Erotik topic
Modérateurs : cinephage, Karras, Rockatansky
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- King of (lolli)pop
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Erotik topic
News, archives, classiques des seventies, gay, lesbien, livres, films érotiques, etc...
C'est ici pour en parler.
Nous avons l'aimable autorisation des modos, donc sont exclus les débordements sexistes, racistes et misogynes, les propos diffamants, les jaquettes de films et les photos explicites évidemment, le topic "notez les derniers films" n'en comportant pas on ne fera pas exception à la règle. Il est clair qu'au moindre dérapage le topic sera fermé.
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ça me fait penser à Spinal Tap. La scène ou il se demande ce qu'il y a de sexiste ("sex-iste, not sexy"
) dans une jaquette ou on voit une femme nue attacher à une laisse en train de sentir un gant qu'on lui tend. Smeeell the gloves
pardon



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Pin-Up 2 - Andrew Blake-
Souvent considéré comme un cinéaste de l'érotisme plutôt qu'un réalisateur de X, Andrew Blake n'en finit plus au pire d'agacer, au mieux d'éblouir ses fans. Pas un des plans qui ne soient réalisés dans ce film comme dans d'autres qu'il a mis en boîte n'a été filmé au hasard. Tout chez lui répond à un perfectionnisme frôlant la maniaquerie.
La photographie de ce film n'a rien à envier aux films traditionnels, tant la technique du génial réalisateur est mise une fois de plus en avant. Mettant les filtres qui avaient un peu nuit au premier Pin-Up, beaucoup plus papier glacé en comparaison, celui-là ressemble davantage à un film érotique plutôt qu'à un catalogue sur le saphisme, même s'il n'y a en tout que deux scènes hétéro. On sait depuis ses débuts en 89, que Blake renonce à agencer les plans les uns après les autres dans un souci narratif. Ses films sont d'une simplicité évidente, et les scénari se réduisent à deux lignes sur une feuille blanche. En cinéaste des sens, obsédé par la perfection technique, par le moindre mouvement de caméra, Blake s'est vu reproché des tas de choses, et en premier lieu l'abscence d'érotisme de ses films. Ici, même s'il n'atteint pas les sommets d'un Sensual Exposure aka Obsessions cachées 2 en français, tout concourt à en faire un film supérieur à condition qu'on soit sensible à ce genre d'images esthétiques qui énervera l'amateur de gonzo. C'est pourtant simple: on adore ou déteste Andrew Blake. Un film de femmes.
7.5/10
Souvent considéré comme un cinéaste de l'érotisme plutôt qu'un réalisateur de X, Andrew Blake n'en finit plus au pire d'agacer, au mieux d'éblouir ses fans. Pas un des plans qui ne soient réalisés dans ce film comme dans d'autres qu'il a mis en boîte n'a été filmé au hasard. Tout chez lui répond à un perfectionnisme frôlant la maniaquerie.
La photographie de ce film n'a rien à envier aux films traditionnels, tant la technique du génial réalisateur est mise une fois de plus en avant. Mettant les filtres qui avaient un peu nuit au premier Pin-Up, beaucoup plus papier glacé en comparaison, celui-là ressemble davantage à un film érotique plutôt qu'à un catalogue sur le saphisme, même s'il n'y a en tout que deux scènes hétéro. On sait depuis ses débuts en 89, que Blake renonce à agencer les plans les uns après les autres dans un souci narratif. Ses films sont d'une simplicité évidente, et les scénari se réduisent à deux lignes sur une feuille blanche. En cinéaste des sens, obsédé par la perfection technique, par le moindre mouvement de caméra, Blake s'est vu reproché des tas de choses, et en premier lieu l'abscence d'érotisme de ses films. Ici, même s'il n'atteint pas les sommets d'un Sensual Exposure aka Obsessions cachées 2 en français, tout concourt à en faire un film supérieur à condition qu'on soit sensible à ce genre d'images esthétiques qui énervera l'amateur de gonzo. C'est pourtant simple: on adore ou déteste Andrew Blake. Un film de femmes.
7.5/10
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tu regardesles films en entierJordan White a écrit :Pin-Up 2 - Andrew Blake-
Souvent considéré comme un cinéaste de l'érotisme plutôt qu'un réalisateur de X, Andrew Blake n'en finit plus au pire d'agacer, au mieux d'éblouir ses fans. Pas un des plans qui ne soient réalisés dans ce film comme dans d'autres qu'il a mis en boîte n'a été filmé au hasard. Tout chez lui répond à un perfectionnisme frôlant la maniaquerie.
La photographie de ce film n'a rien à envier aux films traditionnels, tant la technique du génial réalisateur est mise une fois de plus en avant. Mettant les filtres qui avaient un peu nuit au premier Pin-Up, beaucoup plus papier glacé en comparaison, celui-là ressemble davantage à un film érotique plutôt qu'à un catalogue sur le saphisme, même s'il n'y a en tout qu'une seule scène hétéro. On sait depuis ses débuts en 89, que Blake renonce à agencer les plans les uns après les autres dans un souci narratif. Ses films sont d'une simplicité évidente, et les scénari se réduisent à deux lignes sur une feuille blanche. En cinéaste des sens, obsédé par la perfection technique, par le moindre mouvement de caméra, Blake s'est vu reproché des tas de choses, et en premier lieu l'abscence d'érotisme de ses films. Ici, même s'il n'atteint pas les sommets d'un Sensual Exposure aka Obsessions cachées 2 en français, tout concourt à en faire un film supérieur à condition qu'on soit sensible à ce genre d'images esthétiques qui énervera l'amateur de gonzo. C'est pourtant simple: on adore ou déteste Andrew Blake. Un film de femmes.
8.5/10

sinon c'est quoi le gonzo ?
...
Comme je l'avais déjà dit sur Rama, je suis peu fan du bonhomme dont j'ai dû voir deux ou trois films. Là où tu vois du papier glacé, je vois surtout un style bien chichiteux et, le pire pour un film de cul je crois, un boulard bien peu bandant... Je ne me souviens pas des titres par contre, donc je ne juge pas sur sa filmo. Mais ces ralentis, ces filtres, cette musique pseudo-jazzy, bof bof bof.
Je ne suis pas un grand amateur, mais à tout prendre je préfère un bon vieux Marc Dorcel

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EffectivementLeopold Saroyan a écrit :Je suis cureiux aussi. Alors qu'un magazine porno ne se lit que d'une main, un porno se regarde (souvent?) avec la télécommande du magnéto entre les mains, près à fastforwarder.phenryl a écrit :tu regardesles films en entier![]()

Je serait d'ailleurs bien peu capable d'emettre un jugement sur un seul des pornos que j'ai vu. Il faut vraiment que la mise en scène se voit (qu'elle agace en fait) pour que je puisse en tirer (hum) quelques chose.
Et en général dans un pornos je regarde une ou 2 scènes et je zap les dialogues, pas fou l'Jean-Lou
m'enfin moi je suis un porc alors je sais pas
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= un sous-genre du film pornographique, qui est en train néanmoins de bouffer le genre et en gros dont les films sont caractérisées par une enfilade de scènes sexuelles sans scénario, lien narratif, enjeux quelconques et tournées dans des chambres d'hôtel et autres appart'. A distinguer du film amateur stricto sensu car tourné avec des pros et faits par des pros.phenryl a écrit : sinon c'est quoi le gonzo ?
Exemple: les films de Buttman.
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You two do make a charming couple though, you're both, what's the expression, damaged goods.
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merci...John Constantine a écrit := un sous-genre du film pornographique, qui est en train néanmoins de bouffer le genre et en gros dont les films sont caractérisées par une enfilade de scènes sexuelles sans scénario, lien narratif, enjeux quelconques et tournées dans des chambres d'hôtel et autres appart'. A distinguer du film amateur stricto sensu car tourné avec des pros et faits par des pros.phenryl a écrit : sinon c'est quoi le gonzo ?
Exemple: les films de Buttman.

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