Michael Bay

[Abronsius]

Bay : bientôt, il y disparaîtra...tout au fond.

[M_RiK]

...à moins qu'il nous colle un grand coup de pied au derrière (auquel cas on se retrouvera tous le cul sur ses docks)...
(cherchez pas, celle-là vient d'une autre dimension)

[John Constantine]

...à moins qu'il nous colle un grand coup de pied au derrière (auquel cas on se retrouvera tous le cul sur ses docks)...
(cherchez pas, celle-là vient d'une autre dimension)

Anchor Bay.

[Flol]

Encore Bay ?

[Tuck pendleton]

Encore Bay ?

What?

[Flol]

Mince, j'aurais dû préciser : "jeu de mots inside avec le message précédent de John Constantine".

[Joshua Baskin]

Mince, j'aurais dû préciser : "jeu de mots inside avec le message précédent de John Constantine".

Ah, ben il est tombé à plat ton jeu de mot.

[John Constantine]

Encore Bay ?

What?

Baywatch!

[Abronsius]

Encore Bay ?

(C'est vrai ça, il suffit !!!!)

[Flol]

Merci Abronsius, je savais que je pouvais toujours compter sur toi.

[Abronsius]

Merci Abronsius, je savais que je pouvais toujours compter sur toi.

[nobody smith]

Je ne l’avais pas revu depuis ma période kisonkonléamerlok où je m’étais arrêté sur le plan du divertissement vain au service d’un patriotisme de pacotille. En le revoyant, je me dis que l’affaire est plus complexe encore. Armageddon constitut probablement le film le plus enfantin de Michael Bay, plus encore que ses transformers. Dans une scène, le personnage de Billy Bob Thornton explique à Bruce Willis qu’à cause de son handicap il n’a pas pu réaliser son rêve d’aller dans l’espace. D’une certaine manière, Bay conçoit son film juste comme le rêve d’un grand enfant. Qui n’a jamais rêvé d’être un de ses élus envoyés vers l’inconnu stellaire ? Qui n’a jamais voulu sauver le monde et devenir un héros ? En offrant cette opportunités à une bande d’ouvriers bien beaufs sur les bords, armageddon devient une sorte de projection et d’accomplissement d’un fantasme candide qu’on aurait en chacun de nous. On est plus tant dans une exaltation d’un patriotisme basique (et ce en dépit d’une vision "USA=centre du monde") que dans une sorte d’onirisme enfantin où tout devient possible pour montrer qu’on peut devenir quelqu’un de grand. Armageddon devient ainsi le déversoir d’une imagination qui n’arrête jamais ses excès sous le prétexte du réalisme. Parce que bon Bay, c’est Bay et il faut que ça bourrinne sec. C’est donc des moyens techniques gigantesques au service d’un enchaînement de 2 heures non-stop d’idées de mise en scène over the top exécutées sur fond de musique martial qui tambourine et où le casting a ordre de faire n’importe quoi. Du bordel impressionnant en somme augmentant le plaisir naïf qu’on peut trouver en ce spectacle d’irréalisme.

[nobody smith]

Il est grand, il est beau, il est riche et il aime faire exploser plein de trucs : Michael Bay est awesome. Malheureusement, le monde ne l’a pas assez compris et c’est mon devoir de fan que de lui faire comprendre cet inoxydable vérité. En l'honneur de la sortie de sa nouvelle bombe, j’apporte donc ma pierre à l’édifice en lui consacrant une rétrospective à la gloire de son génie visuel :

http://www.courte-focale.fr/cinema/retr ... ome-retro/

[El Dadal]

http://www.courte-focale.fr/cinema/retr ... ome-retro/

Excellent article, vraiment. Si ce n'est la tolérance (relative) accordée au dernier acte de Transformers 2, je suis en tous points sur la même longueur d'onde. The Rock est devenu un petit classique (et paraît même bien sage en comparaison des critères actuels), et Bad Boys 2 est vraiment une expérience libératoire. Michael Bay serait-il le pornographe (dans l'acception originelle du terme) le mieux payé au monde?
L'horreur quand même, c'est que je m'étais promis de n'aller voir Transformers 3 sous aucun prétexte. Je crois qu'avec ton article tu as réveillé de vieilles déviances qu'il va falloir assouvir (encore 3h quand même...).

[AtCloseRange]

Il est grand, il est beau, il est riche et il aime faire exploser plein de trucs : Michael Bay est awesome. Malheureusement, le monde ne l’a pas assez compris et c’est mon devoir de fan que de lui faire comprendre cet inoxydable vérité. En l'honneur de la sortie de sa nouvelle bombe, j’apporte donc ma pierre à l’édifice en lui consacrant une rétrospective à la gloire de son génie visuel :

http://www.courte-focale.fr/cinema/retr ... ome-retro/

Je vous rassure, je n'ai pas lu.
SI c'était du papier, je trouverais grave de détruire des arbres pour tartiner des pages et des pages sur Michael Bay...