Colqhoun a écrit :Mais vous êtes tous des tappettes ma parole.
V'là c'que ça m'inspire, tiens:
Merci Carlito!
Nan moi c'est Colqhoun. Cooool-qhoun (mais ça se prononce col-houne).
Sinon elles sont jolies les images de ces gens dans l'herbe. C'est une garden-party à la montagne ?
EDIT: pour faire sérieux, j'avais déjà exprimé mon avis sur ce film en expliquant combien il m'avait retourné la première fois que je l'avais découvert. Mais l'expérience est bien trop puissante, trop renversante pour que je le revois d'ici peu. A dire vrai, je ne pense pas le revoir avant 3-4 ans.
"I said no food. I didn't say there was nothing to eat."
Max Schreck a écrit :Sinon, ça fait plaisir d'entendre dire du bien de Hans Zimmer.
Je ne suis, de loin, pas le premier à le faire habituellement......... et j'avoue que je n'ai toujours pas compris quelle grâce a pu toucher Zimmer sur ce film mais le fait est que son score est juste un chef-d'oeuvre, en total accord avec le film. Point barre.
Forgive me.
l just got too lonely, Jack.
We'll meet again some day.
People who have been as close as we've been
always meet again.
l have no right to speak to you this way.
l can’t stop myself.
A habit so strong.
Oh, my friend of all those shining years.
Help me leave you!
Jack Sullivan a écrit :Une petite merveille de grâce et de nostalgie, qui me brise le coeur à chaque visionnage (faut savoir où ça se situe dans le film pour comprendre):
Cette scène fait écho aux premières scènes où nous voyons Witt dans le film: il est intégré à la vie des indigènes, il nage avec les enfants... et puis on vient le récupérer, lui rappeler qu'il était une sentinelle, qu'il est toujours un militaire et que son pays est en guerre.
Il ne choisit pas, à proprement parler, de mourir. Mais en acceptant la mission de reconnaissance et en tombant sur une patrouille ennemie il comprend que la seule manière de sauver sa propre troupe est de servir d'appât, et d'attirer les autres loin de la rivière.. ce qui lui coûte la vie, mais ce n'est pas un but, juste l'évidence d'une chose juste à faire.
Cette scène fait écho aux premières scènes où nous voyons Witt dans le film: il est intégré à la vie des indigènes, il nage avec les enfants... et puis on vient le récupérer, lui rappeler qu'il était une sentinelle, qu'il est toujours un militaire et que son pays est en guerre.
Il ne choisit pas, à proprement parler, de mourir. Mais en acceptant la mission de reconnaissance et en tombant sur une patrouille ennemie il comprend que la seule manière de sauver sa propre troupe est de servir d'appât, et d'attirer les autres loin de la rivière.. ce qui lui coûte la vie, mais ce n'est pas un but, juste l'évidence d'une chose juste à faire.
Tu ne penses pas qu'il choisit de mourir en relevant son fusil alors que le soldat lui hurle sans doute de lacher son arme ? il préfère la mort qu'être prisonnier ?