daniel gregg a écrit :Vu le peu d'intérêt des éditeurs français pour leur patrimoine (exceptés Gaumont, René et désormais Pathé qui semble enfin s'y mettre avec entrain), ce serait quand même dommage de s'arrêter à cette considération.Frances a écrit :C'est quand même pas folichon
J'avoue que j'ai du mal avec les Gaumont à la demande et éditions du même cru. Il y a pas mal de films que je souhaiterais redécouvrir mais la qualité des dvds m'arrête.
Parce que même si effectivement, certaines de ces éditions ne sont pas terribles, il faut se dire que les éditeurs font aussi avec les moyens qu'on leur donne et que si on ne les encourage pas un tant soit peu à poursuivre cet effort, je pense qu'à terme c'est tout un pan de l'histoire du cinéma français qui risque de disparaître.
Il s'agit encore du même vieux débat récurrent sur l'intérêt ou non de découvrir un film si l'état du matériel visible est médiocre, certes, mais concernant ces trois éditeurs précisément (j'ajoute Lobster films qui se joint au trio avec des éditions de qualité pour certaines, Vertige d'un soir notamment, pour celles que je connais), on ne peut pas non plus les blâmer inconsidérément au regard de l'ensemble de leur travail. Surtout que les copies les plus moyennes ne sont quand même pas si mauvaises.
Je suis complèment d'accord
, là... 
Et là, ce sont les éditeurs qui font du mécénat. D'après Jérôme Soulet, certains Gaumont à la demande se sont vendus à 40 exemplaires 
