Viens me filer des coups de pied au cul pour que je finisse le visionnage de Hard Boiled !!

Modérateurs : cinephage, Karras, Rockatansky
Sergius Karamzin a écrit :Disons que je déteste le zoom de façon générale. C'est une catastrophe à 95%, et dans 5% des cas, de bons cinéastes peuvent en faire bon usage.
C'est pour moi la même chose avec le ralenti, sauf qu'on monte à 98%. Dans 98% des cas, un seul ralenti dans un film et je vomis, le film n'est plus qu'un infâme tas de fumier. Sauf que dans 2% des cas, quand ce sont des génies qui l'utilisent, c'est magnifique.
Bonne idée : moi aussi je regarderais les prochains Woo en accéléré, la pillule sera plus facile à digérertewoz a écrit :Si tu te le passes en accéléré, cette figure de style que tu vomis disparaitra comme par magie.Sergius Karamzin a écrit :Exact Tewoz.
Viens me filer des coups de pied au cul pour que je finisse le visionnage de Hard Boiled !!![]()
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J'ai bien aimé ceux de Rules of AttractionSolal a écrit :Ca me fait penser à un autre effet éculé : celui du zoom sur un arrêt sur image.
Je suis assez d'accord, mais pas dans tout les cas. J'ai trouvé que celle à la fin de Joint Security Area est simplement nécessaire et splendide. Si tu ne l'a pas vu fait toi une idéeSolal a écrit :Le pire, c'est quand on y a droit à la dernière image du film - là ça fait vraiment grosse ficelle à pathos, truc facile pour marquer les esprits.
Yep pareil, en particulier celui où Paul Denton, recroquevillé, hurle à la mort après s'être fait jeter par un amant potentiel. On voit bien sa bouche.Vazymollo a écrit :J'ai bien aimé ceux de Rules of AttractionSolal a écrit :Ca me fait penser à un autre effet éculé : celui du zoom sur un arrêt sur image.![]()
C'est tout de même la manière dont se termine Les 400 Coups !Solal a écrit :Sergius Karamzin a écrit :
Ca me fait penser à un autre effet éculé : celui du zoom sur un arrêt sur image. Ca aussi, c'est très connoté : typique quand on veut nourrir une mythologie du personnage (plus solitaire que jamais) et ça a un goût de fin tragique aussi (le mouvement doublement figé). Souvent réservé aux personnages ayant existé (le grain de la photo devient énorme, ça fait comme si on utilisait des archives...). Le pire, c'est quand on y a droit à la dernière image du film - là ça fait vraiment grosse ficelle à pathos, truc facile pour marquer les esprits.
Oui, je me faisais la même réflexion. Le ralenti est sans doute une figure de style encore plus laide que le zoom, tout compte fait.Sergius Karamzin a écrit :C'est pour moi la même chose avec le ralenti, sauf qu'on monte à 98%. Dans 98% des cas, un seul ralenti dans un film et je vomis, le film n'est plus qu'un infâme tas de fumier. Sauf que dans 2% des cas, quand ce sont des génies qui l'utilisent, c'est magnifique.
Avec ton avatar et ta signature, tu devrais trouver. Deux femmes dans une salle de concert, qui finissent par découvrir une boîte bleue, elles rentrent chez elles, l'une d'elles ouvre la boîte, gros plan sur l'intérieur noir, zoom rapide dans cette boîte ( tout est noir pendant un instant ) ..... et hop, la boîte retombe.Memento a écrit :De quel film tu parles ?harry callahan a écrit :Le zoom dans la boîte bleue dans Mulholland Drive. Simple et d'une efficacité redoutable.
Voui voui, je vois mieux maintenant.harry callahan a écrit :Avec ton avatar et ta signature, tu devrais trouver. Deux femmes dans une salle de concert, qui finissent par découvrir une boîte bleue, elles rentrent chez elles, l'une d'elles ouvre la boîte, gros plan sur l'intérieur noir, zoom rapide dans cette boîte ( tout est noir pendant un instant ) ..... et hop, la boîte retombe.Memento a écrit :
De quel film tu parles ?