J'apprécie le film mais j'avoue qu'avec le temps j'ai aussi tendance à nettement préférer la suite aussi finalement plus ambiguë, plus percutante aussi...Tancrède a écrit :non mais c'est normal c'est très ennuyeux ces véhicules à numéros de stars. C'est bien fait mais c'est sans vie ni inspiration, c'est de l'académisme où tout est appuyé, surligné à coup notamment d'interminables blablas.monk a écrit :Rêglement de Comptes à OK Corral donc.
Je ne sias pas ce qu'il s'est passé, et je vais me faire taper sur les doigts, mais je suis resté totalement insensible au film. Absolument pas concerné par ce qu'il s'y passe. Je l'ai même regardé en....3 fois ! Et pourtant je n'ai pas grand chose à lui reprocher: il y a une belle dramaturgie, un sens du cadre certain, de grands acteurs, un gunfight sympa à la fin, etc. Mais malgré tout, il m'a profondément ennuyé - contrairement à My Darling Clementine, sur le même sujet, que j'avais trouvé fantastique.
Je l'ai vu il y a plusieurs jours maintenant, et il ne s'est pas non plus particulièrement bonifié avec le temps.
Je ne garde pas, évidement (de toute façon, je l'avais emprunté) mais j'avoue que c'est très décevant.
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Je vais faire une pose dans le Western, après quelques mois intensifs. J'en ai encore une quinzaine en réserve et au moins autant wishlistés ! Je serais content d'y revenir après...quelques mois intensifs avec le Film Noir !
A noter que que sa suite, Sept secondes en enfer, est largement mieux, bien plus sèche et violente. Les acteurs (James Garner, Jason Robards) y sont moins connus mais largement moins cabotins et plus convaincants.
John Sturges (1910-1992)
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Re: John Sturges (1911-1992)
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Re: John Sturges (1911-1992)
Rick Blaine a écrit :Ou une réaction opposée, j'aime bien Gun Hill!Jeremy Fox a écrit :
... ou la même passion ; ça reste donc assez cohérent
Avec John Sturges, il n'y a pas de règles

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Re: John Sturges (1911-1992)
disons que le fait qu'on ne connaisse pas l'histoire à l'avance joue en sa faveur par rapport à O.K Corral mais stylistiquement, ça reste la même farine: de la mécanique bien huilée mais lourde et ultra-conventionnelle.Rick Blaine a écrit :Ou une réaction opposée, j'aime bien Gun Hill!Jeremy Fox a écrit :
... ou la même passion ; ça reste donc assez cohérent
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Re: John Sturges (1911-1992)
Finalement, je dois avoir une quinzaine de films de ce réalisateur, et en regardant bien, il ne m'a véritablement déçu qu'une seule fois, avec Sur la piste de la grande caravane (en plus de Joe Kidd, vraiment tache celui-là, je trouve)... Je me suis toujours demandé ce que Burt Lancaster (monsieur "filmographie très exigeante" en personne) était aller faire dans ce truc...

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Re: John Sturges (1911-1992)
Joe Kidd, il est bien, zut alors !
Bon par contre, Sur la piste de la grande caravane, c'est vrai que là, il doit être difficile de trouver des défenseurs...
Bon par contre, Sur la piste de la grande caravane, c'est vrai que là, il doit être difficile de trouver des défenseurs...
Le cinéma : "Il est probable que cette marotte disparaîtra dans les prochaines années."
Extrait d'un article paru dans The Independent (1910)
http://www.notrecinema.com/
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Re: John Sturges (1911-1992)
Le trésor du pendu (The Law and Jake Wade) (1958)

Je ressors avec une très légère déception de ce Trésor du pendu. L'affiche alléchante avec John Sturges derrière la caméra et l'affrontement entre Robert Taylor et Richard Widmark me laissaient espérer un film au rythme soutenu mais j'ai trouvé que malheureusement c'était là son seul point négatif : je m'attendais à de multiples rebondissements tout au long du film alors que justement ce dernier repose sur un affrontement plus psychologique que physique entre ces 2 personnages (j'ai sans doute été un peu trop exigeante vis-à-vis de l'affiche). En effet, Sturges cherche plutôt à développer cet affrontement sur toute la durée du film avec le personnage de Clint Hollister (Richard Widmark) qui force Jake Wade (Robert Taylor) à lui indiquer l'endroit du fameux trésor.
Le réalisateur s'attarde sur le lien qui unit les 2 hommes - anciens compagnons de guerre devenus pilleurs avant que Jake Wade ne quitte cette route - et en fait le point central de l'histoire. Le choix des 2 acteurs est judicieux justement par rapport aux rôles qu'ils interprètent : Richard Widmark, méchant à souhait, est encore une fois parfait dans ce type de rôle. En face, Robert Taylor, plus effacé de par son rôle, livre une prestation sobre et efficace. Les 2 acteurs se mesurent tout le long du film pour arriver à un final où la confrontation est inéluctable.
Sturges profite également du format Cinemascope pour plonger littéralement ces 2 hommes dans la nature et du Metrocolor pour profiter au mieux de la beauté des décors naturels et même les scènes en studio rendent particulièrement bien (je pense par exemple à la scène nocturne autour du feu).
Malgré cette légère déception (mais qui ne tient presque qu'à moi
), Le trésor du pendu est un bon western qui repose sur une interprétation et une photo de qualité et qui se regarde sans ennui.


Je ressors avec une très légère déception de ce Trésor du pendu. L'affiche alléchante avec John Sturges derrière la caméra et l'affrontement entre Robert Taylor et Richard Widmark me laissaient espérer un film au rythme soutenu mais j'ai trouvé que malheureusement c'était là son seul point négatif : je m'attendais à de multiples rebondissements tout au long du film alors que justement ce dernier repose sur un affrontement plus psychologique que physique entre ces 2 personnages (j'ai sans doute été un peu trop exigeante vis-à-vis de l'affiche). En effet, Sturges cherche plutôt à développer cet affrontement sur toute la durée du film avec le personnage de Clint Hollister (Richard Widmark) qui force Jake Wade (Robert Taylor) à lui indiquer l'endroit du fameux trésor.





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Re: John Sturges (1911-1992)
C'est au contraire son point fort je trouve d'autant que les deux acteurs sont impeccables. Un de mes Sturges préférés avec une magistrale utilisation du scope.Flavia a écrit :Le trésor du pendu (The Law and Jake Wade) (1958)
L'affiche alléchante avec John Sturges derrière la caméra et l'affrontement entre Robert Taylor et Richard Widmark me laissaient espérer un film au rythme soutenu mais j'ai trouvé que malheureusement c'était là son seul point négatif : je m'attendais à de multiples rebondissements tout au long du film alors que justement ce dernier repose sur un affrontement plus psychologique que physique entre ces 2 personnages (j'ai sans doute été un peu trop exigeante vis-à-vis de l'affiche)
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Re: John Sturges (1911-1992)
Comme je l'ai dit précédemment, j'étais focalisée sur un film avec beaucoup de bagarresJeremy Fox a écrit :C'est au contraire son point fort je trouve d'autant que les deux acteurs sont impeccables. Un de mes Sturges préférés avec une magistrale utilisation du scope.Flavia a écrit :Le trésor du pendu (The Law and Jake Wade) (1958)
L'affiche alléchante avec John Sturges derrière la caméra et l'affrontement entre Robert Taylor et Richard Widmark me laissaient espérer un film au rythme soutenu mais j'ai trouvé que malheureusement c'était là son seul point négatif : je m'attendais à de multiples rebondissements tout au long du film alors que justement ce dernier repose sur un affrontement plus psychologique que physique entre ces 2 personnages (j'ai sans doute été un peu trop exigeante vis-à-vis de l'affiche)


Dernière modification par Flavia le 31 déc. 11, 17:38, modifié 1 fois.
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Re: John Sturges (1911-1992)

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Dernière modification par Lord Henry le 26 avr. 13, 09:50, modifié 1 fois.

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Re: John Sturges (1911-1992)

Fort Bravo (Escape from Fort Bravo, 1953) de John Sturges
MGM
Avec William Holden, Eleanor Parker, John Forsythe, William Demarest, John Lupton, Richard Anderson, Polly Bergen, William Campbell
Scénario : Frank Fenton d'après une histoire de Phillip Rock et Michael Pate
Musique : Jeff Alexander
Photographie : Robert Surtees (Anscocolor)
Un film produit par Nicholas Nayfack pour la Metro Goldwin Mayer
Sortie USA : 04 décembre 1953
Pour les amateurs de western, l’année 1953 allait s'achever en beauté ! Non seulement le studio du lion leur en délivrait un ‘exemplaire’ remarquable mais de plus il donnait l’occasion à John Sturges de faire son apparition sur les devants de la scène westernienne où il allait continuer à exceller, tout du moins au cours de cette décennie. L’ennuyeux Les Aventuriers du désert (The Walking Hills) avec Randolph Scott, daté de 1949, est parfois répertorié comme faisant partie du genre mais l’intrigue se déroulant l’année de son tournage, il doit être considéré avant tout (selon moi) comme un film d’aventure. Fort Bravo est un donc un premier essai superbement transformé, le meilleur western militaire depuis la fameuse trilogie de John Ford avec laquelle il possède d’ailleurs un certain nombre de points communs que nous détaillerons un peu plus loin, sans évidemment que les styles de l'un et l'autre réalisateurs se ressemblent. Même si Only the Valiant (Fort Invincible) de Gordon Douglas, Two Flags West (Les Rebelles de Fort Thorn) de Robert Wise, Ambush (Embuscade) de Sam Wood ou autres Rocky Mountain (La Révolte des dieux rouges) de William Keighley avaient eux aussi déjà défriché le terrain, s’ils contenaient des éléments intéressants repris ici par le scénariste Frank Fenton, le film de John Sturges dans son écriture et par sa mise en scène se révèle bien plus enthousiasmant que tous ces prédécesseurs (pourtant signés par de prestigieux réalisateurs), bien plus rigoureux et passionnant.










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Re: John Sturges (1911-1992)
Cela dit, la dernière demie-heure dans la ville fantôme propose pas mal d'action, ce qui rehausse un peu les attentes du spectateur de ce côté-là. J'ai été un brin déçu par ce film (je l'ai découvert à la suite de Fort Bravo, Règlement de comptes à OK Corral et Le dernier train de Gun Hill qui m'ont énormément plu). Mais tout est relatif, c'est un très bon film à mon avis, doté de la prestation toujours exceptionnelle de Richard Widmark. Cet acteur était sans doute l'un des meilleurs de son époque. Jusqu'ici, sur près d'une trentaine de films que j'ai vu, je ne l'ai trouvé mauvais dans pas un seul d'entre eux. Et puis, sans avoir leur popularité, il savait choisir ses films quasiment aussi bien qu'un Burt Lancaster ou qu'un Kirk Douglas.
Robert Taylor est plus effacé, pour reprendre les mots de Flavia. Je le trouve même assez terne à vrai dire. Je me demande s'il ne s'ennuyait pas un peu dans ce rôle. Connaissant le bonhomme, il était pourtant régulièrement capable de prestations remarquables.
Reste Sturges qui commande son film avec l'habileté qu'on lui connait. Rien à dire, ce réalisateur savait ce qu'il faisait.
Robert Taylor est plus effacé, pour reprendre les mots de Flavia. Je le trouve même assez terne à vrai dire. Je me demande s'il ne s'ennuyait pas un peu dans ce rôle. Connaissant le bonhomme, il était pourtant régulièrement capable de prestations remarquables.
Reste Sturges qui commande son film avec l'habileté qu'on lui connait. Rien à dire, ce réalisateur savait ce qu'il faisait.

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Re: John Sturges (1911-1992)
Après l'avoir découvert hier soir, je suis d'accord avec cela. J'ai été un peu déçu par sa performance alors qu'il peut être excellent. Ici, il se fait clairement voler la vedette par un Richard Widmark en grande forme. Pour sa défense, le rôle de ce dernier était plus intéressant et effectivement, le personnage de ce bandit devenu shérif est un mon sens un peu mal construit au niveau du scénario et l'ennuyait sans doute un peu. La scène où Taylor minimise son rôle de desperado ("moi je le faisais parce que c'était mon devoir de soldat, lui parce qu'il avait toujours fait ça", mais pourquoi as-tu continué après la guerre alors ?) montre assez bien le problème du personnage. Pourquoi en effet a-t-il continué une fois la guerre finie ? Il semble n'avoir jamais éprouvé de sympathie envers Widmark alors que l'inverse était vrai (difficile à croire que Widmark aurait sauvé qqn qui le méprisait) et enfin on ne sait absolument pas comment il s'en est tiré pour passer de chef d'une bande de bandits à shérif. Et lorsqu'il dit qu'il est plus honorable de mettre à sac une ville en tant que soldat qu'en tant que bandit, on envie de lui rire au nez avec Widmark. A l'heure où les héros du far west se faisaient plus ambigus (Vera Cruz, Coup de fouet en retour), on aurait pu attendre (surtout pour un film de Sturges), une psychologie plus poussée du personnage.Julien Léonard a écrit :Robert Taylor est plus effacé, pour reprendre les mots de Flavia. Je le trouve même assez terne à vrai dire. Je me demande s'il ne s'ennuyait pas un peu dans ce rôle. Connaissant le bonhomme, il était pourtant régulièrement capable de prestations remarquables.
J'ai également trouvé Patricia Owens peu intéressante et l'on sent que le film ne disposait pas de gros moyens (bcp d'extérieurs sont quand même en studio).
Cela dit, qu'on ne s'y méprenne pas, j'ai pris bcp de plaisir à voir ce film: l'attaque de la ville fantôme et la poursuite finale sont de grands moments qu'on aurait même souhaité être développés (de même que d'autres éléments du film tel que l'opposition entre Widmark et la nouvelle recrue). Mais je suis un peu déçu car j'en attendais plus et frustré car je trouve qu'il y avait matière a être plus développé.
Pour finir, pour les BDphiles, le film est une des bases qui a influencé à Charlier la trilogie de l'or des confédérés de Blueberry (principalement l'affrontement entre la bande d'anciens sudistes face à leur ancien colonel qui a caché une fortune dans un cimetière mexicain).


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Re: John Sturges (1910-1992)
Jeopardy (La Plage Déserte, 1953)
Une famille américaine part passer des vacances sur une plage déserte de la Californie Mexicaine. Le père se retrouve coincé par une poutre alors que la marée monte. La mère (B. Stanwyck) part chercher du secours.
Jeopardy est un excellent petit film à suspense. Court, ramassé même, il impose un superbe rythme, notamment dans une première partie absolument excellente, tantôt drôle et tantôt stressante, qui mène notre petite famille sur la route des vacances vers cette fameuse plage. On notera particulièrement la visite de la ville frontière, qui met au défi la résistance de la famille aux vendeurs de toute sorte, séquence particulièrement hilarante. L'arrivée sur la plage, et toute la séquence qui mène au drame proprement dit est parfaitement maitrisée et découpée, pour un suspense d'une efficacité redoutable.
J'ai trouvé la seconde partie un petit peu moins efficace. Ralph Meeker est parfait en tueur dangereux, mais les effets de suspens m'ont paru moins efficace, et le final légèrement discutable.
J'ai enchainé:
Escape From Fort Bravo (Fort Bravo, 1953)
J'avais découvert le film il y a peu (2 ans, 2 ans et demi maximum), et pourtant, à part quelques images qui me sont revenu durant le film (notamment la fin), j'en avais gardé peu de souvenirs. Ceci explique certainement ma relative tiédeur de ces derniers jours, et j'imagine que je devais être bien fatigué lorsque je l'ai découvert pour passer à côté d'une telle réussite. Fort Bravo est un grand western. Remarquablement écrit, remarquablement filmé, rythmé et passionnant. Bref, pas la peine que je fasse trop long, je me range à l'avis de Jeremy!
Ah si, tout de même, Eleanor est
. C'est une vérité absolue, mais c'est particulièrement vrai pour ce film. 
Une famille américaine part passer des vacances sur une plage déserte de la Californie Mexicaine. Le père se retrouve coincé par une poutre alors que la marée monte. La mère (B. Stanwyck) part chercher du secours.
Jeopardy est un excellent petit film à suspense. Court, ramassé même, il impose un superbe rythme, notamment dans une première partie absolument excellente, tantôt drôle et tantôt stressante, qui mène notre petite famille sur la route des vacances vers cette fameuse plage. On notera particulièrement la visite de la ville frontière, qui met au défi la résistance de la famille aux vendeurs de toute sorte, séquence particulièrement hilarante. L'arrivée sur la plage, et toute la séquence qui mène au drame proprement dit est parfaitement maitrisée et découpée, pour un suspense d'une efficacité redoutable.
J'ai trouvé la seconde partie un petit peu moins efficace. Ralph Meeker est parfait en tueur dangereux, mais les effets de suspens m'ont paru moins efficace, et le final légèrement discutable.
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J'ai enchainé:
Escape From Fort Bravo (Fort Bravo, 1953)
J'avais découvert le film il y a peu (2 ans, 2 ans et demi maximum), et pourtant, à part quelques images qui me sont revenu durant le film (notamment la fin), j'en avais gardé peu de souvenirs. Ceci explique certainement ma relative tiédeur de ces derniers jours, et j'imagine que je devais être bien fatigué lorsque je l'ai découvert pour passer à côté d'une telle réussite. Fort Bravo est un grand western. Remarquablement écrit, remarquablement filmé, rythmé et passionnant. Bref, pas la peine que je fasse trop long, je me range à l'avis de Jeremy!
Ah si, tout de même, Eleanor est



Dernière modification par Rick Blaine le 2 mars 12, 10:02, modifié 1 fois.
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Re: John Sturges (1910-1992)
Jeremy Fox a écrit :You know what ? I'm happy !
