De retour d'Irak, un groupe de vétérans de l'armée organise le braquage d'une grande banque de Pittsburgh. Mais les choses tournent mal et le vol devient vite une prise d'otages...(source Allociné)
C'est avec John Leguizamo et Donnie Walhberg. Ca vient de sortir en DVD.
La série à été diffusée sur France 2. Est-ce que quelqu'un l'a vu?
Frank Bannister a écrit :Est-ce que quelqu'un l'a vu?
Oui.
styx a écrit :Je comprends pas grand chose à vos salades, mais vous avez l'air bien sur de vous, donc zetes plus à même hein de parler, de sacrés rigolos que vous faites en fait, merde ça rime lourd là, je vais éditer. mdr
Et bien j'ai beaucoup aimé. Ce n'est pas la plus grande série au monde, c'est du pur divertissement, les mecs t'attrapent par les c...lles et te lâchent pas pendant 8 épisodes.
styx a écrit :Je comprends pas grand chose à vos salades, mais vous avez l'air bien sur de vous, donc zetes plus à même hein de parler, de sacrés rigolos que vous faites en fait, merde ça rime lourd là, je vais éditer. mdr
Un excellent divertissement, bien foutu, assez carré et dans lequel on rentre dedans immédiatement. Leguizamo en impose comme pas possible durant le show.
Une excellente machinerie scénariste bien huilée, un scénario organisé comme une partie d'échec, des personnages bien incarnés, une réalisation sobre et efficace. Autant de points positifs pour cette mini série qui exploite avec efficacité et rigueur. Tenir un braquage en huit épisodes étaient un pari risqué et casse gueule, mais les scénaristes ont su relever le challenge et l'accomplir. Pas de temps mort, des phases plus introspectives bien intégrées, une gestion remarquable du rythme. Kill Point ne sera jamais considéré comme une grande série, bien qu'elle ait des choses à dire et plutôt intelligemment, mais dans son registre, le divertissement d'action, l'exercice de style, elle demeure une des plus évidentes.
Le public qui grandit devant la télé affine son regard, acquiert une compétence critique, une capacité à lire des formes compliquées. Il anticipe mieux les stéréotypes et finit par les refuser car il ne jouit plus d'aucune surprise ni curiosité, les deux moteurs de l'écoute.Il faut donc lui proposer des programmes d'un niveau esthétique plus ambitieux. La série télé s'est ainsi hissée, avec ses formes propres, au niveau de la littérature et du cinéma.