C'est du Wagner à ce moment-là !Pollux a écrit :La séquence cache-cache entre Rebecca et son fils plus la voix-off de Christian Bale qui annonce [quelque chose] + la musique de James Horner = des frissons plein le dos..


Modérateurs : cinephage, Karras, Rockatansky
C'est du Wagner à ce moment-là !Pollux a écrit :La séquence cache-cache entre Rebecca et son fils plus la voix-off de Christian Bale qui annonce [quelque chose] + la musique de James Horner = des frissons plein le dos..
Professeur Sato a écrit :Bon, j'ai aussi été passablement été aidé par mon voisin de gauche qui s'ennuyait comme un rat mort et qui ne pouvait s'empêcher de sortir son natel toutes les cinq minutes pour regarder l'heure.
Je sign ed es 2 mains. Dans mes bras, frérot!Memento a écrit :Q'orianka Kilcher est d'une beauté à couper le souffle
La photographie de Lubezki est sublime
La mise en scène de Malick est magistrale
L'utilisation de la musique (notamment le Concerto pour piano n°23 de Mozart) et son harmonie parfaite avec l'image nous réserve quelques moments de grâce uniques, devenus trop rares au cinéma.
J'ai quelques réserves mineures pour le reste (quelques moments creux, traitement du scénario, des ellipses un peu sèches), mais elles ne pèsent pas lourd face à l'atout majeur du film : sa beauté plastique exceptionnelle, qui fait que chaque oeuvre du cinéaste est une expérience artistique unique, un retour aux sources du cinéma, à sa simplicité originelle : image, fusion, émotion.
Je ne demande rien d'autre. "Simplement" ça. Mais cette simplicité là n'est justement accessible qu'aux plus grands maîtres.
Merci Monsieur Malick.
Ouf je suis un âne a écrit :Je sign ed es 2 mains. Dans mes bras, frérot!Memento a écrit :Q'orianka Kilcher est d'une beauté à couper le souffle
La photographie de Lubezki est sublime
La mise en scène de Malick est magistrale
L'utilisation de la musique (notamment le Concerto pour piano n°23 de Mozart) et son harmonie parfaite avec l'image nous réserve quelques moments de grâce uniques, devenus trop rares au cinéma.
J'ai quelques réserves mineures pour le reste (quelques moments creux, traitement du scénario, des ellipses un peu sèches), mais elles ne pèsent pas lourd face à l'atout majeur du film : sa beauté plastique exceptionnelle, qui fait que chaque oeuvre du cinéaste est une expérience artistique unique, un retour aux sources du cinéma, à sa simplicité originelle : image, fusion, émotion.
Je ne demande rien d'autre. "Simplement" ça. Mais cette simplicité là n'est justement accessible qu'aux plus grands maîtres.
Merci Monsieur Malick.
Merci Memento, tu m'épargnes l'épreuve insurmontable que représente pour moi la rédaction d'un quelconque avis sur ce film. Car j'en suis ressorti tout retourné, comme rarement ça m'est arrivé : les jambes cotonneuses, la bouche sèche, l'esprit totalement ailleurs...je crois que ça ne m'était pas arrivé depuis Lost in Translation, en fait.Memento a écrit :Q'orianka Kilcher est d'une beauté à couper le souffle
La photographie de Lubezki est sublime
La mise en scène de Malick est magistrale
L'utilisation de la musique (notamment le Concerto pour piano n°23 de Mozart) et son harmonie parfaite avec l'image nous réserve quelques moments de grâce uniques, devenus trop rares au cinéma.
J'ai quelques réserves mineures pour le reste (quelques moments creux, traitement du scénario, des ellipses un peu sèches), mais elles ne pèsent pas lourd face à l'atout majeur du film : sa beauté plastique exceptionnelle, qui fait que chaque oeuvre du cinéaste est une expérience artistique unique, un retour aux sources du cinéma, à sa simplicité originelle : image, fusion, émotion.
Je ne demande rien d'autre. "Simplement" ça. Mais cette simplicité là n'est justement accessible qu'aux plus grands maîtres.
Merci Monsieur Malick.