Commentaires à propos de votre film du mois

[Jack Carter]

[Flol]

J'ai le Blu-ray Criterion qui m'attend encore tout cellophané sur l'étagère

C'est du Criterion US ou UK ?
(je sens que la réponse va pas me plaire)

Je l'avais acheté suite à un épisode de l'excellent Pifffcast, le podcast du festival PIFFF.

Tu n'en avais jamais entendu parler avant ?

[Spongebob]

Si si c'est possible mais c'est le PIFFFcast qui m'a finalement convaincu. Et je crois qu'à l'époque il y avait une promo sur le BR Criterion UK dont j'ai profité.

[Flol]

Et je vois que c'est bien un Criterion UK.
Je vais ENFIN pouvoir remplacer mon vieux dvd tout fatigué.

[Arn]

Ce sera compliqué face au Comencini et au Lumet, mais Sept jours en mai de John Frankenheimer (1964) viendra se placer assez haut ce mois-ci. Assez passionnant à voir après le Lumet, deux forts témoignages de leur époque, deux beaux appels à la paix et à la démocratie, sous la forme de thrillers politico-militaire bien tendu et superbement mise en scène (et interprété). Je trouve que le sous texte du Lumet imprègne encore mieux et tout du long son film, là ou Frankenheimer c'est plus ciblé sur certains scènes et monologues. Et plus simplement l'impact du Lumet est quasi sans égale dans ce que j'ai vu.

[Rick Blaine]

As-tu vu Un crime dans la tête et Seconds également ? Les trois donnent une vision intéressante de l'Amérique de cette époque.

[Arn]

Non pas encore mais assez hâte en effet D'autant plus qu'il me semble avoir lu qu'en terme de mise en scène Sept jours en met est le plus "sage" des trois non ?

[Rick Blaine]

Oui, les autres ont des audaces visuelles que celui-ci n'a pas, Sept jours en mai se concentre plus sur le rythme, naturellement vu le sujet traité.

[Père Jules]

Alors que Shimizu et son magnifique Les enfants de la ruche semblaient partis pour être sacrés ce mois-ci, voilà que Naruse débarque avec le non moins bouleversant A l'approche de l'automne. Mois nippon !

[John Holden]

Toi tu sais faire envie !

[John Holden]

Ce ne sera pas mon film du mois malgré un charme fou par séquences, surtout lorsque Elsa Martinelli apparaît.
De l'amour - Jean Aurel (1964)

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[Alexandre Angel]

THE EXORCIST III, (William Peter Blatty) 7,5/10
A noter un des plus beaux jumpscare jamais fait.

Je te conseille celui de La Fille de nulle part, de Brisseau.

[Major Tom]

Je croyais que c'était plié ce mois-ci avec The Wicker Man.
Et puis je croyais que c'était plié avec The Nest.
Mais cette nuit, ne trouvant pas le sommeil, j'ai eu la bonne idée de regarder Threads. J'ai perdu le sommeil jusqu'en 2045, mais ça valait le coup.

[Jack Carter]

Faut enchainer avec La Bombe et When the wind blows !

parfait trio en cette periode de confinement

et tu termines par la mini-serie Chernobyl...

[G.T.O]

Quant à moi, autre candidat possible, avec le merveilleusement sensible Smooth Talk, avec la très jeune et talentueuse Laura Dern dans son premier rôle, alors âgée de 18 ans. D'après Joyce Carol Oates, un coming of age sensuel, délicatement rêveur, entre Kazan et Un été en Louisiane de Robert Mulligan. Belle découverte et film potentiellment Flol-jizz in my nice pants-compatible...

THE EXORCIST III, (William Peter Blatty) 7,5/10
A noter un des plus beaux jumpscare jamais fait.

Je te conseille celui de La Fille de nulle part, de Brisseau.

Je ne connais pas. J'irai voir même si j'ai quelque doute sur la véracité de l'assertion...