018.2. 1920-1935 : L'AGE D'OR DU MUET 018. 1. La dictature des "benshi" 018. 2. Le premier âge d'or du cinéma japonais 023. 3. Les autres grands du muet 026. 4. Les balbutiements du parlant
028.3. 1936-1945 : LA PERIODE "NATIONNALE" ET MILITARISTE 028. 1. Un cinéma sous contrôle 030. 2. La résistance passive de certains cinéaste
033.4. 1945-1950 : LA RENAISSANCE DE L'APRES GUERRE 033. 1. L'occupation américaine 034. 2. Les grèves à la TOHO 034. 3. Emergences et affirmations
038.5. 1950-1959 : LE SECOND AGE D'OR DU CINEMA JAPONAIS 038. 1. La révélation à l'Occident 042. 2. Akira Kurosawa : de l'humanisme à l'apogée du héros 046. 3. Kenji Mizoguchi : destins de femmes 049. 4. Yasujiro Ozu et Miko Naruse : un univers proche, un style différent 055. 5. Le triomphe des genres 063. 6. Un cinéma populaire
069.6. 1960-1973 : LES NOUVELLES VAGUES ET LE DECLIN DES MAJORS 070. 1. Révélations à la Shochiku : Oshima, Yoshida, Shinoda 076. 2. Imamura et Suzuki à la NIKKATSU 078. 3. Masumura à la DAIEI et les indépendants 081. 4. La révolution sexuelle à l'écran 082. 5. L'union des quatres ainés
084.7. 1973-1980 : FIN DES EXPERIMENTATIONS ET EMERGENCE DES NOUVEAUX INDEPENDENTS 084. 1. L'épuisement de la Nouvelle Vague 086. 2. Les dernières cartouches des majors
092.8. 1980-1997 : LA CRISE ARTISTIQUE 092. 1. Un système en panne 094. 2. Les derniers films de "l'Empereur" 095. 3. Espoirs et désillusions des nouveaux indépendants
101.ANNEXES 101. 1. Quelques statistiques essentielles 103. 2. Les principales compagnies 105. 3. Glossaire
113. Vidéographie
115. Discographie
117. Bibliographie
123. Index
Vous ne connaissez rien au cinéma japonais, si ce n'est de réputation quelques noms comme Kurosawa, Mizoguchi, Oshima ou Kitano, et n'avez vu que quelques films comme Les sept samouraïs, Hana-bi ou L'anguille (de vous ne savez plus qui... ), mais ce monde fascinant vous attire beaucoup. Ce petit livre est fait pour vous.
C'est un super petit livre petit budget, une très bonne introduction au cinéma japonais par le spécialiste Max Tessier, qui retrace son histoire de façon claire, sans omettre aucun point important. Très agréable à lire et à consulter, il donne vraiment envie de découvrir les auteurs et films cités, sur lesquels l'auteur pose un regard juste.
Personnellement, j'aime bien ce livre. Très intéressant à lire, même si vous connaissez déjà un peu Kurosawa ou Ozu
015.1. Trésors disparus et retrouvés du cinéma muet ou le premier âge du cinéma japonais. 016. La révolution des actrices 018. Création de la Shochiku 021. Le tremblement de terre du Kanto 022. Daisuke Ito 022. Tomu Uchida 027. Un trésor retrouvé : Une page folle
031.2. Une constante : "le remake made in Japan". 031.Les 47 ronins par centaines 036. Héros réels ou mythiques 039. Sazen Tange 040. Shinsen-gumi 041. Les remakes littéraires
047.3. Au fil des saisons : le cinéma "intimiste" et "familial". 048. Emotion et atmosphère 052. Les quatre saisons 052. Yasujiro Ozu 054. Mikio Naruse 057. Heinosuke Gosho 057. Yasujiro Shimazu 059. Hiroshi Shimizu 060. De l'après-guerre à aujourd'hui : apogée et décadence du "shomin-geki" 060. Naruse (bis) 064. Gosho (bis) 066. De Kinoshita à Yamada
069.4. L'éternelle danse du sabre : samuraï et "chambara". 069. Portrait du samuraï idéal 072. Un genre populaire et codifié 079. Les samuraï du "Bakumatsu" 080. Les samuraï face au peuple
089.5. Les films de guerre : de Pearl Harbour à Hiroshima. 094. Un "anti-militarisme" militant 098. Les films du "Gembaku" ou l'horreur atomique 100. La critique humaniste de Masaki Kobayashi 104.Feux dans la plaine 106. Résurgence du nationalisme
111.6. Séries noires... et de toutes les couleurs : une exploration des films de genres. 112. De sacrés monstres 117. Les "Bake-mono" ou fantômes japonais : des contes chinois à Kwaidan 122. L'enfer bouddhique du cinéma-bis 123. Les films de "Yakuza", ou d'honorables mafiosi 126. De corneille à Shakespeare ? 130. Comédies et satires ou les japonais rient aussi 137. Zatoichi, le masseur aveugle 138. Les ninja
141.7. Estampes érotiques et pornographie codifiée : du premier baiser à "L'Empire des sens". 148. Romantisme et pornographie à la Nikkatsu : la série "roman-porno" et ses avatars 150. Le grand film de l'érotisme japonais
155.8. Du coté des classiques ou le second âge d'or : Mizoguchi, Ozu, Kurosawa... et les autres. 158. Kenji Mizoguchi, ou des beautés du réalisme à la beauté de la réalité 173. Yasujiro Ozu : l'automne de la famille japonaise 180. Akira Kurosawa : de l'humanisme à la "sur-humanité" ? 201. Kon Ichikawa, un thérapeute de l'humour noir 207. Masaki Kobayashi, ou le moralisme militant 209. Keisuke Kinoshita, de la comédie au mélodrame : hauts et bas de la "démocratie japonaise" 212. Les films "progressistes" : marxisme et idéalisme 213. Les films à thèse : Satsuo Yamamoto et Tadashi Imai 218. Shindo et Yoshimura ou "la société du cinéma moderne" 223. Splendeurs et excès de la "littérature pure"
233.9. Sus aux tabous : le "tsunami" de la Nouvelle Vague. 234. Nagisa Oshima : de la jeunesse cruelle à la corrida charnelle 239. Shohei Imamura et Shuji Terayama, ou le baroque freudien 244. Jeunesse délinquente et "crise de l'identité" : Susumu Hani, Hiroshi Teshigara, Kiju Yoshida, Yasuzo Masumura et Cie 252. La "nouvelle gauche" militante : entre Narita et Minamata
254.10. Les anées 70 : un désert parsemé d'oasis-mirages. 254. Survie des compagnies 257. Anciens et nouveaux indépendants 258. Transfuges de l'underground 261. Nouveaux espoirs des années 80 268. Déclins et sursauts 259. Destins divers des cinéastes des compagnies 271. L'automne des anciens (Kurosawa, Kobayashi, Kinoshita, Ichikawa) 273. Un avenir incertain
276.11. Les acteurs, avec ou sans masque (30 visages du cinéma japonais).
301. Lexique
303. Noms des principales compagnies
323. Bibbliographie essentielle
328. Index des personnalités et des films
Un ouvrage luxueux, très richement illustré, et passionnant à lire. Il n'est pas archi-pointu, il manque des choses, mais en raconte déjà beaucoup. Les points importants, les auteurs important sont abordés, le tout classé par catégories plutôt que chronologiquement : cinéma muet - Shomin-geki - jidai-Geki et chambara - films de guerres - films de monstres, fantômes, yakuza, roman porno - l'âges d'or des années 50 et ses grands auteurs...
Un excellent livre, et un objet indipensable pour les fans de cinéma nippon amateurs de beaux livres.
009.INTRODUCTION - Le cinéma japonais 010. Les lanternes magiques 011. Cinéma et musique japonaise 018. Les modèles des fictions 020. L'origine des acteurs : le kabuki et le shinpa 025. L'origine des acteurs : Shingeki, Théâtre comique et comédie musicale féminine 028. Les yakuzas 029. L'origine des cinéastes 043. L'influence du cinéma occidental 054. La censure
057.CHAPITRE PREMIER - L'époque des pionniers : 1896-1923 058. Premiers films importés et premières réalisations 059. Les benshis 060. Les films sur la guerre russo-japonaise 061. Les premiers studio 063. Actrices et spectacles combinés 066. Premières grandes stars 067. Les studios de la NIKKATSU à Mukojima 069. Les nouveaux films de fiction 074. Les studio de la SHOCHIKU à Kamata 081.La boutique Kyoka, ultime éclat du style ancien 082. Les japonais à hollywood 091. Des vieilles pièces de théâtre au 'jidaigeki' 091. Le grand séisme et l'évolution de la culture populaire
095.CHAPITRE DEUX - Maturité du cinéma muet : 1924-1934 096. Shirokido et le style Kamata 101. Heinosuke Gosho, Torajiro Saito, Yasujiro Ozu 114. L'esprit moderne de Minoru Murata 119. La NIKKATSU et la TEIKINE : le nouveau 'jidaigeki' et l'épanouissement des actrices 125. Teinosuke Kinugasa et l'action avant-gardiste 129. Daisuke Ito, ou la révolution du jidaigeki avec Denjiro Okochi 132. Le cinéma de Makino 134. Loyauté et trahison dans le 'jidaigeki' 137. L'apparition des 'matatabi mono' 141. Sadao Yamanaka 143. Le 'Keiko eiga' 144. Les activités de Pro Kino 145. L'art des benshis
147.CHAPITRE TROIS - Fin du muet, début du parlant : 1931-1940 148. Vers le parlant 150. Le 'jidaigeki' et les stars 157. Mansaku Itami ou la négation du 'jidaigeki 162. Les films 'shoshimin' et le thème de l'enfance 167. Le réalisme de Kenji Mizoguchi 174. La personnalistion des techniques de mise en scène 182. De PCL à la TOHO 188. La TOHO de Tokyo et la TOKYO HASSEI 192. La NIKKATSU de Tamagawa 196. Vers la guerre
199.CHAPITRE QUATRE - Le cinéma pendant la guerre : 1937-1945 200. Les films de guerre 206. Les films d'amour 208. Les films tourné sous la loi sur le cinéma 214. La guerre sino-japonaise et les films exaltant le militarisme 217. Les arts 223. La guerre du Pacifique et le rôle du cinéma 225. Les 'jidaigeki' pendant la guerre 235. Les cinéastes pendant la guerre du Pacific 244. Les films continentaux 248. Le développement des films documentaires 250. Les films d'actualités
199.CHAPITRE CINQ - Le cinéma dans les colonies japonaise 200. Le cinéma à Taiwan sous l'occupation japonaise 206. Le cinéma en Corée sous l'occupation japonaise 208. Le cinéma en Mandchourie sous l'occupation japonaise 214. Le cinéma en Indonésie sous l'occupation japonaise
009.CHAPITRE SIX - Le cinéma pendant l'occupation américaine : 1945-1949 010. La défaite 011. Le contrôle du cinéma japonais par les forces d'occupation américaines 013. La démocratie au cinéma 020. Le nouveau historique au cinéma 021. Le cinéma japonais et ses responsabilités pendant la guerre 023. La naissances des syndicats et les conflits à la TOHO 025. La SHINTOHO et la chasse aux communistes 032. La production Hachinosu [La ruche] 033. L'évolution de la démocratie
037.CHAPITRE SEPT - L'âge d'or : les années cinquante 038. La fin de l'occupation américaine et l'âge d'or 039. La reconnaissance internationnale du cinéma japonais 056. La TOHO 068. La SHINTOHO 071. La SHOCHIKU 080. La DAIEI 084. La TOEI 086. La NIKKATSU 088. Les stars
095.CHAPITRE HUIT - Les années soixante : dynamisme et nouveau cinéma 100. La Nouvelle Vague de la SHOCHIKU et les sociétés créatrices 104. Influence de la télévision et métamorphose du cinéma 105. La SHOCHIKU d'Ofuna 113. Le 'gendaigeki' à la TOHO 119. La NIKKATSU 122. DLe 'gendaigeki' à la TOEI 124. La TOEI à Tokyo 126. Les vicissitudes du film de yakuza 129. Fin de la production intensive des 'jidaigeki' 133. Les productions indépendantes 136. La Art Théâtre Guild japonaise
141.CHAPITRE NEUF - Les années soixante-dix : une période de diversification 142. La diversification du système de production 143. Pauvreté et prospérité 150. Hécatombe et survie 153. Internationalisation du cinéma japonais 155. La TOEI, ou les mauvais garçons 158. Les comédies 160. Films de guerre 165. Art Théâtre Guild 175. La série de films 'roman-porno' de la NIKKATSU 179. L'amour et la romance 187. Films pour la jeunesse 189. Le film policier 191. La division des 'jidaigeki' 194. La gauche 195. Le développement méthodique des documentaires
199.CHAPITRE DIX - La fin des studios et les nouveaux tatonnements : les années quatre-vingt 200. L'effondrement du système des studions 203. Romantisme et érotisme 208. 'Seishun eiga' (films pour les jeunes) 209. Films comiques 210. Dessins animés 212. 'Jidaigeki', le genre historique 213. Le regard des ennemis d'autrefois 219. Deuxième vague des films apocalyptiques 225. Les enfants 226. Natures et vie rurale 229. L'évolution de la pauvreté 231. L'évolution des documentaires 234. Survol du cinéma japonais des années quatre-vingt-dix
247. Conclusion
255. Dictionnaire des réalisateurs
298. Glossaire
299. Index des noms propres
315. Index des titres de films
322. Index des films cités connus sous un titre différent
Mon avis :
Grand spécialiste du cinéma nippon, le japonais Tadao Sato nous raconte 100 ans de ce cinéma. Et que dire, si ce n'est que c'est tout simplement énorme ? Certains diront encore : "oui, mais il manque encore des choses !" Il est vrai par exemple que Hideo Gosha n'y est cité qu'une fois, mais bon, on aura du mal à trouver un ouvrage consacré au cinéma japonais dans son ensemble (en français en tout cas) qui soit plus riche que celui-ci. LA référénce.
Richement illustré.
L'avis de Gnome :
Ce que je reproche le plus aux bouquins de Sato (indispensables ceci dit), c'est qu'il ne délivre finalement que peu d'info sur les réalisateurs et les films ou que cette info est dispersée... Sinon, c'est une mine concernant l'histoire du cinéma japonais et la compréhension de celle-ci (l'histoire) avec une belle mise en perspective des oeuvres...
PS : Pardon à 'angel with dirty face' qui l'avait proposé en page 2.
k-chan a écrit :"Akira Kurosawa : de l'humanisme à la "sur-humanité" ?
Je me demande bien à quoi Tessier fait allusion par "surhumanité" surtout pour parler de Kurosawa. T'en souviens-tu ? Déjà que son "apogée du héros" dans le premier livre est très critiquable.
Sinon, je confirme que le premier Tessier (Le cinéma japonais) est quand même très bien fait et instructif.
Chroniques non exhaustives de films par auteur + biographies, filmographies et extraits d'interview.
Regroupe la plupart des cinéastes "récents" (de Seijun Suzuki à Hideo Nakata).
7. Studio Ghibli (Isao Takahata et Hayao Miyazaki)
8. Kaizô Hayashi
9. Shinya Tsukamoto
10. Takeshi Kitano
11. Ryôsuke Hashiguchi
12. Takashi Miike
13. Makoto Shinozaki
14. Hirokazu Kore-eda
15. Shinji Aoyama
16. Naomi Kawase
17. Sabu
18. Hideo Nakata
19. Akihiko Shiota
20. The Other Players:
- The Man Who Stole the Sun
(Kazuhiko Hasegawa)
- Family Game (Yoshimitsu Morita)
- Fire Festival (Mitsuo Yanagimachi)
- Tampopo (Jûzô Itami)
- The Mystery of Rampo (Rintarô Mayuzumi, Kazuyoshi Okuyama)
- Gonin (Takashi Ishii)
- Love Letter (Shunji Iwai)
- MARKS (Yôichi Sai)
- Memories (Kôji Morimoto, Tensai Okamura, Katsuhiro Ôtomo)
- Organ (Kei Fujiwara)
- Shall We Dance? (Masayuki Suô)
- Kichiku (Kazuyoshi Kumakiri)
- Onibi: The Fire Within (Rokurô Mochizuki)
- Raigyo (Takahisa Zeze)
- Perfect Blue (Satoshi Kon)
- Gamera 3; Revenge of Iris (Shûsuke Kaneko)
- Gohatto (Nagisa Ôsukeshima)
- The New God (Yutaka Tsuchiya)
- Scoutman (Masato Ishioka)
- Tokyo Trash Baby (Ryûichi Hiroki)
- Uzumaki (Higuchinsky)
- Avalon (Mamoru Oshii)
- Bad Company (Tomoyuki Furumaya)
- Final Fantasy: The Spirits Within (Hironobu Sakaguchi)
- Firefly Dreams (John Williams)
- GO (Isao Yukisada)
- Kazahana (Shinji Sômai)
- A Tender Place (Shunichi Nagasaki)
- Blue Spring (Toshiaki Toyoda)
- Bokunchi; My House (Junji Sakamoto)
Intéressant pour avoir une vision un peu plus nette du cinéma japonais récent. Les chroniques de film ne concernent pas forcément les oeuvres phares de leurs auteurs (Hana-bi par exemple ne fait pas l'objet d'un développement détaillé). Quelques illustrations (en N&B) viennent quelque peu égayer l'ouvrage. Il est assez étonnant que certains réalisateurs se retrouvent dans la rubrique "Other Players", comme Shunji Iwai ou Mamoru Oshii, qui auraient selon moi mérité un développement distinct. A noter que pour chaque film chroniqué, les auteurs énumèrent les éditions vhs et dvd disponibles (toutes zones). L'ouvrage date de 2005.
Je suis un peu hors-sujet mais tant pis:tout ça pour signaler que la magnifique trilogie de Lian Hearn,"Le clan des Otori" vient de s'enrichir d'un quatrième volume,"Le vol du héron" qui vient de sortir chez Gallimard.Si vous ne connaissez pas,précipitez-vous,vous ne le regretterez pas.Par ailleurs,quelqu'un connait-il Yapou,bétail humain,dont le second volume est paru récemment en français,et qui était l'une des oeuvres préférées de Mishima?Je serais intéréssé d'avoir votre avis avant un éventuel achat.
Oui ce n'est pas le sujet, c'est dommage de venir ici en parler, il vaudrait peut-être mieux copier ton message dans un autre topic, comme celui "vos dernières lectures".
joe-ernst a écrit :Je me permets cependant de mettre l'image de la nouvelle édition (chez un autre éditeur), celle que tu signales étant épuisée
Corrigé.
Strum a écrit :Je me demande bien à quoi Tessier fait allusion par "surhumanité" surtout pour parler de Kurosawa. T'en souviens-tu ? Déjà que son "apogée du héros" dans le premier livre est très critiquable.
Moi aussi chaque fois que je vois ce titre, je trouve ça drôle.
Je te recopie un passage dans le topic Kurosawa réponse