Voilà qui est bien dit...Dunn a écrit :Les Grands Fonts: 5/10
Découvert ce film dont je ne connaissais que le nom et la musique de Barry.Alors que je m'attendais à un film limite fantastique (par rapport à l'affiche), il n'en est rien, c'est plutôt un film d'aventure pour une chasse au trésor sous la mer avec de très belle scène sous-marine très bien filmé pour l'époque.Nick Nolte très jeune, accompagne la non moins délicieuse Jacqueline Bisset (surtout lorsqu'elle arbore un t-shirt mouillé) avec ce vieux loup de mer encore interprété par Robert Shaw (Jaws) au milieu de vilains haïtiens dont l'intrigue traîne toute fois un peu entre deux belles scènes sous l'eau.Un demi-plouf donc.
Notez les films mars 2012
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Re: Notez les films mars 2012

RIVES de Armel Hostiou (2012)
Voilà un film particulier qui se présente davantage comme une véritable expérience audiovisuelle, comme on essaierait d'apprécier la découverte d'une oeuvre d'art contemporaine; plutôt que d'une séance de cinéma traditionnel avec un scénario classique qui possède un début, un milieu et une fin. C'est pourquoi il faut avant tout se laisser porter par la beauté des images, les silences de ses personnages et aussi écouter l'importance de la musique qui parle ici autant à nos sens que les expressions qui se lisent sur le visage des comédiens.
RIVES c'est trois voyages différents à travers la ville de Paris. La caméra de Armel Hostiou va suivre durant 24 heures trois êtres à contre-courant, voire même pas mal à la dérive... Un jeune collégien qui fait l'école buissonnière, un pakistanais ne parlant pas français et officiant comme livreur pour un restaurant et une étudiante Erasmus tchèque presque mutique qui suit tant bien que mal ses cours tout en essayant de joindre les deux bouts avec un job de téléassistance... Trois tranches de vie dont on pourrait croire qu'elles se croiseront à un moment ou à un autre et pourtant non, cela n'arrivera pas... Du moins, pas dans la réalité d'un quotidien pas très joyeux.
Ce long-métrage au fort ancrage socioculturel qui ne se prononce jamais franchement, permettant ainsi de se laisser totalement aller à diverses interprétations; possède avant tout une véritable force à travers ses compositions savamment étudiés, autant au niveau des cadrages que du son. Ainsi, il se regarde dans un état de flottement fantasmagorique à la limite d'un rêve éveillé, parfois coupé du monde où la musique et les chansons d'un baladeur bien ancré dans les oreilles de son seul personnage féminin nous fait découvrir la réalité d'une autre manière. Tout en étant très souvent coupé dans nos sens auditifs élémentaires, RIVES semble nous montrer un autre univers et plus particulièrement une vision de Paris assez originale. Ici le contexte urbain est transformé en une symphonie de couleurs et de textures qui lui donnent des allures de superbes peintures contemporaines; lui offrant ainsi une force poétique vraiment superbe, voire même totalement hypnotisante!
Film-sortilège quasiment muet, RIVES n'est vraiment pas un film très bavard. A défaut de faire parler ses acteurs - tous amateurs mais assez proche de leur personnage à l'écran - RIVES raconte énormément de choses à travers ses diverses ambiances. Au spectateur de se laisser aller au décryptage, qu'on appréciera qu'il soit ici davantage émotionnel qu'intellectuel. Le sens des situations est peut-être parfois sacrifié au profit du sensitif. C'est une manière étonnante de nous faire pénétrer au coeur de la ville de Paris, pour en explorer certains détails, certains angles et recoins qui nous mène au porte de l'onirisme. Un peu à la manière de Joan Bennett dans LE SECRET DERRIERE LA PORTE de Fritz Lang dont Hostiou rend hommage à travers une superbe séquence en salle obscure, détournant par là même l'ouverture d'une porte qui débouchera sur une nuit contemporaine prête à nous plonger dans une nouvelle rêverie décidément très envoûtante.
Avec RIVES, on ressort transformé par cette séance de cinéma... Avec l'envie d'observer le monde, de regarder les gens, de capter un regard, de ressentir des sensations nouvelles, d'explorer plus encore les quartiers d'une ville. Que ce soit Paris comme ici ou alors sur une autre rive. La dérive des atmosphères urbaines si souvent déshumanisées n'a sans doute jamais été aussi rarement émouvante que dans ce petit film... Et c'est beau comme tout!
RIVES c'est trois voyages différents à travers la ville de Paris. La caméra de Armel Hostiou va suivre durant 24 heures trois êtres à contre-courant, voire même pas mal à la dérive... Un jeune collégien qui fait l'école buissonnière, un pakistanais ne parlant pas français et officiant comme livreur pour un restaurant et une étudiante Erasmus tchèque presque mutique qui suit tant bien que mal ses cours tout en essayant de joindre les deux bouts avec un job de téléassistance... Trois tranches de vie dont on pourrait croire qu'elles se croiseront à un moment ou à un autre et pourtant non, cela n'arrivera pas... Du moins, pas dans la réalité d'un quotidien pas très joyeux.
Ce long-métrage au fort ancrage socioculturel qui ne se prononce jamais franchement, permettant ainsi de se laisser totalement aller à diverses interprétations; possède avant tout une véritable force à travers ses compositions savamment étudiés, autant au niveau des cadrages que du son. Ainsi, il se regarde dans un état de flottement fantasmagorique à la limite d'un rêve éveillé, parfois coupé du monde où la musique et les chansons d'un baladeur bien ancré dans les oreilles de son seul personnage féminin nous fait découvrir la réalité d'une autre manière. Tout en étant très souvent coupé dans nos sens auditifs élémentaires, RIVES semble nous montrer un autre univers et plus particulièrement une vision de Paris assez originale. Ici le contexte urbain est transformé en une symphonie de couleurs et de textures qui lui donnent des allures de superbes peintures contemporaines; lui offrant ainsi une force poétique vraiment superbe, voire même totalement hypnotisante!
Film-sortilège quasiment muet, RIVES n'est vraiment pas un film très bavard. A défaut de faire parler ses acteurs - tous amateurs mais assez proche de leur personnage à l'écran - RIVES raconte énormément de choses à travers ses diverses ambiances. Au spectateur de se laisser aller au décryptage, qu'on appréciera qu'il soit ici davantage émotionnel qu'intellectuel. Le sens des situations est peut-être parfois sacrifié au profit du sensitif. C'est une manière étonnante de nous faire pénétrer au coeur de la ville de Paris, pour en explorer certains détails, certains angles et recoins qui nous mène au porte de l'onirisme. Un peu à la manière de Joan Bennett dans LE SECRET DERRIERE LA PORTE de Fritz Lang dont Hostiou rend hommage à travers une superbe séquence en salle obscure, détournant par là même l'ouverture d'une porte qui débouchera sur une nuit contemporaine prête à nous plonger dans une nouvelle rêverie décidément très envoûtante.
Avec RIVES, on ressort transformé par cette séance de cinéma... Avec l'envie d'observer le monde, de regarder les gens, de capter un regard, de ressentir des sensations nouvelles, d'explorer plus encore les quartiers d'une ville. Que ce soit Paris comme ici ou alors sur une autre rive. La dérive des atmosphères urbaines si souvent déshumanisées n'a sans doute jamais été aussi rarement émouvante que dans ce petit film... Et c'est beau comme tout!

Dernière modification par johell le 7 mars 12, 11:17, modifié 1 fois.
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Re: Notez les films mars 2012
Je ne sais pas si tu les as déjà vu (la mémoire s'en va avec l'âgeDunn a écrit :
Survivance: 6/10
Un petit Slasher des années 80 rappelant un peu le succès de "Massacre à la Tronçonneuse" (un groupe de jeune campe en montagne pour se retrouver face à des tueurs issus d'une famille disons encore particulière), assez efficace dans ses fameuses scènes de tueries, les paysages naturelles de l'Origon sont magnifiques et le final réserve une belle surprise (le couple finit par affronté le dernier tueur mais c'est la fille qui le tue d'un coup de poing dans la bouche!!).

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Re: Notez les films mars 2012
Il m'a quand même fallu près d'1mn pour la comprendre.AtCloseRange a écrit :Voilà qui est bien dit...Dunn a écrit :Les Grands Fonts: 5/10
Découvert ce film dont je ne connaissais que le nom et la musique de Barry.Alors que je m'attendais à un film limite fantastique (par rapport à l'affiche), il n'en est rien, c'est plutôt un film d'aventure pour une chasse au trésor sous la mer avec de très belle scène sous-marine très bien filmé pour l'époque.Nick Nolte très jeune, accompagne la non moins délicieuse Jacqueline Bisset (surtout lorsqu'elle arbore un t-shirt mouillé) avec ce vieux loup de mer encore interprété par Robert Shaw (Jaws) au milieu de vilains haïtiens dont l'intrigue traîne toute fois un peu entre deux belles scènes sous l'eau.Un demi-plouf donc.
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Re: Notez les films mars 2012
Elle est technique (et anglophone).Ratatouille a écrit :Il m'a quand même fallu près d'1mn pour la comprendre.AtCloseRange a écrit : Voilà qui est bien dit...
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Re: Notez les films mars 2012
Bah oui, il n'y a que celui qui ne fait rien qui ne fait pas d'erreur.
Elever des enfants c'est comme ranger sa collection de films : c'est pas comme on voudrait mais c'est bien quand même.
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Re: Notez les films mars 2012
Life without principle de Johnnie To
To s'interresse ici aux vies croisées de 3 personnes touchées par la cise financière récente (on parle crise en Grèce en directe aux infos). Une banquière sous pression, une petite frappe vaguement autiste et un flic sur-investi qui touche au héro.
Le première problème du film est que ce dernier enquète principalement sur un meutre sans rapport avec les autres et n'est touché par la crise que parce que sa fiancée veut acheter un appartement et que, somme toute, ça complique un peu les choses. Les deux autres par contre vont partager un personnage en commun qui va leur laisser à son insu un pactol en liquide. L'enjeux du film est donc ce que vont en faire ces deux personnes socialement opposées en période de crise.
Le second problème du film est que l'enjeux arrive au bout d'une heure. On ne s'ennuit pas vraiment avant, mais il faut avouer que c'est un peu tard pour créer de la tension...et de l'attention.
Le troisième problème du film c'est que To ne se donne donc que 25 minutes pour développer ses enjeux, il faut donc accélérer et on est pas loin de confondre vitesse et précipitation sur cette toute dernière partie. Le sujet est sous exploité, voir expédié et dilué dans des scènes étendue sans interet (par exemple: la recherche du Manager Ho)
Le quatrième problème du film c'est qu'avec un sujet sous exploité on attend un travail sur les personnages sans faille; ce qui est loin d'être le cas ici, où ils sont tous très très superficiels et stéréotypés. Lau Ching Wan en gangster stupide ne fait pas rire, voir agace. Le flic n'a de touet façon rien à foutre là et la banquière...est en tailleur.
En gros, et même si on peut toujours analyser un tas de séquences pour en tirer quelque chose, il ne se passe rien.
Formellement, il y a un petit coté très old school dans la photo, mais la mise en scène, créditée à la Milkyway Creative Team (aka les stagiaires au distributeur de café), n'offre aucune dynamique. En même temps, il n'y a rien à mettre en scène, donc...
Un To ultra mineur, voir complétement raté. Voilà, c'est dit.
Et maintenant je fais comment pour revendre mon DVD ??
To s'interresse ici aux vies croisées de 3 personnes touchées par la cise financière récente (on parle crise en Grèce en directe aux infos). Une banquière sous pression, une petite frappe vaguement autiste et un flic sur-investi qui touche au héro.
Le première problème du film est que ce dernier enquète principalement sur un meutre sans rapport avec les autres et n'est touché par la crise que parce que sa fiancée veut acheter un appartement et que, somme toute, ça complique un peu les choses. Les deux autres par contre vont partager un personnage en commun qui va leur laisser à son insu un pactol en liquide. L'enjeux du film est donc ce que vont en faire ces deux personnes socialement opposées en période de crise.
Le second problème du film est que l'enjeux arrive au bout d'une heure. On ne s'ennuit pas vraiment avant, mais il faut avouer que c'est un peu tard pour créer de la tension...et de l'attention.
Le troisième problème du film c'est que To ne se donne donc que 25 minutes pour développer ses enjeux, il faut donc accélérer et on est pas loin de confondre vitesse et précipitation sur cette toute dernière partie. Le sujet est sous exploité, voir expédié et dilué dans des scènes étendue sans interet (par exemple: la recherche du Manager Ho)
Le quatrième problème du film c'est qu'avec un sujet sous exploité on attend un travail sur les personnages sans faille; ce qui est loin d'être le cas ici, où ils sont tous très très superficiels et stéréotypés. Lau Ching Wan en gangster stupide ne fait pas rire, voir agace. Le flic n'a de touet façon rien à foutre là et la banquière...est en tailleur.
En gros, et même si on peut toujours analyser un tas de séquences pour en tirer quelque chose, il ne se passe rien.
Formellement, il y a un petit coté très old school dans la photo, mais la mise en scène, créditée à la Milkyway Creative Team (aka les stagiaires au distributeur de café), n'offre aucune dynamique. En même temps, il n'y a rien à mettre en scène, donc...
Un To ultra mineur, voir complétement raté. Voilà, c'est dit.

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- Kevin95
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Re: Notez les films mars 2012

Conseil de famille (Costa-Gavras) ???
J'ai essayé de redonner une chance à cette légèreté de Costa-Gavras après une découverte il y a quelques années, quelque peu pénible. Mais non rien à faire, le film est raté en de très nombreux points et m’inspire cette réflexion : Costa-Gavras n'est génial (et il l'est sacrement) que lorsqu'il traite de sujets dramatiques.
La réussite du Couperet par exemple tient dans le fait que le rire est jaune, jamais franc, voir quasiment absent de la dérive, du délire du personnage principal. Dans Conseil de famille où l'humour est plus bon enfant, Costa-Gavras se prends les pieds dans le tapis (d'autant plus qu'il a écrit le scénario). Il n'y a qu'à assister aux scènes quasi incestueuses entre le frère et la sœur traitées avec légèreté et bonne humeur pour se rendre compte que le réalisateur ne semble pas savoir où est l'humour de son film (lesdites scènes en deviennent glaçantes). L'humour n'est pas le fort du réalisateur soit, mais pourquoi rate-il aussi tout l'aspect dramatique du film. Mauvais sujet ? Mauvais comédiens ? Un peu des deux, d'un coté une histoire de famille jamais crédible (et les scènes surréalistes n'aident pas, elles horripilent plus qu'elles ne font rire) et de l'autre un Johnny Hallyday lisant son texte au lieu de jouer et une Fanny Ardant qui comme à son habitude (Truffaut n'est pas là) rivalise et surclasse en nullité notre Jojo national. Même les mormons du films sont de parfaits tètes à claques (étonnant tout de même qu'ils aient passé le casting). Le pauvre Guy Marchand qui se démène pour atténuer la pauvreté de jeu de ses partenaires ne change rien à l'affaire.
Quelques bonnes scènes et un score agréable de Georges Delerue, mais Conseil de famille est clairement à oublier et se range à coté de Clair de femme, c'est à dire tout en bas de la filmographie de Costa-Gavras.
Dernière modification par Kevin95 le 15 mars 12, 22:46, modifié 1 fois.
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Re: Notez les films mars 2012
Je pense que tu voulais écrire "Plus bonne d'enfant"...Kevin95 a écrit :Dans Conseil de famille où l'humour est plus bonne enfant


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Re: Notez les films mars 2012
Wooooops corrigé !Federico a écrit :Je pense que tu voulais écrire "Plus bonne d'enfant"...Kevin95 a écrit :Dans Conseil de famille où l'humour est plus bonne enfant
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Re: Notez les films mars 2012
Sur le Blu-ray HK, il y a notamment une scène bonus développant légèrement plus le perso du flic via l'intermédiaire de son supérieur - un peu trop thriller par rapport au reste du film, d'où la coupe du montage final ? ... Alors même que le flic est complètement en retrait par rapport aux 2 autres persos, c'est très bancal tout ça (voilà ce que je disais du film).monk a écrit :Life without principle de Johnnie To
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Re: Notez les films mars 2012
La dame en noir
Enfin un vrai film de maison hantée qui fait peur et qui ne joue pas dans la surenchère, avec une atmosphère et une ambiance bien rendue et une fin plus que surprenante, le réalisateur a gagné son pari. En ce qui concerne Radcliffe, je ne fait pas parti de ses nombreux détracteurs et je trouve qu'il s'en sort haut la main.
Enfin un vrai film de maison hantée qui fait peur et qui ne joue pas dans la surenchère, avec une atmosphère et une ambiance bien rendue et une fin plus que surprenante, le réalisateur a gagné son pari. En ce qui concerne Radcliffe, je ne fait pas parti de ses nombreux détracteurs et je trouve qu'il s'en sort haut la main.
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Cinéma Actuel : http://sallesobscures2.over-blog.fr/
"And Now Mr Serling"
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Re: Notez les films mars 2012
Tout à fait. Même s'il faudrait qu'il sorte un peu du registre fantastique.
Bon retour de la Hammer dans le genre qui a fait sa réputation, avec une tonalité tout de même plus noire (surtout dans la conclusion).
Un film fantastique qui joue plus sur l'ambiance que sur les scènes plus ou moins horrifiques (malgré le sujet, il n'y a pratiquement pas de sang et les images chocs sont réduites au minimum), c'est une très bonne chose.
Bon retour de la Hammer dans le genre qui a fait sa réputation, avec une tonalité tout de même plus noire (surtout dans la conclusion).
Un film fantastique qui joue plus sur l'ambiance que sur les scènes plus ou moins horrifiques (malgré le sujet, il n'y a pratiquement pas de sang et les images chocs sont réduites au minimum), c'est une très bonne chose.
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Re: Notez les films mars 2012
LES 3 MOUSQUETAIRES - 2011
Bof. C'est pas terrible. Je m'attendais à plus divertissant, plus rythmé, plus fou,...En l'état ça reste regardable mais ça manque d'énergie et d'humour. Y a quand même des scènes sympas comme celle où les mousquetaires aigris discutent de leur gloire passée en buvant du vin. Et le combat de bateaux volants est plutôt plaisant. Mais ça va jamais assez loin. La scéne prégénérique donne le ton: quitte à faire dans le steampunk à base de gadgets et de ninjas autant y aller à fond et ne pas montrer une Milday agiter les bras pour échapper à des balles. Même problème quand elle vole les bijoux en passant à travers les fils tranchants révélés par son poudrier, quitte à faire du Mission Impossible chez les mousquetaires autant y aller à fond dans le délire bis non? Ici on sent trop l'influence Pirates des caraïbes (et un peu La ligue des gentlemen extraordinaires) sans que cela ne décolle vraiment.
Dommage et pas sur que la suite espérée par la fin ouverte voit le jour vu les piètres résultats au box office
Bof. C'est pas terrible. Je m'attendais à plus divertissant, plus rythmé, plus fou,...En l'état ça reste regardable mais ça manque d'énergie et d'humour. Y a quand même des scènes sympas comme celle où les mousquetaires aigris discutent de leur gloire passée en buvant du vin. Et le combat de bateaux volants est plutôt plaisant. Mais ça va jamais assez loin. La scéne prégénérique donne le ton: quitte à faire dans le steampunk à base de gadgets et de ninjas autant y aller à fond et ne pas montrer une Milday agiter les bras pour échapper à des balles. Même problème quand elle vole les bijoux en passant à travers les fils tranchants révélés par son poudrier, quitte à faire du Mission Impossible chez les mousquetaires autant y aller à fond dans le délire bis non? Ici on sent trop l'influence Pirates des caraïbes (et un peu La ligue des gentlemen extraordinaires) sans que cela ne décolle vraiment.
Dommage et pas sur que la suite espérée par la fin ouverte voit le jour vu les piètres résultats au box office
