Higgins - 1983 - DVD commerce) Sympathique comédie musicale qui parvient à ne pas rendre glauque son sujet (la "cage aux poules" est un bordel) et est portée par des numéros musicaux réussis et entrainants. Une jolie surprise. 7,5/10
Le Cercle de sang (O'Connoly - 1967 - DVD commerce italien avec ST italiens) Vaut mieux que sa réputation. C'est un vrai film de cirque, finalement, dans lequel les numéros ont une véritable importance. L'intrigue policière (un tueur en série décime un cirque) est convenue mais le camp le plus délicieux est au RDV. Joan Crawford est géniale. 7/10
Michel Strogoff (Gallone - 1956 - DVD commerce) 7/10
La Veuve noire (Nunnaly Johnson - 1954 - DVD gravé VOST) Petite adaptation d'une pièce en couleur qui vaut surtout pour le technicolor, les tenus de Ginger Rogers (formidable) et la curiosité de son casting 4 étoiles. 7/10
A Dangerous Woman (Stephen Gyllenhaall - 1993 - Youtube VO) J'ai détesté ce film pompeux, déprimant et à la morale douteuse. 2/10
Films revus
Hannah et ses sœurs(Woody Allen - 1986 - DVD commerce) 10/10 Le meilleur Allen ? Avec Intérieurs, peut-être.
Fabiola (Blasetti - 1949 - Gaumont) 9/10
Airport (Seaton - 1970 - DVD commerce) 8/10. J'assume.
Les Soeurs Casse-Cou (Koster - 1947 - DVD gravé VOST) 8/10
Ecrit dans le ciel (Wellman - 1954 - DVD commerce). Bien, bien meilleur que dans mon souvenir. Un film qui prend son temps pour laisser de la place aux personnages, de belles interprétations, une superbe BO et un réalisateur qui sait ce qu'il fait. Belles séquences finales, en particulier. 8/10
747 en péril (1975 - DVD commerce) 8/10
Le Secret des chandeliers (Fitzgerald - 1937 - DVD gravé VOST). 8/10
Entrons dans la danse (Charles Walters - 1947 - DVD commerce) 8/10
Mademoiselle et son bébé (Kanin - 1939 - DVD commerce) 8/10
Le Calice d'Argent (Saville - 1952 - DVD commerce) Ce film est incroyable. 8/10
les Mille et une nuits (Rawlins - 1942 - DVD commerce) Les productions arabisantes de Wanger, avec Sabu et Maria Montez avaient un charme fou, surtout quand, comme ici, les décors étaient aussi poétiques et travaillés. Un plaisir.
Les Désastreuses Aventures des Orphelins Baudelaire (Silbering - 2004 - TV VOST). Déjà onze ans .... 7,5/10
Le Journal de Bridget Jones II (Keedron - 2004 - DVD commerce) 7,5/10
Messaline (Cotaffavi - 1960 - DVD commerce) 7,5/10.
Les Naufragés du 747 (Jameson - 1977 - DVD commerce) 6,5/10
Étranges vacances (Dieterle - 1944 - DVD gravé VOST) Très joli film romantique de saison. Décidément, Dieterle est à l'aise dans ce registre si délicat et intime. Joseph Cotten et Ginger Rogers sont tous les deux excellents, naturels et crédibles. 8/10
La Dépravée (Winner - 1983 - DVD commerce VOSTA) La très mauvaise réputation du film me semble absolument injustifiée. La première version (le célèbre Masque aux yeux verts) est un des mes films favoris mais ce remake est un festival camp parfaitement assumé dans lequel Faye Dunaway dépasse la mesure comme même elle n'a jamais osé le faire ailleurs. C'est presque une parodie, ou en tout cas une version comique et ça marche. La reconstitution est fort belle. 8/10
Au fil de la vie (Marshall - 1988 - DVD commerce) Un de ces "films de filles" quasi épique et qui touche au mélodrame, typique des années 80 (Potins de femmes, Tendres passions ...) avec Bette Midler (en chanteuse ambitieuse et égoïste mais sympathique) et Barbara Hershey (sa meilleure amie, élégante et parfaite avocate). Plaisant et tire-larmes. 7,5/10
Tender Comrads (Dmytrick - 1943 - DVD gravé VOST) A mi chemin entre Les Quatre filles du Docteur Marsh et les grands mélodrames guerriers des années 40 (Depuis que tu es parti, Mrs Miniver etc.). Dmytrick, Trumbo et Ginger Rogers essayent très dur, un peu trop sans doute et ratent le final (long monologue patriotique de Rogers) ce qui n'empêchent pas des réussites patentes dans le registre de la tendresse et de l'intimité féminine. Un film inabouti sans doute et pourtant attachant. 7,5/10
La Cage aux poules (Higgins - 1983 - DVD commerce) Sympathique comédie musicale qui parvient à ne pas rendre glauque son sujet (la "cage aux poules" est un bordel) et est portée par des numéros musicaux réussis et entrainants. Une jolie surprise. 7,5/10
Le Cercle de sang (O'Connoly - 1967 - DVD commerce italien avec ST italiens) Vaut mieux que sa réputation. C'est un vrai film de cirque, finalement, dans lequel les numéros ont une véritable importance. L'intrigue policière (un tueur en série décime un cirque) est convenue mais le camp le plus délicieux est au RDV. Joan Crawford est géniale. 7/10
Michel Strogoff (Gallone - 1956 - DVD commerce) 7/10
La Veuve noire (Nunnaly Johnson - 1954 - DVD gravé VOST) Petite adaptation d'une pièce en couleur qui vaut surtout pour le technicolor, les tenus de Ginger Rogers (formidable) et la curiosité de son casting 4 étoiles. 7/10
A Dangerous Woman (Stephen Gyllenhaall - 1993 - Youtube VO) J'ai détesté ce film pompeux, déprimant et à la morale douteuse. 2/10
Films revus
Hannah et ses sœurs(Woody Allen - 1986 - DVD commerce) 10/10 Le meilleur Allen ? Avec Intérieurs, peut-être.
Fabiola (Blasetti - 1949 - Gaumont) 9/10
Airport (Seaton - 1970 - DVD commerce) 8/10. J'assume.
Les Soeurs Casse-Cou (Koster - 1947 - DVD gravé VOST) 8/10
Ecrit dans le ciel (Wellman - 1954 - DVD commerce). Bien, bien meilleur que dans mon souvenir. Un film qui prend son temps pour laisser de la place aux personnages, de belles interprétations, une superbe BO et un réalisateur qui sait ce qu'il fait. Belles séquences finales, en particulier. 8/10
747 en péril (1975 - DVD commerce) 8/10
Le Secret des chandeliers (Fitzgerald - 1937 - DVD gravé VOST). 8/10
Entrons dans la danse (Charles Walters - 1947 - DVD commerce) 8/10
Mademoiselle et son bébé (Kanin - 1939 - DVD commerce) 8/10
Le Calice d'Argent (Saville - 1952 - DVD commerce) Ce film est incroyable. 8/10
les Mille et une nuits (Rawlins - 1942 - DVD commerce) Les productions arabisantes de Wanger, avec Sabu et Maria Montez avaient un charme fou, surtout quand, comme ici, les décors étaient aussi poétiques et travaillés. Un plaisir.
Les Désastreuses Aventures des Orphelins Baudelaire (Silbering - 2004 - TV VOST). Déjà onze ans .... 7,5/10
Le Journal de Bridget Jones II (Keedron - 2004 - DVD commerce) 7,5/10
Messaline (Cotaffavi - 1960 - DVD commerce) 7,5/10.
Les Naufragés du 747 (Jameson - 1977 - DVD commerce) 6,5/10
Dernière modification par francesco le 31 déc. 15, 12:12, modifié 14 fois.
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Re: Votre film du mois de Décembre 2015
FILM DU MOIS
Aucun
FILMS / SERIES : DECOUVERTES / REDECOUVERTES
Carol (Todd Haynes, 2015) : 7/10
Bigger Than Life (Nicholas Ray, 1956) : 7/10
To Catch A Thief (Alfred Hitchcock, 1955) : 7/10
This Is 40 (Judd Apatow, 2012) : 7/10
Jamais de la vie (Pierre Jolivet, 2015) : 6/10
The Martian (Ridley Scott, 2015) : 5/10
Non-Stop (Jaume Collet-Serra, 2014) : 5/10
Ministry Of Fear (Fritz Lang, 1944) : 5/10
Captain America : The Winter Soldier (Anthony & Joe Russo, 2014) : 5/10
Amistad (Steven Spielberg, 1997) : 4/10
Blackhat (Michael Mann, 2015) : 4/10
Une famille à louer (Jean-Pierre Améris, 2015) : 4/10
The Final Girls (Todd Strauss-Schulson, 2015) : 3/10
FILMS REVUS
The World's End (Edgar Wright, 2013) : 7/10
Star Wars : Empire Strikes Back (Irvin Kershner, 1980) : 7/10
Aucun
FILMS / SERIES : DECOUVERTES / REDECOUVERTES
Carol (Todd Haynes, 2015) : 7/10
Bigger Than Life (Nicholas Ray, 1956) : 7/10
To Catch A Thief (Alfred Hitchcock, 1955) : 7/10
This Is 40 (Judd Apatow, 2012) : 7/10
Jamais de la vie (Pierre Jolivet, 2015) : 6/10
The Martian (Ridley Scott, 2015) : 5/10
Non-Stop (Jaume Collet-Serra, 2014) : 5/10
Ministry Of Fear (Fritz Lang, 1944) : 5/10
Captain America : The Winter Soldier (Anthony & Joe Russo, 2014) : 5/10
Amistad (Steven Spielberg, 1997) : 4/10
Blackhat (Michael Mann, 2015) : 4/10
Une famille à louer (Jean-Pierre Améris, 2015) : 4/10
The Final Girls (Todd Strauss-Schulson, 2015) : 3/10
FILMS REVUS
The World's End (Edgar Wright, 2013) : 7/10
Star Wars : Empire Strikes Back (Irvin Kershner, 1980) : 7/10
Dernière modification par Johnny Doe le 2 janv. 16, 00:14, modifié 7 fois.
- Errm. Do you want to put another meeting in?
- Any point?
- May as well. Errm. And then when nothing comes in, just phone you up and cancel it.
- Any point?
- May as well. Errm. And then when nothing comes in, just phone you up and cancel it.
- hellrick
- David O. Selznick
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Re: Votre film du mois de Décembre 2015
Star Wars VII= 9,5/10 (ciné)
Fast & Furious 7 = 9/10 (revu)
Vice Versa = 8,5/10 (revu)
Tremors = 8/10 (revu)
Clerks 2 = 7,5/10
Quelque part dans le temps = 7,5/10 (revu, TV)
L'Homme de Rio = 7/10 (revu, Blu ray)
La rivière sanglante = 7/10
Look up in the sky! The amazing story of Superman = 7/10 (TV)
Je suis à prendre = 7/10 (revu)
Idiocracy = 6,5/10
Wrong = 6,5/10 (TV)
Kickin and screaming = 6/10 (dvd)
Le jugement des flèches = 5,5/10 (TV)
L'animal = 5,5/10 (revu, dvd)
Monsieur St Ives = 5,5/10 (revu, TV)
Tonnerre Apache = 5,5/10 (TV)
SPL 2 = 4,5/10
My Name is Bruce = 4/10
The Hallow = 4/10
Porn Wars Episode 1: Cum Join the force = 4/10
Fast & Furious 7 = 9/10 (revu)
Vice Versa = 8,5/10 (revu)
Tremors = 8/10 (revu)
Clerks 2 = 7,5/10
Quelque part dans le temps = 7,5/10 (revu, TV)
L'Homme de Rio = 7/10 (revu, Blu ray)
La rivière sanglante = 7/10
Look up in the sky! The amazing story of Superman = 7/10 (TV)
Je suis à prendre = 7/10 (revu)
Idiocracy = 6,5/10
Wrong = 6,5/10 (TV)
Kickin and screaming = 6/10 (dvd)
Le jugement des flèches = 5,5/10 (TV)
L'animal = 5,5/10 (revu, dvd)
Monsieur St Ives = 5,5/10 (revu, TV)
Tonnerre Apache = 5,5/10 (TV)
SPL 2 = 4,5/10
My Name is Bruce = 4/10
The Hallow = 4/10
Porn Wars Episode 1: Cum Join the force = 4/10
Dernière modification par hellrick le 27 déc. 15, 22:52, modifié 3 fois.
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- David O. Selznick
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Re: Votre film du mois de Décembre 2015
Décembre 2015
Film du mois
Boyhood (Linklater), délicat et poignant. Linklater est parvenu à créer quelque chose qui n'aura jamais d'équivalent dans les autres arts, éveillant chez le spectateur des émotions inédites dont je n'ai pas tout de suite mesuré la force.
Films découverts
L'Exercice de l'état (Schoeller), ambitieux et plutôt bien tenu, mais eu l'impression d'assister à une suite de bouts de scènes, manquant de développements
El premio (Markovitch), à la limite de la complaisance, tant la réalisatrice semble tout faire porter sur les épaules de sa jeune actrice (impressionnante), mais le film est fort
The Fall (Tarsem), pas convaincu par tous les parti-pris de mise en scène, mais le spectacle est quand même au rendez-vous, et le dispositif réussit à créer de l'émotion (et la gamine est formidable)
Les Garçons et Guillaume, à table ! (Gallienne), original, solide, plus que convaincant pour un premier film
Films revus (Hors compétition)
Harry Potter & the deathly hallows part 2 (Yates), toujours inégal mais le spectacle reste souvent fascinant et emballé avec classe
Innerspace (Dante), réjouissant et miraculeux cocktail de comédie romantique, d'espionnage et d'action
The Thing (Carpenter), impitoyable cocktail de paranoïa et d'horreur pure, mené de main de maître
The Grand Budapest hotel (Anderson), une merveille, un régal de bout en bout
Le Père Noël est une ordure (Poiré), efficace, réglé comme une horloge
Mon oncle (Tati), de la poésie documentaire, d'autres moments plus abscons
Séries TV
House of cards S.2 une mécanique un peu plus voyante (les faces à faces Tusk/Underwood), mais ça reste du solide
House of cards S.3, (en cours)
Mes films des années précédentes
Film du mois
Boyhood (Linklater), délicat et poignant. Linklater est parvenu à créer quelque chose qui n'aura jamais d'équivalent dans les autres arts, éveillant chez le spectateur des émotions inédites dont je n'ai pas tout de suite mesuré la force.
Films découverts
L'Exercice de l'état (Schoeller), ambitieux et plutôt bien tenu, mais eu l'impression d'assister à une suite de bouts de scènes, manquant de développements
El premio (Markovitch), à la limite de la complaisance, tant la réalisatrice semble tout faire porter sur les épaules de sa jeune actrice (impressionnante), mais le film est fort
The Fall (Tarsem), pas convaincu par tous les parti-pris de mise en scène, mais le spectacle est quand même au rendez-vous, et le dispositif réussit à créer de l'émotion (et la gamine est formidable)
Les Garçons et Guillaume, à table ! (Gallienne), original, solide, plus que convaincant pour un premier film
Films revus (Hors compétition)
Harry Potter & the deathly hallows part 2 (Yates), toujours inégal mais le spectacle reste souvent fascinant et emballé avec classe
Innerspace (Dante), réjouissant et miraculeux cocktail de comédie romantique, d'espionnage et d'action
The Thing (Carpenter), impitoyable cocktail de paranoïa et d'horreur pure, mené de main de maître
The Grand Budapest hotel (Anderson), une merveille, un régal de bout en bout
Le Père Noël est une ordure (Poiré), efficace, réglé comme une horloge
Mon oncle (Tati), de la poésie documentaire, d'autres moments plus abscons
Séries TV
House of cards S.2 une mécanique un peu plus voyante (les faces à faces Tusk/Underwood), mais ça reste du solide
House of cards S.3, (en cours)
Mes films des années précédentes
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Dernière modification par Max Schreck le 31 déc. 15, 11:39, modifié 5 fois.
« Vouloir le bonheur, c'est déjà un peu le bonheur. » (Roland Cassard)
Mes films du mois...
Mes extrospections...
Mon Top 100...
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- MJ
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Re: Votre film du mois de Décembre 2015
DECEMBRE 2015
Film du mois
Vaudou (Jacques Tourneur)
Films des Mois Précédents
Film du mois
Vaudou (Jacques Tourneur)
Films des Mois Précédents
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"Personne ici ne prend MJ ou GTO par exemple pour des spectateurs de blockbusters moyennement cultivés." Strum
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Re: Votre film du mois de Décembre 2015
Comme je commence à ne plus me souvenir de ce que je vois d'une semaine sur l'autre, je m'y mets aussi en guide de memorandum...en espérant m'y tenir.
Notation: 0 Nul/Mauvais * Médiocre/Bof! ** Bien/Agréable ***Très bien/Excellent **** Chef d'oeuvre/Grand film
Découverte/Révision
Ma nuit chez Maud d'Eric Rohmer (1969) **
Le mecano de la général de Buster Keaton (1926) **
Le pont des espions de Steven Spielberg (2015) ***
L'Appolonide, souvenirs de la maison close de Bertand Bonello (2011) ****
Peyrol le Boucanier de Terence Young (1967) *
Espions sur la tamise de Fritz Lang (1944) **
Sweet Charity de Bob Fosse (1968) **
Starbuck de Ken Scott (2011) **
Messaline de Carmine Gallone (1951) **
Melinda de Vincente Minnelli (1970) *
Exodus: Gods and Kings de Ridley Scott (2014) *
Edge of Tomorrow de Doug Liman (2013) **
Notation: 0 Nul/Mauvais * Médiocre/Bof! ** Bien/Agréable ***Très bien/Excellent **** Chef d'oeuvre/Grand film
Découverte/Révision
Ma nuit chez Maud d'Eric Rohmer (1969) **
Le mecano de la général de Buster Keaton (1926) **
Le pont des espions de Steven Spielberg (2015) ***
L'Appolonide, souvenirs de la maison close de Bertand Bonello (2011) ****
Peyrol le Boucanier de Terence Young (1967) *
Espions sur la tamise de Fritz Lang (1944) **
Sweet Charity de Bob Fosse (1968) **
Starbuck de Ken Scott (2011) **
Messaline de Carmine Gallone (1951) **
Melinda de Vincente Minnelli (1970) *
Exodus: Gods and Kings de Ridley Scott (2014) *
Edge of Tomorrow de Doug Liman (2013) **
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Re: Votre film du mois de Décembre 2015
DECEMBRE 2015
Film du mois
Sorcerer - le convoi de la peur (William Friedkin)
Films (re)découverts
Sorcerer - le convoi de la peur (William Friedkin) 9/10
Body Double (Brian De Palma) 8/10
Star Wars Episode VII - le réveil de la Force (J.J. Abrams) 7.5/10
Spectre (Sam Mendes) 6/10
Séries TV
Chapeau melon et bottes de cuir saison 4 (Sydney Newman, Leonard White) épisode 3/26 8/10
Daredevil (Drew Goddard, Steven S. DeKnight) épisode 4/13 8/10
Dragon Ball Z Kai (Akira Toriyama) épisode 61/167 7.5/10
Invasion planète Terre saison 1 (Gene Roddenberry, Majel Barrett) épisode 3/22 7/10
La quatrième dimension saison 3 (Rod Serling) épisode 19/37 8.5/10
Penny Dreadful saison 2 (John Logan) épisode 2/10 7/10
Saint Seiya, les chevaliers du zodiaque (Masami Kurumada) épisode 21/114 7/10
Star Trek : The Next Generation saison 3 (Gene Roddenberry) épisode 2/26 6.5/10
The X-Files : aux frontières du réel saison 1 (Chris Carter) épisode 3/24 7.5/10
Films des mois précédents
Film du mois
Sorcerer - le convoi de la peur (William Friedkin)
Films (re)découverts
Sorcerer - le convoi de la peur (William Friedkin) 9/10
Body Double (Brian De Palma) 8/10
Star Wars Episode VII - le réveil de la Force (J.J. Abrams) 7.5/10
Spectre (Sam Mendes) 6/10
Séries TV
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Daredevil (Drew Goddard, Steven S. DeKnight) épisode 4/13 8/10
Dragon Ball Z Kai (Akira Toriyama) épisode 61/167 7.5/10
Invasion planète Terre saison 1 (Gene Roddenberry, Majel Barrett) épisode 3/22 7/10
La quatrième dimension saison 3 (Rod Serling) épisode 19/37 8.5/10
Penny Dreadful saison 2 (John Logan) épisode 2/10 7/10
Saint Seiya, les chevaliers du zodiaque (Masami Kurumada) épisode 21/114 7/10
Star Trek : The Next Generation saison 3 (Gene Roddenberry) épisode 2/26 6.5/10
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Re: Votre film du mois de Décembre 2015
Echelle de valeurs
20/20: Chef d'œuvre
De 18 à 19,5/20: Excellent
De 16 à 17,5/20: Très bon
De 13 à 15,5/20: Bon
De 9 à 12,5/20: Pas mal
De 5,5 à 8,5/20: Très moyen
De 1,5 à 5/20: Quelques trucs à sauver
De 0 à 1/20: Inutile de perdre son temps
FILM DU MOIS
Films découverts dont les films 2015 et les films 2016
The Hateful Eight: 18/20
Un + Une: 16/20
Star Wars: Episode VII - Le Réveil de la Force: 13/20
Films des mois précédents
20/20: Chef d'œuvre
De 18 à 19,5/20: Excellent
De 16 à 17,5/20: Très bon
De 13 à 15,5/20: Bon
De 9 à 12,5/20: Pas mal
De 5,5 à 8,5/20: Très moyen
De 1,5 à 5/20: Quelques trucs à sauver
De 0 à 1/20: Inutile de perdre son temps
FILM DU MOIS
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The Hateful Eight: 18/20
Un + Une: 16/20
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Re: Votre film du mois de Décembre 2015
Décembre 2015
Her, de Spike Jonze (2014)
Un film absolument remarquable de justesse, aussi bien dans les interactions des personnages que dans leur quête de nouveaux enchantements, à l'ère des intelligences artificielles: 9/10
The life and death of Colonel Blimp de Michael Powell et Emeric Pressburger(1943)
J'ai plutôt apprécié la manière dont l'histoire dépeint de manière nuancée le renversement des valeurs à travers les antagonismes politiques entre le Royaume Uni et l'Allemagne sur 40 ans. L'évolution du personnage d'Anton Walbrook est à ce titre la plus surprenante et la plus émouvante. Cependant, grosse déception autour des personnages joués par Deborah Kerr. Il est déjà difficile à avaler de voir une même actrice jouer 3 rôles, aux physiques aussi similaires, mais j'ai trouvé en plus que ces derniers manquaient considérablement de consistance. A ce titre, son premier rôle n'est plus développé avant même la moitié du film, ce qui est difficile à justifier à mon sens lorsque l'on mesure son importance pour les deux principaux protagonistes du film: 7,5/10
Sylvie et le fantôme de Claude Autant-Lara (1945)
Une comédie fantastique pleine de charme. Touchante interprétation d'Odette Joyeux qui n'a aucun mal à interpréter une jeune fille qui a la moitié de son âge: 7,5/10
Under the skin de Jonathan Glazer (2013): 7,5/10
The Locket de John Brahm (1946)
Plus je découvre les films de ce réalisateur, plus j'ai l'impression que celui-ci est l'un des metteurs en scène hollywoodiens les plus sous-estimés des années 40. L'histoire: le future mari d'une femme visiblement parfaite reçoit la visite d'un docteur qui annonce que celle-ci souffre de troubles psychologiques. La déroulement complexe de l'histoire (plusieurs flashbacks enchâssés) est habilement narré et permet de cerner peu à peu le personnage torturé joué par Laraine Day, avant une conclusion particulièrement oppressante: 7,5/10
Phantom Lady de Robert Siodmak (1944)
Le traitement de ce film noir est plutôt original: 1 demi-heure centrée sur la victime de l'histoire et l'enquête qui suit menée par un personnage féminin, portée par une Ella Raines aux multiples facettes. Belle mise en scène expressionniste de Siodmak. La conclusion, plutôt attendue, laisse un peu sur sa faim par contre : 7/10
I'll never forget you de Roy Ward Baker (1951): 7/10
Le Bounty de Roger Donaldson (1983):
Belle reconstitution de l'univers du Bounty, mais l'ensemble manque un peu de rythme. La musique de Vangelis totalement hors sujet, m'a sorti pas mal de fois du film également. Je n'ai pas trouvé Mel Gibson très convaincant en Fletcher Christian; par contre, Anthony Hopkins est parfait en lieutenant Bligh, plus torturé que tyrannique dans cette version: 6,5/10
Sudden Death de Peter Hyams (1995):
Un sous piège de cristal absolument jouissif: combat jubilatoire avec une mascotte qui dure 10 minutes, des scènes d'actions sur toit de stade de hockey bien enlevées et un méchant wunderbar porté par un Powers Boothe plein de reparties assassines. Je suis surpris qu'il soit aussi sous estimé: 7/10
Bone Tomahawk de S. Craig Zahler (2015): 6,5/10
Replicant de Ringo Lam (2001)
J'étais surpris de voir Michal Rooker dans un rôle de gentil. C'était avant de constater qu'il s'agissait du personnage le plus flippant de l'histoire, un fou furieux absolument incontrolable : 6/10
Rock de Michael Bay (1995)
La première heure est assez pénible, puis on se laisse peu à peu convaincre par l'histoire, grâce au personnage d'Ed Harris, méchant peu conventionnel pour un film made in Bruckheimer. La dernière demi-heure est assez étonnante et bien troussée niveau action: 6/10
Prince of Foxes d'Henri King (1949)
La reconstitution est parfaite, mais le film manque considérablement de souffle épique, surtout vu le potentiel du scénario. Je ne connaissait pas Wanda Hendrix, et il faut avouer que sa beauté est plutôt estomaquante: 6/10
The black rose de Henry Hathaway (1949)
On remet le couvert pour le duo Tyrone Power-Orson Welles (première fois que je le vois aussi peu convaincant dans un film. En même temps, quel cadeau de lui confier le rôle d'un seigneur de guerre mongol...). J'ai trouvé ce film très bavard et franchement assez peu intéressant: 5,5/10
The Kremlin Letter de John Huston (1970): 5/10
Hard Target de John Woo (1993)
Pour le mulet de JCVD flottant au ralenti dans l'air: 5/10
Canicule d'Yves Boisset (1983)
Un Ovni du cinéma français d'une vulgarité sans nom, mais assez rigolo à regarder avec des amis. Mais par quel concours de circonstance Lee Marvin s'est-il retrouvé dans cette galère beauceronne ? 4,5/10
In hell de Ringo Lam (2003): 4/10
Her, de Spike Jonze (2014)
Un film absolument remarquable de justesse, aussi bien dans les interactions des personnages que dans leur quête de nouveaux enchantements, à l'ère des intelligences artificielles: 9/10
The life and death of Colonel Blimp de Michael Powell et Emeric Pressburger(1943)
J'ai plutôt apprécié la manière dont l'histoire dépeint de manière nuancée le renversement des valeurs à travers les antagonismes politiques entre le Royaume Uni et l'Allemagne sur 40 ans. L'évolution du personnage d'Anton Walbrook est à ce titre la plus surprenante et la plus émouvante. Cependant, grosse déception autour des personnages joués par Deborah Kerr. Il est déjà difficile à avaler de voir une même actrice jouer 3 rôles, aux physiques aussi similaires, mais j'ai trouvé en plus que ces derniers manquaient considérablement de consistance. A ce titre, son premier rôle n'est plus développé avant même la moitié du film, ce qui est difficile à justifier à mon sens lorsque l'on mesure son importance pour les deux principaux protagonistes du film: 7,5/10
Sylvie et le fantôme de Claude Autant-Lara (1945)
Une comédie fantastique pleine de charme. Touchante interprétation d'Odette Joyeux qui n'a aucun mal à interpréter une jeune fille qui a la moitié de son âge: 7,5/10
Under the skin de Jonathan Glazer (2013): 7,5/10
The Locket de John Brahm (1946)
Plus je découvre les films de ce réalisateur, plus j'ai l'impression que celui-ci est l'un des metteurs en scène hollywoodiens les plus sous-estimés des années 40. L'histoire: le future mari d'une femme visiblement parfaite reçoit la visite d'un docteur qui annonce que celle-ci souffre de troubles psychologiques. La déroulement complexe de l'histoire (plusieurs flashbacks enchâssés) est habilement narré et permet de cerner peu à peu le personnage torturé joué par Laraine Day, avant une conclusion particulièrement oppressante: 7,5/10
Phantom Lady de Robert Siodmak (1944)
Le traitement de ce film noir est plutôt original: 1 demi-heure centrée sur la victime de l'histoire et l'enquête qui suit menée par un personnage féminin, portée par une Ella Raines aux multiples facettes. Belle mise en scène expressionniste de Siodmak. La conclusion, plutôt attendue, laisse un peu sur sa faim par contre : 7/10
I'll never forget you de Roy Ward Baker (1951): 7/10
Le Bounty de Roger Donaldson (1983):
Belle reconstitution de l'univers du Bounty, mais l'ensemble manque un peu de rythme. La musique de Vangelis totalement hors sujet, m'a sorti pas mal de fois du film également. Je n'ai pas trouvé Mel Gibson très convaincant en Fletcher Christian; par contre, Anthony Hopkins est parfait en lieutenant Bligh, plus torturé que tyrannique dans cette version: 6,5/10
Sudden Death de Peter Hyams (1995):
Un sous piège de cristal absolument jouissif: combat jubilatoire avec une mascotte qui dure 10 minutes, des scènes d'actions sur toit de stade de hockey bien enlevées et un méchant wunderbar porté par un Powers Boothe plein de reparties assassines. Je suis surpris qu'il soit aussi sous estimé: 7/10
Bone Tomahawk de S. Craig Zahler (2015): 6,5/10
Replicant de Ringo Lam (2001)
J'étais surpris de voir Michal Rooker dans un rôle de gentil. C'était avant de constater qu'il s'agissait du personnage le plus flippant de l'histoire, un fou furieux absolument incontrolable : 6/10
Rock de Michael Bay (1995)
La première heure est assez pénible, puis on se laisse peu à peu convaincre par l'histoire, grâce au personnage d'Ed Harris, méchant peu conventionnel pour un film made in Bruckheimer. La dernière demi-heure est assez étonnante et bien troussée niveau action: 6/10
Prince of Foxes d'Henri King (1949)
La reconstitution est parfaite, mais le film manque considérablement de souffle épique, surtout vu le potentiel du scénario. Je ne connaissait pas Wanda Hendrix, et il faut avouer que sa beauté est plutôt estomaquante: 6/10
The black rose de Henry Hathaway (1949)
On remet le couvert pour le duo Tyrone Power-Orson Welles (première fois que je le vois aussi peu convaincant dans un film. En même temps, quel cadeau de lui confier le rôle d'un seigneur de guerre mongol...). J'ai trouvé ce film très bavard et franchement assez peu intéressant: 5,5/10
The Kremlin Letter de John Huston (1970): 5/10
Hard Target de John Woo (1993)
Pour le mulet de JCVD flottant au ralenti dans l'air: 5/10
Canicule d'Yves Boisset (1983)
Un Ovni du cinéma français d'une vulgarité sans nom, mais assez rigolo à regarder avec des amis. Mais par quel concours de circonstance Lee Marvin s'est-il retrouvé dans cette galère beauceronne ? 4,5/10
In hell de Ringo Lam (2003): 4/10
Dernière modification par Lockwood le 30 déc. 15, 12:27, modifié 2 fois.
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Re: Votre film du mois de Décembre 2015
Film du mois de novembre 2015
Film du mois
Films découverts
The Ridiculous 6 (2015) 6.5 / 10
Star Wars: The Force Awakens (2015) 8 /10
Point Break (2015) 8.5 / 10
Films redécouverts
Star Wars: Episode I - The Phantom Menace (1999) 7.5 / 10
Star Wars : Episode II - The attack of the clones (2002) 7 / 10
Star Wars : Episode III - The revenge of the Sith (2005) 8 / 10
Star Wars : Episode IV - A new hope (1977) 8.5 / 10
Films des mois précédents de JUIN 2008 à NOVEMBRE 2015
Année 2008
Film du mois
Films découverts
The Ridiculous 6 (2015) 6.5 / 10
Star Wars: The Force Awakens (2015) 8 /10
Point Break (2015) 8.5 / 10
Films redécouverts
Star Wars: Episode I - The Phantom Menace (1999) 7.5 / 10
Star Wars : Episode II - The attack of the clones (2002) 7 / 10
Star Wars : Episode III - The revenge of the Sith (2005) 8 / 10
Star Wars : Episode IV - A new hope (1977) 8.5 / 10
Films des mois précédents de JUIN 2008 à NOVEMBRE 2015
Année 2008
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Dernière modification par someone1600 le 13 janv. 16, 02:37, modifié 1 fois.
Top 20 actuel
http://www.shompy.com/someone1600/l10080_frfr.html
Mes dvd
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Re: Votre film du mois de Décembre 2015
Film du mois décembre 2015
Fanny & Alexandre - Ingmar Bergman
Films vus
● Capitaine Dent de Sabre le trésor de Lama Rama - John Andreas Andersen + Lisa Marie Gamlem - 3/6.
● Blind - Eskil Vogt - 5/6.
● La femme insecte - Shohei Imamura - 4/6. Imamura dresse un portrait de femme (et de sa fille) sur près de 40 ans dans un film certainement pas aimable et assez dur mais avec déjà les touches d'humanités qui lui sont chères. Pas un grand Imamura mais déjà une carrière qui s'annonce très riche. Et puis il y a le fameux plan culte du père incestueux avec sa fille dans la nature...
● Strip-Tease - Jacques Poitrenaud - 4/6. Une curiosité. Nico joue comme un pied en mode monofacial à deux expressions et réussi à faire encore plus fort que Léa Seydoux. Mais garde son aura fascinante toutefois. Autour de ça, Darry Cowl est en roue libre, Gainsbourg signe la musique et fait un petit caméo dans le film et on se rince l'oeil tranquillou dans un film qui évite d'ailleurs l'aspect purement glauque/misérabiliste qui aurait pu échoir dans la fin. Au contraire, celle-ci parvient même à émouvoir un peu ce qui n'est pas si mal.
● Cobra le film - Osamu Dezuki - 4/6. Une curiosité bis. J'ai fait plein de captures en appel du pied (en pensant à Demi-Lune en fait sur cette série B de SF animée) en plaisir coupable à ce truc où Cobra se la joue en mode Bebel que c'en est jubilatoirement trop gros.
● Star wars - episode VII - Un nouvel espoir de la force qui se réveille - J.J.Abrams - 3/6.
● Vanishing waves - Kristina Buozyte - 4/6.
● Der Samurai - Till Kleinert - 4,5/6.
● Enquête sur une passion - Nicolas Roeg - 5/6. Passionnant de bout en bout et probablement le Roeg le plus complexe pour moi même si pas forcément mon préféré.
● Fanny & Alexandre - Ingmar Bergman - 6/6. Version longue siouplaît. Bonheur de tous les instants. Film du mois inattendu et bienvenu.
A part :
- Cocottes et courtisanes dans l'oeil des peintres - Sandra Paugam (documentaire)
- Le Prisonnier (quelques épisodes)
- FLCL
- Sherlock Holmes - la série de Miyazaki + Mikuriya (quelques épisodes)
Films revus-redécouverts
● Vice versa - Pete Docter - 6/6.
● Mad Max Fury Road - George Miller - 5/6.
● Alien - Ridley Scott - 6/6. Juste le meilleur film du monde. Cela dit, pourquoi le Gaumont fauvette a passé le film dans sa version director's cut et non cinéma ? Le mystère demeure.
● Star Wars épisode III - La revanche des slip...siths - Georges Lucas - 5/6. Vous aurez beau me sortir le "NOOOOO" final de Darkou à la fin (coucou Rata), rien à branler.
● The birds - Hitchcock - 6/6. Encore un autre meilleur film du monde, voui voui. Magistrale redécouverte dans le Blu-ray sorti dernièrement qui efface la pénible version du DVD.
● Le village des damnés - John Carpenter - 4/6. Mineur mais je l'aime bien.
● Tremors - Ron Underwood - 4/6.
● Deep End - Jerzy Skolimowski - 5/6. But I might die tonight ! chante justement Cat Stevens. Il a raison, on risque toujours autant de se noyer dans la piscine. Ou probablement d'amour pour la jolie Jane Asher.
● Star wars episode V : L'empire contre attaque - Irvin Kershner - 6/6. Oh juste encore et encore un des meilleurs films du monde (le meilleur ?). C'est Noël.
● Gremlins 2 - Joe Dante - 5/6. Presqu'une redécouverte : je me souvenais de plein de passages du film mais le DVD sous plastique indiquait bien qu'il fallait que je me le revoie un de ces jours, pourquoi repousser son plaisir ?
● L'histoire sans fin - Wolfgang Petersen - 6/6. Oh, encore le... Ouais je radote. Et là on ne sera pas forcément d'accord avec moi. Tant pis. Le blu-ray est somptueux.
● Sacré Robin des bois ! - Mel Brooks - 3/6. Me rappelais plus que c'était si faible dans les gags, mince.
● Matrix - Wachowski bros - 5/6.
● The game - David Fincher - 5/6.
Dernière modification par Anorya le 31 déc. 15, 13:31, modifié 1 fois.
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Re: Votre film du mois de Décembre 2015
American Beauty - Sam Mendes - 1999 : Première fois que je vois ce film considéré "de chevet" pour n'importe qui dans l'opinion populaire. Je craignais un film consensuel, racoleur, il est vrai que le film n'est pas une satire aussi subversive qu'il le prétend (sinon, nombre de gens ne s'y seraient pas reconnus) mais très calculée. Une oeuvre de petit malin donc, mais qui, je dois l'avouer, reste tout de même efficace, le cinéaste sachant raconter une histoire, à défaut de dire la vérité, et le film bénéficiant surtout de la prestation grandiose de Kevin Spacey. Sinon, je le répète mais je ne suis pas convaincu de la portée "réelle" du propos, or tout le monde la vante : qui a raison ? Alors soit je vis une vie bien plus saine que la plupart des gens, soit je rate un truc dans ma vie. 4/6
Bad Lieutenant : Escale à la Nouvelle-Orléans - Werner Herzog - 2009 : Alors ça c'est un film fou, qui aurait pu l'être encore davantage cependant (parce que bon, le mariage avec la prostituée enceinte fière de son nouveau mari, les honneurs à la fin, "ils vécurent heureux et eurent beaucoup d'enfants" voilà quoi ce n'était pas nécessaire). L'intrigue, on s'en fout complètement, mais la mise en scène hallucinée de ce grand cinéaste qu'est Herzog rend le film jamais ennuyant, et la prestation de Nicolas Cage est démentielle. Le film est peut-être bien plus important qu'il ne le parait : c'est le lanceur d'une mode renouvelée, celle du polar déjanté psychédélique seventies avec les pontes du genre comme Le Privé d'Altman, qui revient à la charge ces derniers temps, avec Paul Thomas Anderson, James Gunn, Dan Gilroy... Toutes les scènes psyché du film sont de grands moments. Un trip dénué de sens, mais un trip bien jouissif. 4 ou 5/6
Prête à tout - Gus Van Sant - 1994 : Qui ne vaut que pour la présence hypnotique extraordinaire de Nicole Kidman. Sinon, ce film ne sait pas où aller, vers le thriller ou la satire certainement, sans y parvenir. 2/6
Star Wars VII : Le Réveil de la Force - J.J Abrams - 2015 : On ne va pas se mentir, ce septième épisode est un quasi-remake du Nouvel Espoir, Han Solo devenant le mentor Ben Kenobi, Kylo Ren le Dark Vador, Rey le double féminin de Luke Skywalker, ce dernier laissant à la fin penser qu'il va jouer pour cette fille le rôle qu'a eu pour lui Yoda. On retrouve même des coupures similaires de montage.
Alors forcément, en reprenant les ficelles du schéma mythologique et narratif de la saga, J.J Abrams parvient à faire réveiller en chacun d'entre nous la nostalgie du premier volet. Et c'est là sa plus grande force. Il y a de beaux moments mélancoliques, le cinéaste fait fi du mauvais goût et de la surenchère présents dans la prélogie pour revenir à la simplicité et à l'élégance des deux premiers volets. C'est d'ailleurs clairement l'épisode le plus élégant de la saga : la photographie est somptueuse, le combat final dans un cadre champêtre enneigé est esthétiquement magnifique et rappellerait presque Kurosawa (selon la volonté même du réalisateur...), le visage de Luke qui se dévoile à la toute fin, ces chasseurs de la Résistance qui surgissent et qui font valser l'eau de la mer, comme tant d'autres plans...
La musique est très bien reprise aussi, mais peut-être pas assez, je ne crois d'ailleurs pas que l'on entende le très puissant morceau de la bande-annonce, sauf à la toute fin peut-être, fin qui est d'ailleurs assez belle, convenue mais belle quand même et qui fait son petit effet.
A ce niveau, J.J Abrams est bel et un bien un auteur qui conserve son style : la mélancolie d'un produit sorti des seventies, l'esthétique à en couper le souffle, l'accentuation des couleurs... Visuellement, il semble avoir résisté à des pressions évidentes de la production.
Je ne sais pas si on peut en dire autant du scénario, cela dit. La principale faiblesse de ce point de vue est que le film ne se repose jamais, les éclats de nostalgie ne s'imposent pas assez dans le temps, il y a ce besoin d'être constamment dans l'action, dans le divertissement... J'ai l'impression que le cinéaste voulait en faire plus, je voulais plus d'importance accordée à la mélancolie directe, celle qui provient du film, pas de notre sensibilité à l'univers créé il y a une quarantaine d'années.
Il y a aussi des facilités scénaristiques évidentes. D'ailleurs le personnage incarné par Gwendolyne Christie, le Captain Phasma dont le look est clairement un clin d'oeil aux Fett, souffre du syndrome Fett : un personnage d'allure classe et imposante, mais qui se fait marcher dessus tout au long du film de manière assez irrespectueuse et ironique.
Concernant le principal antagoniste, j'attends de voir les prochains épisodes, sa psychologie n'a clairement pas été développée, malgré des bases qui semblent se poser ici. Vrai antihéros tourmenté par des complexes véritablement tragiques, ou juste faux-méchant gnian gnian comme peut en produire Disney ? L'avenir nous le dira.
Ce qui est inquiétant aussi, c'est que J.J Abrams ne soit pas à la direction de chaque épisode de cette nouvelle trilogie. Malgré son sens virtuose de l'esthétique et de l'atmosphère, on ne peut vanter une vraie solidité scénaristique, il faut espérer que ses successeurs arrivent à, eux aussi, ajouter leur patte d'auteur pour compenser cette faiblesse.
Sans quoi il en ressortirait quelque chose d'évidemment fade et mièvre.
Au final, ce Star Wars, c'est un film sur le passé, sur la nostalgie, sur les regrets. Il renvoie constamment un miroir au spectateur, ce que nous voulons voir : ces héros qui, comme nous, ont vieilli, et qui, comme nous, sont là pour assister à un éternel recommencement, le plus nostalgique possible. Et c'est ça que je trouve beau, même si on peut reprocher au cinéaste de, justement, ne pas transcender nos attentes et l'univers.
Mais si la force du film est le passé, les nouveaux ne sont pas en reste : Daisy Ridley dégage une vraie présence et Oscar Isaac a cette gueule de héros des années 60/70 qui correspond bien à l'intention du film. 5/6
Des Hommes et des Dieux - Xavier Beauvois - 2010 : Film très sage et très juste, qui devrait servir de modèle quant aux propos qu'il tient sur la situation en Algérie, sur un choc des civilisations, des religions. Le film est ponctué par de véritables éclats de poésie et de plastique magnifique, mais on sent toutefois que Beauvois n'a pas véritablement la foi, ce qui fait que la beauté du fond et de la forme et la représentation du martur n'atteingnent jamais le mysticisme d'un Dreyer ou d'un Tarkovski. 5/6
Casanova - Federico Fellini - 1977 : L'inventivité esthétique de Fellini triomphe une fois de plus, Nino Rota a encore une fois fait du très bon boulot et le portrait de cette société décadente est d'un cynisme destructeur, mais je suis moins sensible lorsque le cinéaste s'adonne à cette bouffonnerie bruyante, vulgaire et laide, cette plongée dans un vide où nous ne verrons finalement ni réelle grandeur ni descente aux enfers véritable. Comme testament d'une société, je préfère largement "Et Vogue le Navire", symphonie d'une beauté sidérante, ode à un humanisme immortel et invincible. 4/6
Scorpio Rising - Kenneth Anger - 1963 : Soit le film expérimental le plus célèbre de l'auteur, pour commencer. Que dire de plus sinon que c'est visionnaire, avec un travail sonore parfait et une utilisation musicale qui a forcément inspiré des types comme Scorsese ou Tarantino (comme la capacité à fondre de l'underground dans du pop et inversement)... Après, j'avoue qu'en soi, expérimentalement, ce n'est pas très intéressant à regarder et que c'est plutôt la symbiose entre l'image et le son qui permet de garder l'attention. 4/6
New York-Miami - Frank Capra - 1934 : Un des lanceurs du genre de la rom com, celui-là se distingue surtout par son manque de sophistications et de lourds artifices, et c'en est pas plus mal, car il évite alors la poussière et les archaïsmes du cinéma hollywoodien de l'époque. Les répliques font mouches, le film est très drôle (les diverses démonstrations de Clark Gable sont ultra-savoureuses) et on en ressort léger et heureux. J'avais très mal commencé avec Capra avec La Vie est Belle (à revoir, peut-être, bien que je n'en ai pas spécialement l'envie), mais c'est le troisième film qui me pousse à me réconcilier avec l'auteur. 5/6
JFK - Oliver Stone - 1991 : Si le film dit totalement la vérité, je ne le sais pas, et je ne le pense pas totalement. Ce que je sais, c'est que le film détruit un mythe inacceptable par un autre mythe et qu'il le fait brillamment. Et si le film ne dit pas à 100% la vérité, il en reste un appel à cela, et c'est peut-être bien l'appel le plus important du cinéma, explicité par le regard caméra spontané de Costner à la fin de sa tirade majestueuse sur le désir ardent de la transparence et ces merveilleux mots inscrits au générique de fin : "Dédié à la jeunesse en qui survit la quête de vérité". Le film est une véritable leçon civique, et si le personnage de Costner ne représente peut-être pas le juge réel qui, parait-il, est un peu plus névrosé et suspect, il incarne cette volonté du cinéaste à briser une vérité fallacieuse d'Etat, et à guider le peuple dans cette lucidité d'esprit. Je vais peut-être parler comme un enfant ou comme une âme influençable, mais il est possible que ce film vient de bouleverser en moi certains buts, certaines conceptions du monde.
Si le film est important politiquement, il est aussi une virtuose prouesse cinématographique. Le rythme ne s’essouffle pas une seconde lors de ces grandioses trois heures vingt-cinq, et Kevin Costner est formidable, et livre un véritable exploit dramatique dans sa longue plaidoirie finale, en digne héritier de Stewart avec Capra, l'idéalisme en moins, la lucidité en plus. Le thriller n'est pas grandiloquent, mais d'une grande intensité car jamais les enjeux n'ont été si importants et réels. De ce fait, j'ose affirmer que nous tenons là un des films les plus importants de l'Histoire. 6/6 ===> FILM DU MOIS
Promised Land - Gus Van Sant - 2013 : Le calme profond et le souffle qui émanent de l'oeuvre font la principale qualité du film, et la mise en scène illustre alors son propos et l'état d'âme du personnage principal. Derrière cette apparence paisible, bucolique, se cache aussi un vrai thriller économique, politique et écologique, tout cela basé sur la manipulation. Et un thriller pertinent, lucide (un portrait d'une société en perte de repères), qui s'égare toutefois de ses vertus lors du final, où le film devient alors une fable, belle mais très prévisible. Une fable sans grands artifices d'idéaux toutefois, offrant le salut de l'âme mais pas celui de la planète, comme le témoigne cette fin qui ne dresse pas le résultat des votes ni des conséquences pragmatiques que cela implique, évoquées au début du film, quel qu'en soit l'issu de la décision. A noter une complicité touchante et généreuse entre Matt Damon et Frances MacDormand. 5/6
Bad Lieutenant : Escale à la Nouvelle-Orléans - Werner Herzog - 2009 : Alors ça c'est un film fou, qui aurait pu l'être encore davantage cependant (parce que bon, le mariage avec la prostituée enceinte fière de son nouveau mari, les honneurs à la fin, "ils vécurent heureux et eurent beaucoup d'enfants" voilà quoi ce n'était pas nécessaire). L'intrigue, on s'en fout complètement, mais la mise en scène hallucinée de ce grand cinéaste qu'est Herzog rend le film jamais ennuyant, et la prestation de Nicolas Cage est démentielle. Le film est peut-être bien plus important qu'il ne le parait : c'est le lanceur d'une mode renouvelée, celle du polar déjanté psychédélique seventies avec les pontes du genre comme Le Privé d'Altman, qui revient à la charge ces derniers temps, avec Paul Thomas Anderson, James Gunn, Dan Gilroy... Toutes les scènes psyché du film sont de grands moments. Un trip dénué de sens, mais un trip bien jouissif. 4 ou 5/6
Prête à tout - Gus Van Sant - 1994 : Qui ne vaut que pour la présence hypnotique extraordinaire de Nicole Kidman. Sinon, ce film ne sait pas où aller, vers le thriller ou la satire certainement, sans y parvenir. 2/6
Star Wars VII : Le Réveil de la Force - J.J Abrams - 2015 : On ne va pas se mentir, ce septième épisode est un quasi-remake du Nouvel Espoir, Han Solo devenant le mentor Ben Kenobi, Kylo Ren le Dark Vador, Rey le double féminin de Luke Skywalker, ce dernier laissant à la fin penser qu'il va jouer pour cette fille le rôle qu'a eu pour lui Yoda. On retrouve même des coupures similaires de montage.
Alors forcément, en reprenant les ficelles du schéma mythologique et narratif de la saga, J.J Abrams parvient à faire réveiller en chacun d'entre nous la nostalgie du premier volet. Et c'est là sa plus grande force. Il y a de beaux moments mélancoliques, le cinéaste fait fi du mauvais goût et de la surenchère présents dans la prélogie pour revenir à la simplicité et à l'élégance des deux premiers volets. C'est d'ailleurs clairement l'épisode le plus élégant de la saga : la photographie est somptueuse, le combat final dans un cadre champêtre enneigé est esthétiquement magnifique et rappellerait presque Kurosawa (selon la volonté même du réalisateur...), le visage de Luke qui se dévoile à la toute fin, ces chasseurs de la Résistance qui surgissent et qui font valser l'eau de la mer, comme tant d'autres plans...
La musique est très bien reprise aussi, mais peut-être pas assez, je ne crois d'ailleurs pas que l'on entende le très puissant morceau de la bande-annonce, sauf à la toute fin peut-être, fin qui est d'ailleurs assez belle, convenue mais belle quand même et qui fait son petit effet.
A ce niveau, J.J Abrams est bel et un bien un auteur qui conserve son style : la mélancolie d'un produit sorti des seventies, l'esthétique à en couper le souffle, l'accentuation des couleurs... Visuellement, il semble avoir résisté à des pressions évidentes de la production.
Je ne sais pas si on peut en dire autant du scénario, cela dit. La principale faiblesse de ce point de vue est que le film ne se repose jamais, les éclats de nostalgie ne s'imposent pas assez dans le temps, il y a ce besoin d'être constamment dans l'action, dans le divertissement... J'ai l'impression que le cinéaste voulait en faire plus, je voulais plus d'importance accordée à la mélancolie directe, celle qui provient du film, pas de notre sensibilité à l'univers créé il y a une quarantaine d'années.
Il y a aussi des facilités scénaristiques évidentes. D'ailleurs le personnage incarné par Gwendolyne Christie, le Captain Phasma dont le look est clairement un clin d'oeil aux Fett, souffre du syndrome Fett : un personnage d'allure classe et imposante, mais qui se fait marcher dessus tout au long du film de manière assez irrespectueuse et ironique.
Concernant le principal antagoniste, j'attends de voir les prochains épisodes, sa psychologie n'a clairement pas été développée, malgré des bases qui semblent se poser ici. Vrai antihéros tourmenté par des complexes véritablement tragiques, ou juste faux-méchant gnian gnian comme peut en produire Disney ? L'avenir nous le dira.
Ce qui est inquiétant aussi, c'est que J.J Abrams ne soit pas à la direction de chaque épisode de cette nouvelle trilogie. Malgré son sens virtuose de l'esthétique et de l'atmosphère, on ne peut vanter une vraie solidité scénaristique, il faut espérer que ses successeurs arrivent à, eux aussi, ajouter leur patte d'auteur pour compenser cette faiblesse.
Sans quoi il en ressortirait quelque chose d'évidemment fade et mièvre.
Au final, ce Star Wars, c'est un film sur le passé, sur la nostalgie, sur les regrets. Il renvoie constamment un miroir au spectateur, ce que nous voulons voir : ces héros qui, comme nous, ont vieilli, et qui, comme nous, sont là pour assister à un éternel recommencement, le plus nostalgique possible. Et c'est ça que je trouve beau, même si on peut reprocher au cinéaste de, justement, ne pas transcender nos attentes et l'univers.
Mais si la force du film est le passé, les nouveaux ne sont pas en reste : Daisy Ridley dégage une vraie présence et Oscar Isaac a cette gueule de héros des années 60/70 qui correspond bien à l'intention du film. 5/6
Des Hommes et des Dieux - Xavier Beauvois - 2010 : Film très sage et très juste, qui devrait servir de modèle quant aux propos qu'il tient sur la situation en Algérie, sur un choc des civilisations, des religions. Le film est ponctué par de véritables éclats de poésie et de plastique magnifique, mais on sent toutefois que Beauvois n'a pas véritablement la foi, ce qui fait que la beauté du fond et de la forme et la représentation du martur n'atteingnent jamais le mysticisme d'un Dreyer ou d'un Tarkovski. 5/6
Casanova - Federico Fellini - 1977 : L'inventivité esthétique de Fellini triomphe une fois de plus, Nino Rota a encore une fois fait du très bon boulot et le portrait de cette société décadente est d'un cynisme destructeur, mais je suis moins sensible lorsque le cinéaste s'adonne à cette bouffonnerie bruyante, vulgaire et laide, cette plongée dans un vide où nous ne verrons finalement ni réelle grandeur ni descente aux enfers véritable. Comme testament d'une société, je préfère largement "Et Vogue le Navire", symphonie d'une beauté sidérante, ode à un humanisme immortel et invincible. 4/6
Scorpio Rising - Kenneth Anger - 1963 : Soit le film expérimental le plus célèbre de l'auteur, pour commencer. Que dire de plus sinon que c'est visionnaire, avec un travail sonore parfait et une utilisation musicale qui a forcément inspiré des types comme Scorsese ou Tarantino (comme la capacité à fondre de l'underground dans du pop et inversement)... Après, j'avoue qu'en soi, expérimentalement, ce n'est pas très intéressant à regarder et que c'est plutôt la symbiose entre l'image et le son qui permet de garder l'attention. 4/6
New York-Miami - Frank Capra - 1934 : Un des lanceurs du genre de la rom com, celui-là se distingue surtout par son manque de sophistications et de lourds artifices, et c'en est pas plus mal, car il évite alors la poussière et les archaïsmes du cinéma hollywoodien de l'époque. Les répliques font mouches, le film est très drôle (les diverses démonstrations de Clark Gable sont ultra-savoureuses) et on en ressort léger et heureux. J'avais très mal commencé avec Capra avec La Vie est Belle (à revoir, peut-être, bien que je n'en ai pas spécialement l'envie), mais c'est le troisième film qui me pousse à me réconcilier avec l'auteur. 5/6
JFK - Oliver Stone - 1991 : Si le film dit totalement la vérité, je ne le sais pas, et je ne le pense pas totalement. Ce que je sais, c'est que le film détruit un mythe inacceptable par un autre mythe et qu'il le fait brillamment. Et si le film ne dit pas à 100% la vérité, il en reste un appel à cela, et c'est peut-être bien l'appel le plus important du cinéma, explicité par le regard caméra spontané de Costner à la fin de sa tirade majestueuse sur le désir ardent de la transparence et ces merveilleux mots inscrits au générique de fin : "Dédié à la jeunesse en qui survit la quête de vérité". Le film est une véritable leçon civique, et si le personnage de Costner ne représente peut-être pas le juge réel qui, parait-il, est un peu plus névrosé et suspect, il incarne cette volonté du cinéaste à briser une vérité fallacieuse d'Etat, et à guider le peuple dans cette lucidité d'esprit. Je vais peut-être parler comme un enfant ou comme une âme influençable, mais il est possible que ce film vient de bouleverser en moi certains buts, certaines conceptions du monde.
Si le film est important politiquement, il est aussi une virtuose prouesse cinématographique. Le rythme ne s’essouffle pas une seconde lors de ces grandioses trois heures vingt-cinq, et Kevin Costner est formidable, et livre un véritable exploit dramatique dans sa longue plaidoirie finale, en digne héritier de Stewart avec Capra, l'idéalisme en moins, la lucidité en plus. Le thriller n'est pas grandiloquent, mais d'une grande intensité car jamais les enjeux n'ont été si importants et réels. De ce fait, j'ose affirmer que nous tenons là un des films les plus importants de l'Histoire. 6/6 ===> FILM DU MOIS
Promised Land - Gus Van Sant - 2013 : Le calme profond et le souffle qui émanent de l'oeuvre font la principale qualité du film, et la mise en scène illustre alors son propos et l'état d'âme du personnage principal. Derrière cette apparence paisible, bucolique, se cache aussi un vrai thriller économique, politique et écologique, tout cela basé sur la manipulation. Et un thriller pertinent, lucide (un portrait d'une société en perte de repères), qui s'égare toutefois de ses vertus lors du final, où le film devient alors une fable, belle mais très prévisible. Une fable sans grands artifices d'idéaux toutefois, offrant le salut de l'âme mais pas celui de la planète, comme le témoigne cette fin qui ne dresse pas le résultat des votes ni des conséquences pragmatiques que cela implique, évoquées au début du film, quel qu'en soit l'issu de la décision. A noter une complicité touchante et généreuse entre Matt Damon et Frances MacDormand. 5/6
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