Commissaire Juve a écrit :Résultat : au moins 165 LD achetés entre le 25 janvier 1993 et le 10 juin 1998 (à cette date, j'avais déjà 107 DVD). Pour une somme de 46.505,32 francs / 7089,69 euros, une moyenne de 281,85 francs / 42,96 euros par film. Ahouuuu ![/spoiler]
Quant à la Folie des grandeurs...
LD : 9 décembre 1995... 254 francs / 38,72 euros
DVD : 2 mai 2002... 28,99 euros
blu-ray : 13 juin 2010... 16,74 euros
84,45 euros en tout. Ahouuuu !
Incidemment : le prix du DVD me surprend... je devais encore me faire pigeonner par la Fnac à l'époque.
EDIT : côté HD, j'ajoute qu'en revisionnant des BLU oubliés depuis un bon moment, il m'arrive souvent de penser "hé, c'était pas si mal !"... Mais pour le Oury, j'ai vraiment été surpris. Je me suis même dit que j'avais plutôt été complaisant lors du premier visionnage et que j'avais pris mes désirs pour des réalités. Le fait qu'il soit bientôt réédité ne fait que renforcer ce sentiment.
281,85 francs / 42,96 euros par CDV ??
ouah, en regardant les stickers restés sur mes CDV, je les achetais plutôt autour de 150-200FF. A ce prix là, cela devait être des imports achetés à prix d'or au Virgin Megastore, non ? J'avais souvent bavé devant ces imports mais le prix m'avait toujours refroidi heureusement.
Quant au dvd, au début du siècle (

) j'essayais de ne pas dépasser les 20 euros en achetant dans les magasins d'occasion, mais c'est vrai que les nouveautés tournaient à ce prix là. Finalement le blu ray est vraiment donné... et pourtant les gens trouvent que c'est cher, en particulier les jeunes (forcément c'est plus cher que gratuit..), alors qu'ils ne connaissent pas leur chance d'avoir une telle qualité d'image à un tarif si abordable en comparaison avec ce qu'ont eu les cinéphiles dans les années 80.
Alors effectivement on peut râler de devoir toujours racheter, mais c'est comme cela que fonctionne les éditeurs depuis 30 ou 40 ans. C'est grâce aux ventes des éditions existantes que leur activité continue et qu'ils peuvent investir dans de nouvelles restaurations.
Ce qui est rageant, c'est d'avoir des rééditions à intervalles courts sur un même support, sans que ce soit justifié par une avancée technologique.