

Modérateurs : cinephage, Karras, Rockatansky
Si on peut se contenter de sous-titres anglais, direction Anchor Bay, dans le cas contraire Wild Side.Nancy Allen a écrit :j'ajoute aussi que ce serait pas mal de voir PROFONDO ROSSO de argento, mais faut demander à Swan dans quelle édition parce que je sais plus
Mec, tu es bon pour te refaire l'intégrale d'Hitchcock une seconde fois...someone1600 a écrit :longues avec surtout ces quelques 8 minutes a voir Angie Dickinson faire le tour du musée.
boulgakov a écrit :Mec, tu es bon pour te refaire l'intégrale d'Hitchcock une seconde fois...someone1600 a écrit :longues avec surtout ces quelques 8 minutes a voir Angie Dickinson faire le tour du musée.
C'est clairboulgakov a écrit :Mec, tu es bon pour te refaire l'intégrale d'Hitchcock une seconde fois...someone1600 a écrit :longues avec surtout ces quelques 8 minutes a voir Angie Dickinson faire le tour du musée.
Ces minutes-là sont pour moi l'un des plus beaux moments du cinéma de De Palma !!!someone1600 a écrit : Regarder Pulsions hier soir... bien apprécié, mais j'ai bien eu peur au depart, parce que les premieres 20 min, sont longues, mais longues avec surtout ces quelques 8 minutes a voir Angie Dickinson faire le tour du musée.
Je ne pense pas qu'Antonioni soit une référence significative de De Palma pour Pulsions, tant le cinéma de De Palma est différent de celui du cinéaste italien. De même, autant dans Pulsions ou d'autres films, De Palma rend hommage à Hitchcock de multiples manières, formellement comme thématiquement, autant dans Blow Out, De Palma, passé la reprise de l'argument initial d'un meurtre capté par inadvertance (via une photographie dans Blow Out comme dans Les Fils de la Vierge de Cortazar ou une prise de son chez De Palma), prend le contrepied de tout ce que fait Antonioni dans Blow Out. Antonioni filme dans Blow Up la langueur, la passivité, l'absence de sens dans le monde, un héros passif et anthipathique, là où De Palma signe avec Blow Out un film énergique et émouvant, avec un héros actif et sympathique. Formellement, les deux films sont aussi très différents, De Palma découpant beaucoup ses séquences, comme son maitre Hitchcock, là où Antonioni a davantage recours aux longs plans-séquences.Amarcord a écrit :j'étais fasciné de voir comment De Palma, dans cette séquence, fait parfaitement le lien entre la grande leçon de son maître Hitchcock (les moments sans dialogues sont ceux où le suspense est le plus fort) et l'audace plastique formelle d'un Antonioni (chez qui c'est quand rien ne se passe que tout se passe...) qui le conduiront logiquement, dans le film suivant, à un (excellent) remake pur et simple du chef-d'oeuvre d'Antonioni (Blow Up), devenu chez De Palma Blow Out.