Les plus belles scènes, les plus beaux plans de...

[Federico]

Dans Le diable par la queue : Montand débarquant comme un grillon dans un nid de sauterelles et découvrant avec la mine gourmande d'un gamin devant la vitrine d'un pâtissier les ravissantes filles de la châtelaine : Clotilde Joano et son beau regard triste, Marthe Keller et ses mini-jupes et le sourire ravageur de Maria Schell (seul film où je la supporte).

[Watkinssien]

Dans Le diable par la queue : Montand débarquant comme un grillon dans un nid de sauterelles et découvrant avec la mine gourmande d'un gamin devant la vitrine d'un pâtissier les ravissantes filles de la châtelaine : Clotilde Joano et son beau regard triste, Marthe Keller et ses mini-jupes et le sourire ravageur de Maria Schell (seul film où je la supporte).

Pareil, j'adore Le Diable par la Queue, le chef-d'oeuvre, à mes yeux, de Philippe de Broca.

[Federico]

Dans Le diable par la queue : Montand débarquant comme un grillon dans un nid de sauterelles et découvrant avec la mine gourmande d'un gamin devant la vitrine d'un pâtissier les ravissantes filles de la châtelaine : Clotilde Joano et son beau regard triste, Marthe Keller et ses mini-jupes et le sourire ravageur de Maria Schell (seul film où je la supporte).

Pareil, j'adore Le Diable par la Queue, le chef-d'oeuvre, à mes yeux, de Philippe de Broca.

Le film est sympa, notamment pour les trois raisons évoquées plus haut mais en toute franchise, je lui préfère de nombreux autres de Broca.

[ed]

Je crois qu'il n'y a vraiment qu'un seul film de De Broca qui m'ait marqué durablement, au-delà du simple plaisir immédiat : Le Cavaleur, un film léger et profond, à la gravité pétillante... Jean Rochefort y trouve peut-être son plus beau rôle.

[Watkinssien]

Petit passage du film Le Diable par la Queue (dur de trouver sur Youtube), j'adore le travail sur la déco, l'élégance des mouvements de caméra, la cocasserie des situations, les dialogues enlevés que l'on ne peut qu'entrapercevoir dans ce (trop) court extrait.

[hellrick]

La scène de torture de Bebel dans le Magnifique, aux mains des rats enragés de l'infâme Karpov...
Les chassé croisés entre le plombier et l'électricien dans ce même film avec Jean Lefebvre qui finit trouer comme une passoire à rendre jaloux Sam Peckinpah

Enfin, tout le Magnifique d'ailleurs, un film dont je ne me lasse pas.

[manuma]

Je ne sais pas si c'est la plus belle scène de sa filmo, mais c'est celle qui m'a sans doute le plus marqué : la séquence du Magnifique où un type se trouve plongé au milieu de l'océan dans une cabine téléphonique, puis se fait dévoré par un requin. Gamin, ça m'avait effrayé, alimentant même quelques cauchemars dans la foulée.

[Kevin95]

La fin du Roi de cœur et le retour à l'asile avec la sublime musique de Georges Delerue.

[Flol]

Je ne sais pas si c'est la plus belle scène de sa filmo, mais c'est celle qui m'a sans doute le plus marqué : la séquence du Magnifique où un type se trouve plongé au milieu de l'océan dans une cabine téléphonique, puis se fait dévoré par un requin. Gamin, ça m'avait effrayé, alimentant même quelques cauchemars dans la foulée.

N'hésite donc pas à alimenter ce topic qui ne doit pas mourir.
http://www.dvdclassik.com/forum/viewtop ... =3&t=34660

[Federico]

Je ne sais pas si c'est la plus belle scène de sa filmo, mais c'est celle qui m'a sans doute le plus marqué : la séquence du Magnifique où un type se trouve plongé au milieu de l'océan dans une cabine téléphonique, puis se fait dévoré par un requin. Gamin, ça m'avait effrayé, alimentant même quelques cauchemars dans la foulée.

Un des multiples clins d'oeil du film aux James Bond dont le (relatif) réalisme surprend dans ce film parodique. M'avait pas mal fait flipper aussi. Mais faut dire que déjà, voir quelqu'un se faire noyer me suffit alors si en plus on y ajoute un katreur pour un squale visiblement nourri depuis deux ans avec des yaourts et des laitues...

Tiens, d'ailleurs tu pourrais citer cet exemple de frisson enfantin dans ce topic.

[mannhunter]

Barry LEVINSON (1942- )




1982 : Diner
1984 : Le Meilleur (The Natural)
1985 : Le Secret de la pyramide (Young Sherlock Holmes)
1987 : Les Filous (Tin Men)
1987 : Good Morning, Vietnam
1988 : Rain Man
1990 : Avalon
1991 : Bugsy
1992 : Toys
1994 : Jimmy Hollywood
1994 : Harcèlement (Disclosure)
1996 : Sleepers
1997 : Des hommes d'influence (Wag the Dog)
1998 : Sphère (Sphere)
1999 : Liberty Heights
2000 : An Everlasting Piece
2001 : Bandits
2004 : Envy
2006 : Man of the Year
2008 : Panique à Hollywood (What Just Happened)
2012 : The Bay

[Watkinssien]

Je ne suis pas un fan du bonhomme, mais il m'apparaît comme un réalisateur sympathique et quelquefois judicieux, sans grande personnalité au niveau du style, mais qui est capable d'être à fond dans son sujet.

Si je devais choisir un moment, ce serait dans ce que je considère comme le meilleur film de Levinson, Des hommes d'influence (1997) avec deux excellentissimes De Niro et Hoffman :

[Kevin95]

Je n'ai jamais vu le film mais il fut un temps où la chaine TCM utilisait un extrait de Diner comme indicatif (une scène où Mickey Rourke se fout en boule tout seul dans sa bagnole). Je ne l'ai pas trouvé sur le net, mais elle m'a sacrément impressionnée ne serait-ce que pour le jeu de Rourke.

Du coup j'aimerai beaucoup découvrir ledit film.

[ed]

Eh ben moi j'aime beaucoup ses films baltimoriens, Diner, Avalon, et surtout Tin Men, hyper chouette film avec Danny De Vito et Richard Dreyfuss.
Bon, c'est du cinéma de comédiens, mais j'aime beaucoup la séquence suivante (à partir de 1'08'') :

[Federico]

Comme l'a écrit ed, Levinson est un excellent directeur d'acteurs et il a souvent les meilleurs du moment sous la main.
Un de ses films que je trouve plus que sympa, c'est Bandits, mené avec une belle santé par le trio de bras cassés Billy Bob Thornton-Bruce Willis-Cate Blanchett (deux braqueurs de banque en cavale et une adorable barje qui s'est tirée de son home-sweet-home).

Par exemple la séquence où Willis voit débarquer Thornton avec Blanchett (à partir de 41') et leur première veillée ensemble avec Willis et Blanchett communiant sur du Bonnie Tyler pour la plus grande affliction de Thornton (à partir de 50')