Commentaires à propos de votre déception du mois

[Addis-Abeba]

The arrival - David Twohy - 1996

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J'ai honte. Comment se fait-il que j'avais ça dans mes étagères. J'ai du le trouver sympa y'a presque 20 ans. Hop dans le lecteur et...
En plus le blu est pourri, sans stf avec un making-of que j'ai regardé quelques minutes et qui montre à quel point le numérique vieillit terriblement mal.
J'ai en tête l'utilisation géniale des sfx à l'ancienne dans les films de Cronenberg. Prenons Vidéodrome: c'est daté mais ça reste fort et inoubliable.

J'avais justement très envie de le revoir...
Mais comme la dernière fois remonte à bien moins de 20 ans, la déception sera certainement moindre. De toute façon, je ne l'ai jamais considéré comme un grand film de SF mais comme un excellent divertissement de série B

Revu il y a six ou sept ans et je te rassure je trouve que c'est toujours une serie B divertissante, comme j'aimerai en voir encore de nos jours.Les sfx ont vieilli bien sur, comme ils continueront à le faire , mais toujours moins vite que les CGI actuels, la plupart déjà bien pourris dés leurs fabrications.

[hellrick]

Je vais aussi me le reprendre ce THE ARRIVAL, ça m'a donné envie

[zeotrope]

Revu il y a six ou sept ans et je te rassure je trouve que c'est toujours une serie B divertissante, comme j'aimerai en voir encore de nos jours.Les sfx ont vieilli bien sur, comme ils continueront à le faire , mais toujours moins vite que les CGI actuels, la plupart déjà bien pourris dés leurs fabrications.

Oui j'en pensais la même chose avant de le revoir... avant-hier.

[Addis-Abeba]

Revu il y a six ou sept ans et je te rassure je trouve que c'est toujours une serie B divertissante, comme j'aimerai en voir encore de nos jours.Les sfx ont vieilli bien sur, comme ils continueront à le faire , mais toujours moins vite que les CGI actuels, la plupart déjà bien pourris dés leurs fabrications.

Oui j'en pensais la même chose avant de le revoir... avant-hier.

Mais regarde le à nouveau demain, une fois la déception digérée, chez moi ça fonctionne

[zeotrope]

Mais regarde le à nouveau demain, une fois la déception digérée, chez moi ça fonctionne

Trop tard j'en ai pété en deux le blu de rage. Poubelle.

[hellrick]

Trop tard j'en ai pété en deux le blu de rage. Poubelle.

[Anorya]

Mais regarde le à nouveau demain, une fois la déception digérée, chez moi ça fonctionne

Trop tard j'en ai pété en deux le blu de rage. Poubelle.

Bon alors qu'est-ce que ça va être avec la trilogie de the human centipede...
Et là, il fait exploser sa maison.

[Dale Cooper]

Trop tard j'en ai pété en deux le blu de rage. Poubelle.

Bon alors qu'est-ce que ça va être avec la trilogie de the human centipede...

Ah ils ont réussi à en faire trois films ?
J'ai entendu parler du deux, où des types s'inspirent du premier film (donc un film dans le film). Dans le trois c'est quoi ? D'autres types qui s'inspirent des types qui se sont inspirés du premier ?

[Rockatansky]

Enjoy

[Addis-Abeba]

Enjoy

On se demande d'ailleurs s'il va apparaitre un jour dans ce troisième opus
Qu'on aime ou pas (je ne sais pas où je me situe), c'est quand même un grand film de malade, Dieter Laser se livre à un numéro de cabotinage (là pour le coup Rocka ) parmi les plus mémorables de l'histoire du cinéma, faut le voir pour le croire.

[nobody smith]

Vu à l’instant Hisss et ça fait un petit moment que je n’avais pas vu un ratage de cette envergure. Tu m’étonnes que Jennifer Lynch ait totalement renié le film après que les producteurs l’ont éjecté de la salle de montage. Je crois qu’on tient une pièce-maîtresse de la tendance "je montes mon film comme une bande annonce". Des voix-off aux divers effets de style ajoutés en post-prod en passant par l’utilisation de la musique, tout convoque plus un clip promotionnel qu’un film de cinéma. Non content d’enlever tout sens ou intérêt à l’histoire, ça donne de grands moments d’embarras ou de ridicule. Je ne suis pas sûr que l’œuvre originale de Lynch aurait été très réussi (l’interprétation est calamiteuse, les effets spéciaux très craignos) mais nul doute qu’elle aurait été d’un tout autre niveau (il y a une séduisante note poétique dans certains instants d’errance de la magnifique Mallika Sherawat). Faudrait maintenant que je mette la main sur le documentaire Despite The Gods revenant sur cette triste expérience bollywoodienne.

[Rockatansky]

La bande annonce du docu est alléchante en tout cas

[Major Tom]

Star Wars 7 : Le Réveil de la Force

Je ne suis plus fan de cette saga depuis des années, mais même, celui-là, en tant que pur produit de blockbuster ou simplement de cinéma, c'est juste chiant, prévisible, musicalement raté, mal joué sauf pour l'actrice (seul point positif avec éventuellement certains effets spéciaux) qui j'en suis sûr trouvera de meilleurs projets à l'avenir, et en plus c'est purement de la redite, du début à la fin. Tout ce que Demi-Lune avait pu dire (et que j'avais lu en diagonal à l'époque pour éviter les spoilers, entre autres) était donc vrai.

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- Oh mais qu'est-ce que c'est ? Une Deathstar ?...
- Non, une Starkiller !
- Une StarKil... c'est quoi ?
- Ben une Deathstar mais plus grande.

[nobody smith]

Il y a un exécutif chez Disney qui a bouffé l’intégralité du dessin animé Inspecteur Gadget coincée entre deux tranches de Robocop et de Roger Rabbit, le tout arrosé du sirop cynique des 90’s. Forcément, c’est pas passé et il a tout gerbé. Manque de pot, il y avait de la pellicule sur son bureau et ça a donné la version live d’Inspecteur Gadget. Comme ils n’aiment pas le gaspillage chez Disney, ils ont balancé ce truc en salle plutôt qu'à sa juste place dans la poubelle.

[Kevin95]

MOBSTERS (Michael Karbelnikoff, 1991) découverte

Produit de studio qui surfe sur la vague du film criminel vintage engendrée par le carton des Untouchables de De Palma. Passons sur le charisme en berne des quatre gangsters/acteurs stars ou sur un réalisateur stagiaire qui est entré sur le plateau parce que dehors il faisait froid, ce qui choque le plus avec un film comme Mobsters c'est son extrême platitude. Il y a pourtant de la tune dans l'engin, un sujet qui appelait 1001 débordements (la vie de Lucky Luciano) même aux mains d'auteurs mauvais, des références écrasantes (The Godfather et Once Upon a Time in America) mais instructives. Rien, on ne voit que des chapeaux, des mitraillettes camemberts, de vieilles bagnoles et un générique de fin libérateur. Non seulement le film se fait feignasse mais en plus il arrive à être hypocrite en sublimant ces voyous au grand cœur jusqu'à une scène finale totalement ridicule où nos chers bandits inventent carrément la démocratie à l'américaine. Ce n'est plus une balle dans le pied, c'est une ablation. Même le plaisir de voir deux trois trognes au milieu des tronches de couvertures magasine en vedette est à renégocier, limité à quelques minutes (Chris Penn) ou quelques secondes (Robert Z'Dar). Quant au vétéran Anthony Quinn, engoncé dans un costume affligeant, l'acteur n'a jamais été aussi cabotin et embarrassant. On se croirait dans Mafia ! de Jim Abrahams, l'ennui en plus. Ça frime mais ça a la main qui tremble quand il faut porter un revolver. Un polar de pré-ado qui joue au grand.