8x12 cm
de Philippe Lombard, donc j'avais bien apprécié Plein feux sur... La Panthère Rose, et qui a sur son site d'intéressantes histoires de tournages
Clear Eyes, Full Hearts Can't Lose !
« S’il est vrai que l’art commercial risque toujours de finir prostituée, il n’est pas moins vrai que l’art non commercial risque toujours de finir vieille fille ».
Erwin Panofsky
Résumé : Ce livre, considérant le cinéma à l’égard de la subjectivité (en son sens philosophique) et des propriétés spécifiques du film, propose de considérer les signes filmiques qui suggèrent au spectateur un travail de la subjectivité. Il propose aussi de cheminer de l’extérieur vers l’intérieur, du choc premier de la subjectivité avec le monde vers les mondes imaginés, et l’expression personnelle d’un auteur, en passant par la représentation du ressenti interne, du sentiment et par l’hallucination. Il s’agit d’égrener les figures de la subjectivité filmique, mais aussi de caractériser une théorie de la manière dont la subjectivité, en participant du film, lui confère le statut d’une forme.
Je n'en suis qu'au début et, malgré une écriture savante extrêmement dense, érudite et sophistiqué, le livre de Chateau est étonnamment clair dans le point du vue qu'il développe. Ce livre promet d'être, en tout cas, vraiment enrichissant et philosophiquement très intéressant en abordant un sujet original tout à fait passionnant.
Je l'ai trouvé à 10 € en "reconditionné" sur Amazon. Franchement il est quasi nickel.
"Il faut vouloir saisir plus qu'on ne peut étreindre." Robert Browning.
" - De mon temps, on pouvait cracher où on voulait. On n'avait pas encore inventé les microbes." Goupi
Mains Rouges.
Conseillé sur le forum de Nanarland (rendons à César...) et chopé pour moins de deux euros, bouquin très sympa qui revient sur quelques titres du cinéma de genre des années 80-90. Des titres oubliés pour la plupart, que l'auteur gratifie d'une notule à la bonne franquette mais passionnée. C'est justement ce mélange entre la légèreté des (courtes) critiques et une culture bis indéniable qui fait le prix du livre. L'ombre nostalgique des VHS en fin de vie et des mythiques vidéo-clubs ne sont pas de trop lors de la lecture (le coup de gueule de l'auteur contre le pan & scan... toute une époque pas si révolue). Ceci-dit, on se gratte la tête quand l'auteur balance inconscient qu'il est, que LAST MAN STANDING ne veut pas THE FIFTH ELEMENT ou que EL MARIACHI est le THE EVIL DEAD du polar...
Conseillé très fortement sur le forum d'Underscores (César bla bla bla).
Les deux fléaux qui menacent l'humanité sont le désordre et l'ordre. La corruption me dégoûte, la vertu me donne le frisson. (Michel Audiard)
Oui mais faudrait déjà que El Mariachi soit un polar
Clear Eyes, Full Hearts Can't Lose !
« S’il est vrai que l’art commercial risque toujours de finir prostituée, il n’est pas moins vrai que l’art non commercial risque toujours de finir vieille fille ».
Erwin Panofsky
Une très agréable lecture que cette anthologie d'une décennie de sf, bourré d'anecdotes et de détails croustillants, sans tomber dans la surnanalyse , merci à Jerome pour ce livre.
Clear Eyes, Full Hearts Can't Lose !
« S’il est vrai que l’art commercial risque toujours de finir prostituée, il n’est pas moins vrai que l’art non commercial risque toujours de finir vieille fille ».
Erwin Panofsky