Erotik topic
Modérateurs : cinephage, Karras, Rockatansky
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- Régisseur
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Ouhla, on m'a prêté Caligula depuis trois mois. Depuis trois mois, donc, il prend la poussière sur une étagère. J'en ai un fabuleux souvenir (vu il y a plus de 10 ans) et j'ai peur que ça ait grandement morflé. Déjà, revoir Supervixens a été un supplice tellement je l'ai trouvé mauvais (alors que j'adore Faster Pussycat, et Motor Psycho).
J'aimerais revoir par contre "Si vous n'aimez pas ça, n'en dégoutez pas les autres" film X avec Pierre Doris, Thierry Lhermitte, Jugnot etc...
J'aimerais revoir par contre "Si vous n'aimez pas ça, n'en dégoutez pas les autres" film X avec Pierre Doris, Thierry Lhermitte, Jugnot etc...

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- King of (lolli)pop
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TROMA a écrit :Ouhla, on m'a prêté Caligula depuis trois mois. Depuis trois mois, donc, il prend la poussière sur une étagère. J'en ai un fabuleux souvenir (vu il y a plus de 10 ans) et j'ai peur que ça ait grandement morflé. Déjà, revoir Supervixens a été un supplice tellement je l'ai trouvé mauvais (alors que j'adore Faster Pussycat, et Motor Psycho).
J'aimerais revoir par contre "Si vous n'aimez pas ça, n'en dégoutez pas les autres" film X avec Pierre Doris, Thierry Lhermitte, Jugnot etc...
Pour celles et ceux qui ne connaissent pas le film dont parle TROMA, je vous conseille de le voir si vous le trouvez, car il s'agit d'un film à part, qui ne ressemble à aucun autre dans le cinéma français, où des acteurs et des actrices du Splendid commentent des séquences de films X dans une salle de cinéma. Il date de 1978.
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- Mister Ironbutt 2005
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Oui, il fallait préciser...Jordan White a écrit :Pour celles et ceux qui ne connaissent pas le film dont parle TROMA, je vous conseille de le voir si vous le trouvez, car il s'agit d'un film à part, qui ne ressemble à aucun autre dans le cinéma français, où des acteurs et des actrices du Splendid commentent des séquences de films X dans une salle de cinéma. Il date de 1978.

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- King of (lolli)pop
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Lisa - Kris Kramski - 1996
Réalisateur français exilé aux USA depuis sept ans, Kris Kramski ( Models, Klimax) signe peut-être ici son meilleur film. Loin des usages et des conventions propres à ce genre de film, le réal prend le temps de raconter une histoire et de filmer avec une pellicule 16 mm. L'improbable réussite de ce film qui tient à peine sur le papier vient de son souci de crédibilité dans des scènes de comédie qui sont intelligibles et jouées de la façon la plus correcte qui soit, sans qu'on ait affaire non plus à la Royal Shakeaspeare Academy.
Pourtant le scénar est simple: une femme rentre un après-midi chez elle à l'improviste pour retrouver son mari ( dans un mémorable plan-séquence) qui se trouve au lit avec une autre femme. Situation vaudevillesque qui débouche sur une scène où elle prend ses cliques et ses clacs décidée à vivre une autre vie loin de ce mari volage et infidèle. En route elle croise un homme dans un restaurant avec qui elle passera la nuit, puis elle rencontrera une femme avec qui elle aura une expérience, et ainsi de suite jusqu'à une fin des plus troublantes....
Kris Kramski soigne sa mise en scène qui se rapproche de façon troublante d'une mise en scène de film traditionnel avec l'emploi du champs/contre champs pendant les séquences de dialogue, racontant une véritable histoire, usant de travellings pendant les scènes d'extérieur quand Lisa arrive en ville, le tout avec des fondus. Les dialogues minimalistes sonnent pourtant justes et le doublage s'avère assez probant même si pas génial. Lisa Harper dans son plus beau rôle est à la fois rebelle et fragile, touchante jusqu'à provoquer l'émotion chose assez rare pour être soulignée.
Un film intriguant, bien loin des canons habituels.
6.5/10
Réalisateur français exilé aux USA depuis sept ans, Kris Kramski ( Models, Klimax) signe peut-être ici son meilleur film. Loin des usages et des conventions propres à ce genre de film, le réal prend le temps de raconter une histoire et de filmer avec une pellicule 16 mm. L'improbable réussite de ce film qui tient à peine sur le papier vient de son souci de crédibilité dans des scènes de comédie qui sont intelligibles et jouées de la façon la plus correcte qui soit, sans qu'on ait affaire non plus à la Royal Shakeaspeare Academy.
Pourtant le scénar est simple: une femme rentre un après-midi chez elle à l'improviste pour retrouver son mari ( dans un mémorable plan-séquence) qui se trouve au lit avec une autre femme. Situation vaudevillesque qui débouche sur une scène où elle prend ses cliques et ses clacs décidée à vivre une autre vie loin de ce mari volage et infidèle. En route elle croise un homme dans un restaurant avec qui elle passera la nuit, puis elle rencontrera une femme avec qui elle aura une expérience, et ainsi de suite jusqu'à une fin des plus troublantes....
Kris Kramski soigne sa mise en scène qui se rapproche de façon troublante d'une mise en scène de film traditionnel avec l'emploi du champs/contre champs pendant les séquences de dialogue, racontant une véritable histoire, usant de travellings pendant les scènes d'extérieur quand Lisa arrive en ville, le tout avec des fondus. Les dialogues minimalistes sonnent pourtant justes et le doublage s'avère assez probant même si pas génial. Lisa Harper dans son plus beau rôle est à la fois rebelle et fragile, touchante jusqu'à provoquer l'émotion chose assez rare pour être soulignée.
Un film intriguant, bien loin des canons habituels.
6.5/10
c'est le premier film du topic que j'ai vu.
bon, ben, je suis carrément pas d'accord.
je suis pas un amtaur du genre mais je risque pas d'en devenir un si ça, c'est "original".
l'histoire est nulle, les comédiens très moyens.
enfin, un porno classique quoi.
la réalisation par contre je peux pas la juger, pas hébitué aux critères du genre mais quand tu parles du "mémorable plan-séquence d'ouverture", je trouve que tu exagères.
Nan, désolé, le porno, c'est bien avant mais après on se demande bien pourquoi on a regardé une merde pareille...
bon, ben, je suis carrément pas d'accord.
je suis pas un amtaur du genre mais je risque pas d'en devenir un si ça, c'est "original".
l'histoire est nulle, les comédiens très moyens.
enfin, un porno classique quoi.
la réalisation par contre je peux pas la juger, pas hébitué aux critères du genre mais quand tu parles du "mémorable plan-séquence d'ouverture", je trouve que tu exagères.
Nan, désolé, le porno, c'est bien avant mais après on se demande bien pourquoi on a regardé une merde pareille...
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Kurtz a écrit :c'est le premier film du topic que j'ai vu.
bon, ben, je suis carrément pas d'accord.
je suis pas un amtaur du genre mais je risque pas d'en devenir un si ça, c'est "original".
l'histoire est nulle, les comédiens très moyens.
enfin, un porno classique quoi.
la réalisation par contre je peux pas la juger, pas hébitué aux critères du genre mais quand tu parles du "mémorable plan-séquence d'ouverture", je trouve que tu exagères.
Nan, désolé, le porno, c'est bien avant mais après on se demande bien pourquoi on a regardé une merde pareille...
Ce n'est pas tant que c'est très "original" par rapport au scénar, mais que ça arrive à tenir debout. Lisa Harper est assez crédible. Elle est assez naturelle dans les séquences de dialogue et cela m'avait étonné, faisant du film un long-métrage qui sortait du lot par son refus aussi de certaines conventions. Le film est en 16 mm, c'est pas non plus un format utilisé tous les jours.
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Erotique de l'art du 20e siècle - Taschen - 1999
Je viens de finir la lecture d'un bouquin intéressant sur l'art et l'érotisme chez l'éditeur Taschem. On y trouve des dessins, des esquisses, des dessins au fusain tantôt explicites, tantôt suggerés, qui laissent libre cours à l'imagination. Beaucpup d'artistes comme Matisse, Cocteau, Vélasquez, Delacroix, Courbet ( le fameux L'origine du Monde), Masson, Man Ray, jusqu'aux plus contemporains qui aborde l'érotisme de manière plus radicale avec des clichés et des photos crues par exemple chez l'actionnisme viennois.
Le livre est divisé en chapitres se rapportant à un thème, comme le nu comme autoportrait, ou histoire de l'oeil et des sens.
Intéressant à plus d'un titre on peut y trouver par exemple des planches de dessins en noir et blanc de Andy Warhol, ou ceux hyper sexuels de Groez qui fut condamné par rapport à son travail condamnant le nazisme.
Un assez beau livre.
6/10
Je viens de finir la lecture d'un bouquin intéressant sur l'art et l'érotisme chez l'éditeur Taschem. On y trouve des dessins, des esquisses, des dessins au fusain tantôt explicites, tantôt suggerés, qui laissent libre cours à l'imagination. Beaucpup d'artistes comme Matisse, Cocteau, Vélasquez, Delacroix, Courbet ( le fameux L'origine du Monde), Masson, Man Ray, jusqu'aux plus contemporains qui aborde l'érotisme de manière plus radicale avec des clichés et des photos crues par exemple chez l'actionnisme viennois.
Le livre est divisé en chapitres se rapportant à un thème, comme le nu comme autoportrait, ou histoire de l'oeil et des sens.
Intéressant à plus d'un titre on peut y trouver par exemple des planches de dessins en noir et blanc de Andy Warhol, ou ceux hyper sexuels de Groez qui fut condamné par rapport à son travail condamnant le nazisme.
Un assez beau livre.
6/10
- Ouf Je Respire
- Charles Foster Kane
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C'est quoi un gonzo? Un lien de parenté avec le gorgonzola.
Ouf, qui ne voit du cul que dans son pieu et bien entouré (yeah baby, yeah)
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- Un Justicier dans la Cuisine
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C'est quoi un gonzo, part2
John Constantine a écrit := un sous-genre du film pornographique, qui est en train néanmoins de bouffer le genre et en gros dont les films sont caractérisées par une enfilade de scènes sexuelles sans scénario, lien narratif, enjeux quelconques et tournées dans des chambres d'hôtel et autres appart'. A distinguer du film amateur stricto sensu car tourné avec des pros et faits par des pros.phenryl a écrit : sinon c'est quoi le gonzo ?
Exemple: les films de Buttman.
Puissant, corrompu et menteur


You two do make a charming couple though, you're both, what's the expression, damaged goods.
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Les charmes secrets de Miss Todd - Michel Barny - 1988
Film typique des années 80 avec ce que cela comporte d'actrices permanentées, de synthés bontempi et doublages calamiteux, ce dernier est réalisé par un vétéran du genre, proche de Marc Dorcel et qui avait signé un an auparavant le scénario de On se calme et on boit frais à Saint-Tropez. Aucun scénario ou presque entre deux parties de poker qui se terminent en parties fines dans un bureau au papier peint floral d'un assez mauvais goût, mais cela fait partie d'un certain charme.
Le film a en fait un seul attrait, c'est celui de voir l'une des égéries du X américain des années 80 Tracey Adams. La photo très moyenne tente tant bien que mal de la mettre en valeur, ce qu'elle parvient à faire une fois sur deux. Le reste du casting n'est pas non plus mirobolant, ce qui laisse à penser que le réal tentait de faire un film hommage, Tracey Adams ayant arrêté à la fin des années 80. Avec le recul, c'en devient même évident.
Archi-classique, les Charmes ...est une petite curiosité qui peut se voir comme un certain témoignage d'une époque révolue, où les cassettes étaient moins accessibles, et les stars du genre pas encore des icônes médiatiques.
5/10
Film typique des années 80 avec ce que cela comporte d'actrices permanentées, de synthés bontempi et doublages calamiteux, ce dernier est réalisé par un vétéran du genre, proche de Marc Dorcel et qui avait signé un an auparavant le scénario de On se calme et on boit frais à Saint-Tropez. Aucun scénario ou presque entre deux parties de poker qui se terminent en parties fines dans un bureau au papier peint floral d'un assez mauvais goût, mais cela fait partie d'un certain charme.
Le film a en fait un seul attrait, c'est celui de voir l'une des égéries du X américain des années 80 Tracey Adams. La photo très moyenne tente tant bien que mal de la mettre en valeur, ce qu'elle parvient à faire une fois sur deux. Le reste du casting n'est pas non plus mirobolant, ce qui laisse à penser que le réal tentait de faire un film hommage, Tracey Adams ayant arrêté à la fin des années 80. Avec le recul, c'en devient même évident.
Archi-classique, les Charmes ...est une petite curiosité qui peut se voir comme un certain témoignage d'une époque révolue, où les cassettes étaient moins accessibles, et les stars du genre pas encore des icônes médiatiques.
5/10
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Le parfum de Mathilde - Marc Dorcel - 1993
Produit, co-écrit et réalisé par Marc Dorcel, Le Parfum de Mathilde est un film symbole, puisqu'il est un film à la lisière de deux époques : celle d'avant Laure Sainclair sa future égérie, et celle du Dorcel de l'époque qui se lance dans les grosses productions. Le film est typique de son univers: femmes bourgeoises et servantes dociles, châteaux ou demeures luxueuses, omniprésence des porte-jarretelles et de lingeries fines, casting hors normes. Marc Dorcel se donne les moyens de ses ambitions sans pour autant faire autre chose que ce qu'il a déjà fait.
L'histoire est celle d'un homme vivant reclu dans son chateau depuis la mort de sa femme. En veuf éploré, il se rémemore ses souvenirs au contact d'un tableau représentant l'image de sa femme perdue. Arrive alors une jeune inconnue, innocente et pure, dont la beauté lui rappelle celle qu'il vient de perdre. Eva ( Draghixa) de son prénom va alors suivre une initiation en différents tableaux à travers chacune des pièces, jusqu'à la scène finale où l'on assistera à la célébration de ses noces.
Une histoire d'initiation sans véritable surprise qui a été co-écrite par Jean Rollin, roi de la série B horrifique des années 70, qui menait aussi une carrière parallèle dans le X à la même époque. Sans être crédité il a aussi co-réalisé le film. Si on exclut la beauté des décors et quelques scènes sympathiques, c'est très banal.
5.5/10
Citizen Shane - Marc Dorcel - 1995
Ni plus ni moins que le remake du célèbre et indémodable film de Orson Welles, Citizen Shane peut sembler être une hérésie aux yeux des fans du réalisateur qui peuvent ne pas comprendre l'intérêt de remaker un tel film. Cependant le X a toujours user du recyclage et du remake de tous temps, et ce long-métrage n'échappe pas à la règle.
Ici, l'intrigue et reprise au pied de la lettre en tentant de respecter la chronologie en flashback du film, qui commence dans l'original par la petite boule et le désormais célèbre " Rosebud" prononcé par le mourrant.
Il n'y a rien d'autre dans le scénario qui se contente avec les moyens d'une production française moyenne d'aligner les séquences hard les unes après les autres, dont une dans une cusuine avec fruits et farine, le tout dans une ambiance plutôt légère ce qui conduit à un certain second degré. Comme toujours Dorcel qui écrit et réalise soigne les fringues et les décors et offre un casting en béton armé qui convoque toutes les stars de l'époque.
Il en résulte un film plutôt bon, dont le doublage approximatif participe à un humour décalé d'autant que les situations sont censées être très sérieuses et surtout graves au vu des circonstances.
Le film prend tout son intérêt grâce à l'éternelle et superbe Anita Rinaldi, dans le rôle de la journaliste qui tente de comprendre la signification du mot mystèrieux et donc de l'histoire.
6.5/10
Produit, co-écrit et réalisé par Marc Dorcel, Le Parfum de Mathilde est un film symbole, puisqu'il est un film à la lisière de deux époques : celle d'avant Laure Sainclair sa future égérie, et celle du Dorcel de l'époque qui se lance dans les grosses productions. Le film est typique de son univers: femmes bourgeoises et servantes dociles, châteaux ou demeures luxueuses, omniprésence des porte-jarretelles et de lingeries fines, casting hors normes. Marc Dorcel se donne les moyens de ses ambitions sans pour autant faire autre chose que ce qu'il a déjà fait.
L'histoire est celle d'un homme vivant reclu dans son chateau depuis la mort de sa femme. En veuf éploré, il se rémemore ses souvenirs au contact d'un tableau représentant l'image de sa femme perdue. Arrive alors une jeune inconnue, innocente et pure, dont la beauté lui rappelle celle qu'il vient de perdre. Eva ( Draghixa) de son prénom va alors suivre une initiation en différents tableaux à travers chacune des pièces, jusqu'à la scène finale où l'on assistera à la célébration de ses noces.
Une histoire d'initiation sans véritable surprise qui a été co-écrite par Jean Rollin, roi de la série B horrifique des années 70, qui menait aussi une carrière parallèle dans le X à la même époque. Sans être crédité il a aussi co-réalisé le film. Si on exclut la beauté des décors et quelques scènes sympathiques, c'est très banal.
5.5/10
Citizen Shane - Marc Dorcel - 1995
Ni plus ni moins que le remake du célèbre et indémodable film de Orson Welles, Citizen Shane peut sembler être une hérésie aux yeux des fans du réalisateur qui peuvent ne pas comprendre l'intérêt de remaker un tel film. Cependant le X a toujours user du recyclage et du remake de tous temps, et ce long-métrage n'échappe pas à la règle.
Ici, l'intrigue et reprise au pied de la lettre en tentant de respecter la chronologie en flashback du film, qui commence dans l'original par la petite boule et le désormais célèbre " Rosebud" prononcé par le mourrant.
Il n'y a rien d'autre dans le scénario qui se contente avec les moyens d'une production française moyenne d'aligner les séquences hard les unes après les autres, dont une dans une cusuine avec fruits et farine, le tout dans une ambiance plutôt légère ce qui conduit à un certain second degré. Comme toujours Dorcel qui écrit et réalise soigne les fringues et les décors et offre un casting en béton armé qui convoque toutes les stars de l'époque.
Il en résulte un film plutôt bon, dont le doublage approximatif participe à un humour décalé d'autant que les situations sont censées être très sérieuses et surtout graves au vu des circonstances.
Le film prend tout son intérêt grâce à l'éternelle et superbe Anita Rinaldi, dans le rôle de la journaliste qui tente de comprendre la signification du mot mystèrieux et donc de l'histoire.
6.5/10
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- King of (lolli)pop
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Les jours et les nuits de China Blue - Ken Russel - 1984
Dessinatrice de mode le jour, une femme charmante et discrète se transforme en femme vénéneuse la nuit venue. Deux hommes entreront dans sa vie.
Le film est signé Ken Russel, le réalisateur de entres autres Gothic et surtout Les Diables. Dans le rôle titre on retrouve Katleen Turner, qui jouait déjà dans A la poursuite du diamant vert et sera la future madame ROSE de la Guerre des Rose réalisé par danny de vito.
Le film ancré dans les années 80 possède un érotisme très particulier s'agissant avant tout d'un film sur le double et les apparences. L'actrice principale arrive à provoquer l'attirance par son charme dévorant, et quelques scènes sans être très hard sont assez chaudes pour l'époque et choqua pas mal de monde sans pour autant être l'objet d'un grand scandale.
Un film qui permit à Miss Turner de faire décoller sa carrière.
5.5/10
Dessinatrice de mode le jour, une femme charmante et discrète se transforme en femme vénéneuse la nuit venue. Deux hommes entreront dans sa vie.
Le film est signé Ken Russel, le réalisateur de entres autres Gothic et surtout Les Diables. Dans le rôle titre on retrouve Katleen Turner, qui jouait déjà dans A la poursuite du diamant vert et sera la future madame ROSE de la Guerre des Rose réalisé par danny de vito.
Le film ancré dans les années 80 possède un érotisme très particulier s'agissant avant tout d'un film sur le double et les apparences. L'actrice principale arrive à provoquer l'attirance par son charme dévorant, et quelques scènes sans être très hard sont assez chaudes pour l'époque et choqua pas mal de monde sans pour autant être l'objet d'un grand scandale.
Un film qui permit à Miss Turner de faire décoller sa carrière.
5.5/10