Geoffrey Firmin a écrit :tenia a écrit :
C'est naze, les habitudes de compression vidéo de la Warner, hein ?
C'est même pas une habitude ni un argument économique, puisque le Warner archive de The americanization of emily est un BD50, celui de Greystoke aussi et même Billy Rose's Jumbo.
Il n'y a pas d'explications logiques.
Disons que s'il y a bien un major qui passe son temps à donner régulièrement l'impression de payer ses encodages au Mbps, c'est bien Warner. Alors oui, y a des titres qui ne rentrent pas dans cette logique, je ne dis pas. Mais The Town ? Contagion ? Demolition Man ? Driving Miss Daisy ? Le kid de Cincinnati ? Les exemples pleuvent où l'espace disque reste particulièrement mal exploité, et je ne parle même pas des séries où Warner colle 5 épisodes sur des disques exploités qu'à 80%. Fort heureusement, c'est loin d'être aussi régulièrement visible à l'écran. J'ai connu des débits vidéo bien supérieurs pour des résultats bien moins bons.
Mais là où la FOX, Universal, Paramount, Sony et Disney tendent à avoir des espaces disques exploités de manière assez élevée, seul Warner sous-nage à passer aussi souvent sous la barre des 20 Mbps moyens, que ce soit parce qu'ils casent 2h de film dans un BD-25, ou parce que quand ils utilisent un BD-50, c'est pour ne l'utiliser que très mal (The Conjuring : BD-50, utilisé à hauteur de 29 Go pour un film de 1h51) (ou The Hobbit 1 en VL, pourtant très long, mais non, faudrait surtout pas maximiser l'espace disque, mieux vaut s'arrêter à 40 Go). Ou alors, pour caler 2 versions d'un même film sans seamless branching (The Campaign).
De tous les scans disc que j'ai fait, seule une poignée surnage (Singin' in the Rain, Strangers On A Train, La grande parade, les Gangsters Classics).
Frank N Furter a écrit :Toujours pas d'annonce en France par contre ?
Je sens qu'il va falloir attendre les fêtes avec une jolie exclue Fnac a la clé.

Si ça sort un jour... Y a encore un paquet de digibooks Warner (Cabaret, par exemple) toujours pas dispos du tout en France. Faut voir le bon côté des choses : quand ça sort, même si on perd le digibook, ça sort souvent pas cher.
