La scène finale, notamment, est un bijou d'animation.Jeremy Fox a écrit :Dommage ; je le trouve tout à fait réjouissant (rythme époustouflant, grande drôlerie), surtout pour un premier film.8140david a écrit : A éviter :
Lupin III : Le Château de Cagliostro (1979)
Hayao Miyazaki
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Re: Hayao Miyazaki
"In a sense, making movies is itself a quest. A quest for an alternative world, a world that is more satisfactory than the one we live in. That's what first appealed to me about making films. It seemed to me a wonderful idea that you could remake the world, hopefully a bit better, braver, and more beautiful than it was presented to us." John Boorman
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Re: Hayao Miyazaki
Premier film, premier chef d'oeuvre pour moi.
C'est probablement son film le moins personnel par rapport à ce qui a suivi, néanmoins Cagliostro demeure excellent.
Puis Lupin quoi, personnage mythique !
C'est probablement son film le moins personnel par rapport à ce qui a suivi, néanmoins Cagliostro demeure excellent.
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Re: Hayao Miyazaki
J'ai finalement découvert Miyazaki avec Porco Rosso. J'ai trouvé ce film fort bien écrit, dynamique, divertissant, riche en personnages forts attachants, Porco Rosso en tête.
L'histoire est habile, entre héroïsme aérien - un sujet que j'adore, amitié et amour, et grande Histoire de l'entre deux guerre, tout cela m'a semblé fort équilibre et intéressant, sans jamais quitter des yeux la nécessité de divertir. On regrettera tout juste une petite incursion mystique (sur dieu qui voulait laisser Porco Rosso combattre seul) qui m'a paru superflu.
La plupart des décors sont très bien dessinés, détaillés, avec juste ce qu'il faut de réalisme pour ce type de projet. Par contre, j'avoue ne pas être totalement convaincu par l'animation, notamment celle des personnages, qui ouvrent des bouches larges comme leur visages, et ont une démarche très raide. Cette animation se fait d'ailleurs parfois au dépend de la beauté des décors que j'évoquais plus haut, qui se simplifie beaucoup lorsqu'il y a du mouvement.
J'ai au final trouvé tout cela fort agréable, fort divertissant, mais artistiquement je suis un peu resté sur ma faim. Un bon film, mais dans lequel il m'a manqué un petit quelque chose.
L'histoire est habile, entre héroïsme aérien - un sujet que j'adore, amitié et amour, et grande Histoire de l'entre deux guerre, tout cela m'a semblé fort équilibre et intéressant, sans jamais quitter des yeux la nécessité de divertir. On regrettera tout juste une petite incursion mystique (sur dieu qui voulait laisser Porco Rosso combattre seul) qui m'a paru superflu.
La plupart des décors sont très bien dessinés, détaillés, avec juste ce qu'il faut de réalisme pour ce type de projet. Par contre, j'avoue ne pas être totalement convaincu par l'animation, notamment celle des personnages, qui ouvrent des bouches larges comme leur visages, et ont une démarche très raide. Cette animation se fait d'ailleurs parfois au dépend de la beauté des décors que j'évoquais plus haut, qui se simplifie beaucoup lorsqu'il y a du mouvement.
J'ai au final trouvé tout cela fort agréable, fort divertissant, mais artistiquement je suis un peu resté sur ma faim. Un bon film, mais dans lequel il m'a manqué un petit quelque chose.
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Re: Hayao Miyazaki
Ah ce niveau là, les films suivants devraient mieux te convenirRick Blaine a écrit : J'ai au final trouvé tout cela fort agréable, fort divertissant, mais artistiquement je suis un peu resté sur ma faim. Un bon film, mais dans lequel il m'a manqué un petit quelque chose.
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Re: Hayao Miyazaki
De toute façon, j'ai passé un moment agréable, donc je poursuivrais l’expérience.Jeremy Fox a écrit :Ah ce niveau là, les films suivants devraient mieux te convenirRick Blaine a écrit : J'ai au final trouvé tout cela fort agréable, fort divertissant, mais artistiquement je suis un peu resté sur ma faim. Un bon film, mais dans lequel il m'a manqué un petit quelque chose.

Je saurais aussi mieux à quoi m'attendre, je suis très habitué à une animation "américaine" (Disney, Chuck Jones, Tex Avery, Pixar plus récemment...), là on a quelque chose d'assez différent esthétiquement. Une différence que je n'attendais pas forcément aussi marquée.
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Re: Hayao Miyazaki
Le prochain film d'animation de Hayao Miyazaki devait relater le destin d'un ingénieur ayant construit des avions pour l'armée japonaise. Il s'avère en fait que le projet sera davantage lié à la catastrophe de Fukushima.
http://www.premiere.fr/Cinema/News-Cine ... ma-3020498
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Re: Hayao Miyazaki
Ah je n'avais pas vu ce topic je remet là mon post sur mon petit préféré que j'ai revu récemment !
Le Château dans le Ciel (1986)

Dans le ciel flotte un château, vestige d'un royaume légendaire: Laputa. La jeune Sheeta possède la pierre qui pourrait y conduire mais elle fait l'objet de bien des convoitises. En l'aidant à échapper aux pirates de l'air et à l'armée, Pazu, jeune garçon d'une cité minière, est entraîné dans une fabuleuse aventure.
L'immense succès de Nausicaä (1984)avait signé l'indépendance d'un Miyazaki qui débarrassé des contraintes des grands studios avait enfin pu imposer un univers personnel et son perfectionnisme maladif à travers la splendeur visuelle du film. La production du film fut de longue haleine notamment l'obtention du financement puisque la mode étant à l'adaptation de manga plutôt qu'aux scripts originaux Miyazaki fut contraint suite à de multiples refus de coucher une version papier dont le succès permis de lancer le film dont le succès pose les fondations du futurs Studio Ghibli lancé dans la foulée.
Le Château dans le Ciel a donc la lourde tâche d'être le premier film produit au sein du Studio Ghibli et c'est en grande partie pour cette valeur historique qu'on le retient. C'est également un des chefs d'oeuvres de Miyazaki faisant le lien entre ses travaux précédents et l'évolution à venir dès Kiki la petite sorcière qui suivra. Le Château dans le Ciel est pour Miyazaki l'aboutissement d'une longue quête, celle du film d'aventures ultime.Le réalisateur y regroupe ainsi plusieurs éléments d'oeuvres antérieures. L'argument du récit lorgne ainsi largement vers la série Conan, le fils du futur, sorte de répétition générale de Laputa où on trouve déjà la quête d'un garçon intrépide et dur à cuire cherchant à protéger une jeune fille dont le pouvoir secret en fait la proie d'ennemis malfaisants. L'influence occidentale, allant de la littérature enfantine anglo-saxonne qu'il à étudié de près (le titre original Laputa vient notamment du nom de l'île volante du troisième récit des Voyages de Gulliver de Jonathan Swift) à l'esthétique très steam punk et inspirée de l'épure d'un Moebius ou du Roi et L'Oiseau de Paul Grimault atteint également des sommets ici. Enfin, Miyazaki s'en donne à coeur joie dans son amour des machines volantes tandis que les multiples courses poursuiteset gags annexes (dont une mémorable bagarre) rappellent grandement la cultissime version canine de Sherlock Holmes dont il réalisa 6 épisodes.
Désormais son propre maître, Miyazaki peut donner le film somme de ce qu'il ne parvint à disséminer que par intermittences dans ces diverses commandes pour délivrer le récit d'évasion absolu après lequel il court, enrichi de ses thématiques. Depuis Le Voyage de Chihiro Miyazaki donne volontairement dans des récits plus décousus à la progression moins ouvertement élaborée laissant voguer son imaginaire. La construction magistrale de Laputa donne donc à voir le soin qu'il apporte dans une narration classique. La première partie dépeint avec un limpidité parfaite le lien tendre unissant Shiita et Pazu ainsi que leur passé les liant à Laputa. Les méchants et leur fourberies se révèlent dans l'action, l'aspect comique des pirates (dans la matrone dur au coeur tendre est inspirée de la propre mère de Miyazaki !) préparant leur rôles plus positif en opposition à l'implacable détermination des militaires menés par Muska alors que les moments d'accalmies dévoilent une poésie envoutante comme l'arrivée flottante de Shiita ou la séquence des pierres phosphorescente dans la caverne.
Enfant de la bombe atomique, Miyazaki exprime une vraie dualité quant aux technologies utilisés dans le film, avec une ampleur de plus en plus grande. Ainsi la carcasse du robot tombé de Laputa une fois ranimée sème une infernale destruction tandis que bien plus tard nos héros découvriront une autre machine du même modèle qui dernier survivant de la cité soigne la faune locale. De même l'émerveillement ressenti lors de l'arrivée à Laputa (porté par un score magique de Hisaishi pour sa deuxième collaboration avec Miyazaki) est contrebalancé par l'apocalypse final lorsque la forteresse volante déploie son arsenal de guerre. Le message écologique de Miyazaki se fait même philosophique à travers la description des merveilles abandonnées de l'ancienne civilisation de Laputa, disparue par sa volonté de se substituer aux Dieux alors que l'Homme est fait pour évoluer sur terre. C'est d'ailleurs vers cette terre que s'en vont au bout de leurs aventures Pazu et Shiita, nouveaux Adam et Eve d'un monde dont ils n'apprécieront que mieux les splendeur. D'une perfection technique ébourrifante qui n'a pas pris une ride (décors saisissant de détails, séquence aérienne et d'actions d'une fluidité stupéfiante...) Le Château dans le Ciel est donc bien l'évasion ultime promise par Miyazaki qui signe là tout simplement le plus beau film d'aventure des 80's. Ayant atteint son objectif, il pouvait logiquement passer à autre chose et si la touche occidentale demeure dans Kiki et Porco Rosso (et ne réapparaîtra que dans le mitigé Le Château Ambulant) à suivre, le Maître y explorera désormais de nouveaux territoires. 6/6
Le Château dans le Ciel (1986)

Dans le ciel flotte un château, vestige d'un royaume légendaire: Laputa. La jeune Sheeta possède la pierre qui pourrait y conduire mais elle fait l'objet de bien des convoitises. En l'aidant à échapper aux pirates de l'air et à l'armée, Pazu, jeune garçon d'une cité minière, est entraîné dans une fabuleuse aventure.
L'immense succès de Nausicaä (1984)avait signé l'indépendance d'un Miyazaki qui débarrassé des contraintes des grands studios avait enfin pu imposer un univers personnel et son perfectionnisme maladif à travers la splendeur visuelle du film. La production du film fut de longue haleine notamment l'obtention du financement puisque la mode étant à l'adaptation de manga plutôt qu'aux scripts originaux Miyazaki fut contraint suite à de multiples refus de coucher une version papier dont le succès permis de lancer le film dont le succès pose les fondations du futurs Studio Ghibli lancé dans la foulée.
Le Château dans le Ciel a donc la lourde tâche d'être le premier film produit au sein du Studio Ghibli et c'est en grande partie pour cette valeur historique qu'on le retient. C'est également un des chefs d'oeuvres de Miyazaki faisant le lien entre ses travaux précédents et l'évolution à venir dès Kiki la petite sorcière qui suivra. Le Château dans le Ciel est pour Miyazaki l'aboutissement d'une longue quête, celle du film d'aventures ultime.Le réalisateur y regroupe ainsi plusieurs éléments d'oeuvres antérieures. L'argument du récit lorgne ainsi largement vers la série Conan, le fils du futur, sorte de répétition générale de Laputa où on trouve déjà la quête d'un garçon intrépide et dur à cuire cherchant à protéger une jeune fille dont le pouvoir secret en fait la proie d'ennemis malfaisants. L'influence occidentale, allant de la littérature enfantine anglo-saxonne qu'il à étudié de près (le titre original Laputa vient notamment du nom de l'île volante du troisième récit des Voyages de Gulliver de Jonathan Swift) à l'esthétique très steam punk et inspirée de l'épure d'un Moebius ou du Roi et L'Oiseau de Paul Grimault atteint également des sommets ici. Enfin, Miyazaki s'en donne à coeur joie dans son amour des machines volantes tandis que les multiples courses poursuiteset gags annexes (dont une mémorable bagarre) rappellent grandement la cultissime version canine de Sherlock Holmes dont il réalisa 6 épisodes.
Désormais son propre maître, Miyazaki peut donner le film somme de ce qu'il ne parvint à disséminer que par intermittences dans ces diverses commandes pour délivrer le récit d'évasion absolu après lequel il court, enrichi de ses thématiques. Depuis Le Voyage de Chihiro Miyazaki donne volontairement dans des récits plus décousus à la progression moins ouvertement élaborée laissant voguer son imaginaire. La construction magistrale de Laputa donne donc à voir le soin qu'il apporte dans une narration classique. La première partie dépeint avec un limpidité parfaite le lien tendre unissant Shiita et Pazu ainsi que leur passé les liant à Laputa. Les méchants et leur fourberies se révèlent dans l'action, l'aspect comique des pirates (dans la matrone dur au coeur tendre est inspirée de la propre mère de Miyazaki !) préparant leur rôles plus positif en opposition à l'implacable détermination des militaires menés par Muska alors que les moments d'accalmies dévoilent une poésie envoutante comme l'arrivée flottante de Shiita ou la séquence des pierres phosphorescente dans la caverne.
Enfant de la bombe atomique, Miyazaki exprime une vraie dualité quant aux technologies utilisés dans le film, avec une ampleur de plus en plus grande. Ainsi la carcasse du robot tombé de Laputa une fois ranimée sème une infernale destruction tandis que bien plus tard nos héros découvriront une autre machine du même modèle qui dernier survivant de la cité soigne la faune locale. De même l'émerveillement ressenti lors de l'arrivée à Laputa (porté par un score magique de Hisaishi pour sa deuxième collaboration avec Miyazaki) est contrebalancé par l'apocalypse final lorsque la forteresse volante déploie son arsenal de guerre. Le message écologique de Miyazaki se fait même philosophique à travers la description des merveilles abandonnées de l'ancienne civilisation de Laputa, disparue par sa volonté de se substituer aux Dieux alors que l'Homme est fait pour évoluer sur terre. C'est d'ailleurs vers cette terre que s'en vont au bout de leurs aventures Pazu et Shiita, nouveaux Adam et Eve d'un monde dont ils n'apprécieront que mieux les splendeur. D'une perfection technique ébourrifante qui n'a pas pris une ride (décors saisissant de détails, séquence aérienne et d'actions d'une fluidité stupéfiante...) Le Château dans le Ciel est donc bien l'évasion ultime promise par Miyazaki qui signe là tout simplement le plus beau film d'aventure des 80's. Ayant atteint son objectif, il pouvait logiquement passer à autre chose et si la touche occidentale demeure dans Kiki et Porco Rosso (et ne réapparaîtra que dans le mitigé Le Château Ambulant) à suivre, le Maître y explorera désormais de nouveaux territoires. 6/6
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Re: Hayao Miyazaki
On va pas s'entendre làDemi-Lune a écrit :Le Château dans le Ciel[/i] (1986)

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Re: Hayao Miyazaki
Akrocine a écrit :On va pas s'entendre làDemi-Lune a écrit :Le Château dans le Ciel[/i] (1986)

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Re: Hayao Miyazaki
Juste "bon"!! C'est un chef d'oeuvre de poésie et de rêve!
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Re: Hayao Miyazaki
Aaaah, tu te référais à mon top... Non, désolé, en ce qui me concerne il s'agit d'un Miyazaki mineur. L'entame et la dernière demi-heure sont brillantes, mais je m'étais pas mal ennuyé entretemps ; cela m'avait fait l'effet, surtout aux côtés d'autres de ses œuvres que j'ai découvertes en même temps, d'être un peu programmatique et pas assez piquant et fulgurant. Les personnages des pirates, notamment, m'avaient été pénibles. C'est d'ailleurs le Miyazaki que j'ai le moins envie de revoir et qui me laisse le moins de souvenirs, au-delà de quelques images fortes... toutes situées dans la dernière demi-heure.Akrocine a écrit :Juste "bon"!! C'est un chef d'oeuvre de poésie et de rêve!
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Re: Hayao Miyazaki


En ce qui me concerne j'ai hâte de le redécouvrir en B-D, pour être à nouveau emporté dans cette ambiance si particulière.
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Re: Hayao Miyazaki
Pour moi, 'Le Chateau dans le Ciel' est le plus beau Miyazaki, avec 'Princesse Mononoke'.
Tous deux des chefs d'oeuvre de poésie.
'Le Chateau dans le Ciel' rend très bien en blu-ray.
Mais en même temps, je n'ai pas eu l'impression que ça soit nettement mieux qu'avec le dvd.
Si différence il y a entre br et dvd, elle m'a paru minime, et ne pas vraiment valoir l'achat du br.
(Matériel utilisé : lecteur br Oppo BDP-83 + projecteur hd Panasonic PTAE-4000)
Tous deux des chefs d'oeuvre de poésie.
'Le Chateau dans le Ciel' rend très bien en blu-ray.
Mais en même temps, je n'ai pas eu l'impression que ça soit nettement mieux qu'avec le dvd.
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Re: Hayao Miyazaki
Je n'ai pas acheté les DvD que j'ai toujours trouvé trop chers, donc je préfère mettre un peu plus dans un B-D. Par contre niveau bonus c'est toujours aussi sec?
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Re: Hayao Miyazaki
Sans doute, mais c'est pas clair d'apres la jaquette. (J'ai l'edition anglaise du br.)
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