Un moment d'égarement sans doute, j'ai remplacé par MDR !!Flol a écrit :53 ans et ça dit encore "lol".
Bravo la vieillesse.
Les interdictions : censure et cinéma...
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Re: Les interdictions : censure et cinéma...
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Re: Les interdictions : censure et cinéma...
Autre type de derapage: les BA avant le film.
J'avais tané ma mere pour qu'elle m'emene voir Frankenstein Junior à sa sortie. Je devais 12 ans et mon jeund frere 10. L'abruti du cinema a trouvé moyen de passer la BA de La nuit des morts vivants, devant un public de banbins. Je vous dit pas l'effet....
Quand le film a commencé il y avait un silence de mort dans la salle et personne n'a rigolé au premier gag du film, la vision d'un cadavre gogenard de memoire...
Un type a alors craqué et clamé a haute voix qu'on etait la pour rigoler et la tension est retombée.
Je suis souvent stupefait du peu d'attention preter aux choix des BA pour certains films type blockbuster us (de star war a xmen ou LOTR) alors que la moitie des spectateurs ont moins de 10/12 ans.
J'avais tané ma mere pour qu'elle m'emene voir Frankenstein Junior à sa sortie. Je devais 12 ans et mon jeund frere 10. L'abruti du cinema a trouvé moyen de passer la BA de La nuit des morts vivants, devant un public de banbins. Je vous dit pas l'effet....
Quand le film a commencé il y avait un silence de mort dans la salle et personne n'a rigolé au premier gag du film, la vision d'un cadavre gogenard de memoire...
Un type a alors craqué et clamé a haute voix qu'on etait la pour rigoler et la tension est retombée.
Je suis souvent stupefait du peu d'attention preter aux choix des BA pour certains films type blockbuster us (de star war a xmen ou LOTR) alors que la moitie des spectateurs ont moins de 10/12 ans.
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Re: Les interdictions : censure et cinéma...
Cas assez rare car généralement les BA de films d'horreur sont diffusées à l'occasion de la projection d'un film du même genre. M'enfin bon là ils ont associé la créature au cinéma horrifique en faisant fi du caractère parodique du film. Mais j'imagine en effet la réaction des bambins. ^^
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Re: Les interdictions : censure et cinéma...
J'adore cette anecdote. Nous sommes allés en famille voir Frankenstein Junior à sa sortie en août 1975. J'avais 9 ans et je me souviens avoir eu un peu peur au début. Puis, j'ai du être celui qui riait le plus dans la salle! Mais à la même époque, ma grande sœur me parlait de La Nuit des Morts-vivants qu'elle avait vu lors d'une ressortie récente qui devait être fameuse (à tel point que j'ai longtemps cru que le film datait de 1974). Récit qui aura terriblement marqué mon imagination. A 53 ans, je rêve encore parfois de morts-vivants mais je sais que ça vient de l'idée que je m'en faisais à la suite de ce que ma sœur en disait alors que les films sont venus bien après.The Eye Of Doom a écrit :J'avais tané ma mere pour qu'elle m'emene voir Frankenstein Junior à sa sortie. Je devais 12 ans et mon jeund frere 10. L'abruti du cinema a trouvé moyen de passer la BA de La nuit des morts vivants, devant un public de banbins. Je vous dit pas l'effet....
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.
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Re: Les interdictions : censure et cinéma...
Ça arrive souvent chez moi ça...
J'emmène mes enfants voir Solo et on tombe sur la bande annonce de d'un American Nightmare. Pas le gros gros film d'horreur mais quand même. J'ai pu que leur dire de détourner le regard.
J'ai aussi eu la bande annonce de Simetierre à deux reprises. Je ne me souviens pas quels films on allait voir mais à priori c'était du "tout public", si j'y allais avec mon fils.
J'emmène mes enfants voir Solo et on tombe sur la bande annonce de d'un American Nightmare. Pas le gros gros film d'horreur mais quand même. J'ai pu que leur dire de détourner le regard.
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Re: Les interdictions : censure et cinéma...
reuno a écrit :Ça arrive souvent chez moi ça...
J'emmène mes enfants voir Solo et on tombe sur
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Re: Les interdictions : censure et cinéma...
Mea culpa... c'était bien Salo qu'on était allé voir !
Quel scandale quand même !
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Re: Les interdictions : censure et cinéma...
Ah oui j'avais engueulé un responsable de ciné l'année dernière : avant une projection en avant-première d'Astérix, le secret de la potion magique, séance familiale du dimanche après-midi avec mes deux enfants (5 & 3 ans alors), il y avait eu la bande annonce de la série "Les rivières pourpres". Ma fille, dont c'était la première séance ciné, a été marquée, même si j'ai caché ses yeux assez vite.The Eye Of Doom a écrit :Autre type de derapage: les BA avant le film.
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Re: Les interdictions : censure et cinéma...
Une vidéo super intéressante, et accessible aux néophytes en ciné indien, sur la censure et la propagande à Bollywood.
Alors que la censure est un peu moins stricte qu'avant sur les scène d'amour et par exemple les baisers, la politisation à des fins nationalistes et religieux des films devient la norme, et beaucoup de films critique envers les superstitions, ou la situation au Cachemire, par exemple, ne pourraient sans doute plus sortir aujourd'hui, alors que c'était encore possible au début des années 2010.
Alors que la censure est un peu moins stricte qu'avant sur les scène d'amour et par exemple les baisers, la politisation à des fins nationalistes et religieux des films devient la norme, et beaucoup de films critique envers les superstitions, ou la situation au Cachemire, par exemple, ne pourraient sans doute plus sortir aujourd'hui, alors que c'était encore possible au début des années 2010.
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Re: Les interdictions : censure et cinéma...
Intéressant. Je n’avais jamais entendu parlé de cette suite sacrifiée de A l’Ouest rien de nouveau. Le livre mérite d’etre redécouvert, semble-t-il. J’imagine que c’est un peu dans l’esprit de Trois camarades de Borzage, autre film assez flou sur le sujet d’ailleurs.Sledge Hammer a écrit : ↑3 déc. 21, 17:32
On a concrètement rendu les Juifs invisibles dans le cinéma hollywoodien entre 1934 et 1941. Quand le nazisme est arrivé au pouvoir en Allemagne, des gens comme Goebbels ont très vite compris qu'ils pouvaient faire pression sur les studios, très fragiles du fait de la Grande Dépression, alors que l'Allemagne constituait le principal marché à l'export du cinéma américain. Donc, il y a eu des séries de demandes transmises par le consulat d'Allemagne à Los Angeles, qui a plus ou moins obtenu de pouvoir lire les scénarios avant tournage. Il ne fallait pas montrer l'Allemagne sous un jour négatif dans un film, il ne fallait pas que la judéité d'un personnage soit affirmée, etc. Et c'était l'ensemble de la production du studio qui pouvait sinon du jour au lendemain se faire interdire dans le pays. Il y a eu en tout cas l'affaire "Après", l'adaptation par James Whale du roman de Erich Maria Remarque qui faisait "suite" à À l'ouest, rien de nouveau. La famille Laemmle, qui avait laissé Whale bénéficier d'une réelle indépendance artistique, n'était déjà plus aux commandes d'Universal, les nouveaux patrons ont laissé le film être complètement remanié et ont fait retirer tous les passages où l'on montrait les réalités de l'après-guerre qui avaient favorisé la violence et la montée du nazisme. Sinon, Universal perdait sa licence en Allemagne.
Tous les studios, fondés pourtant presque tous par des Juifs, se sont exécutés, pour des raisons financières, souvent la mort dans l'âme, ou bien parce que leurs employés juifs dans la filiale allemande étaient particulièrement exposés.
Et, alors que dans le cinéma des années 20 ou du début des années 30, il y avait des films se déroulant dans la communauté juive (Le Chanteur de jazz) ou mentionnant qu'untel ou untel était juif, toutes les références ont disparu.
Le seul studio à être actif dans cette histoire (avant 1939, et surtout 1941), ça a été Warner, et même si les frères ont tenu des positions très fortes contre le nazisme, il y a aussi eu le fait qu'ils étaient apparemment déjà interdits de distribution dès 36 ou 37 avant qu'ils soient vraiment engagés contre la situation en Allemagne nazie. Mais même dans une production Warner comme La Vie d'Émile Zola, sortie en 1937, Jack Warner a fait retirer toute mention de la judéité d'Alfred Dreyfus. En partie parce qu'il n'avait pas envie que le film fasse trop polémique en France.
Et en partie parce qu'il y avait un problème de fond qui existait avant l'arrivée au pouvoir de Hitler. Dans les années 20, il y a eu toutes ces campagnes pour dénoncer la dépravation des mœurs à Hollywood. On parlait dans les journaux du dernier scandale impliquant Fatty Arbuckle ou Clara Bow, pour ensuite faire allusion au contenu des films produits par les studios. Produits par des gens aux mœurs dissolues, trop sensuels, trop immoraux, opposés aux vraies valeurs morales américaines. C'étaient surtout des associations catholiques qui étaient impliquées dans cette cause et, même si les Juifs n'étaient généralement pas nommément visés, ils étaient clairement la cible des pétitions et des manifs. On critiquait le trop de pouvoir qu'ils avaient sur la culture populaire américaine.
C'est évidemment à rapprocher de la montée en puissance de l'antisémitisme après le début de la Grande Dépression. Il existait déjà bien avant, avec par exemple l'apport d'Henry Ford pour diffuser de la propagande, mais après 29, entre les propos de Charles Lindbergh ou les sermons radio très écoutés du père Charles Coughlin, ça ne sentait pas très bon. D'où le fait que les banques (protestantes) ont fini par accéder aux requêtes des associations cathos et à imposer le Code de production (dit Code Hays) aux studios. Et les studios savaient précisément pourquoi on voulait les garder sous la bride. Hays était un modéré qui apportait son prestige d'ancien sénateur, mais son adjoint, Joseph Breen, qui s'occupait de l'application du Code au quotidien, était ouvertement antisémite.
Ça a ensuite été très long pour que l'on décide de remettre des noms à consonance juive ou des personnages qui se trouvaient être juifs dans les films américains, même après guerre, même s'il y avait pas mal de réalisateurs et de scénaristes juifs.
Donc, contrairement à ce que tu penses, il y a eu clairement des phases, même à Hollywood, où les Juifs eux-mêmes ont eu le sentiment qu'ils étaient sur la sellette, et ont cherché à se faire tout petit. Ils n'ont jamais non plus été tout puissants, ils étaient, comme tout le monde, soumis à des pressions financières et parfois à une opinion publique hostile. Le maccarthysme 20 ans plus tard avait lui-même un fond d'antisémitisme difficile à nier.
Et si ça te semble exagéré, je pense que tu peux trouver dans l'actualité récente des exemples de studios qui renoncent à fâcher un pays très sourcilleux sur sa représentation à l'écran et très important pour le box office. Ou bien des rumeurs selon lesquelles de gros bonnets à Hollywood (pas tous juifs, certes...) seraient à la tête de réseaux pédophiles. La version à la mode aujourd'hui est qu'ils sacrifieraient même des gamins après leur avoir fait particulièrement peur pour s'assurer que les glandes surrénales qu'ils extraient de leurs corps encore vivants contiennent suffisamment d'adrénochrome, censée être un stupéfiant hyper puissant. Bon, là, on rentre dans le territoire QAnon, mais si on a une fraction réelle de la population américaine qui croit à de telles conneries, et s'il y a désormais des élus à la Chambre des représentants qui les mettent en avant, c'est qu'on a un fond de résurgence du vieux délire médiéval sur les Juifs sacrifiant des enfants chrétiens pour prélever leur sang.
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Re: Les interdictions : censure et cinéma...
Normalement, les cinémas sont censés ne passer des bandes-annonces que de films ayant la même classification que le métrage qu'elles précèdent. Mais la classification n'est pas toujours établie avant...-Kaonashi Yupa- a écrit : ↑7 nov. 19, 15:05Ah oui j'avais engueulé un responsable de ciné l'année dernière : avant une projection en avant-première d'Astérix, le secret de la potion magique, séance familiale du dimanche après-midi avec mes deux enfants (5 & 3 ans alors), il y avait eu la bande annonce de la série "Les rivières pourpres". Ma fille, dont c'était la première séance ciné, a été marquée, même si j'ai caché ses yeux assez vite.The Eye Of Doom a écrit :Autre type de derapage: les BA avant le film.
Bref, quelques bons souvenirs d'enfance quand même avec la bande-annonce du bien trash "Amityville II" (interdit aux moins de 18 ans dans sa version complète !) devant une salle des champs-élysées blindée de gamin un jour de noël, avant "ET" en 1982 (j'avais huit ans !)...
Et la bande-annonce de "Rue Barbare" (interdit aux moins de 13 ans) avant "un bon petit Diable" de Brialy un an après !
On savait vivre dans les années 80 !
Heureusement, je les ai vus depuis...
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Re: Les interdictions : censure et cinéma...
A 10 ans, j’avais eu droit juste avant Over the top avec Stallone aux bandes-annonces de deux films de Stuart Gordon, From beyond et Les Poupées. Certes ces films n’étaient interdits qu’aux moins de 12 ans mais j’ai le souvenir d’une BA bien dégueue pour From beyond.
Séance bien particulière pour moi d’ailleurs, car c’est la dernière fois que je suis allé au cinéma avec mes parents (ma sœur a pris le relais avant que je sois totalement autonome) qui se sont contentés ensuite des films diffusés sur Canal, leur séance suivante étant Titanic 11 ans plus tard.
Séance bien particulière pour moi d’ailleurs, car c’est la dernière fois que je suis allé au cinéma avec mes parents (ma sœur a pris le relais avant que je sois totalement autonome) qui se sont contentés ensuite des films diffusés sur Canal, leur séance suivante étant Titanic 11 ans plus tard.
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Re: Les interdictions : censure et cinéma...
Quand j'étais gamin, j'étais tombé sur Temps X, où pour une raison inconnue, ils avaient passé une scène particulièrement épouvantable, avec une infirmière qui décidait de faire la sieste dans une salle de repos de l'hôpital, pendant qu'un inconnu, installé dans une position surplombante répandait du miel sur son visage par un tuyau puis laissait des sauterelles descendre, ce qui fait que les sauterelles lui dévoraient le visage (l'inconnu avait dû lui faire prendre préalablement un somnifère) pour laisser progressivement le crâne affleurer. Ils avaient passé sans le moindre avertissement, un samedi après-midi, une des scènes les plus sadiques de L'Abominable docteur Phibes.
D'après une recherche Google, je ne suis apparemment pas le seul à avoir été pris par surprise par cet extrait.
D'après une recherche Google, je ne suis apparemment pas le seul à avoir été pris par surprise par cet extrait.
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Re: Les interdictions : censure et cinéma...
J'ai découvert la scène de transformation du Loup-Garou de Londres dans Dimanche Martin.Sledge Hammer a écrit : ↑4 déc. 21, 01:07 Quand j'étais gamin, j'étais tombé sur Temps X, où pour une raison inconnue, ils avaient passé une scène particulièrement épouvantable, avec une infirmière qui décidait de faire la sieste dans une salle de repos de l'hôpital, pendant qu'un inconnu, installé dans une position surplombante répandait du miel sur son visage par un tuyau puis laissait des sauterelles descendre, ce qui fait que les sauterelles lui dévoraient le visage (l'inconnu avait dû lui faire prendre préalablement un somnifère) pour laisser progressivement le crâne affleurer. Ils avaient passé sans le moindre avertissement, un samedi après-midi, une des scènes les plus sadiques de L'Abominable docteur Phibes.
D'après une recherche Google, je ne suis apparemment pas le seul à avoir été pris par surprise par cet extrait.
J'avoue que ça m'a un poil traumatisé.
Meilleur topic de l'univers
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Re: Les interdictions : censure et cinéma...
Heureusement pour toi, tu n'es pas tombé sur le clip de Thriller (un "film d'humour") en prime time chez Michel Drucker en 1983.AtCloseRange a écrit : ↑4 déc. 21, 01:17 J'ai découvert la scène de transformation du Loup-Garou de Londres dans Dimanche Martin.
J'avoue que ça m'a un poil traumatisé.
Aucune idée du niveau d'interdiction ou de l'avertissement éventuel (à part Drucker qui prévient les personnes sensibles de fermer les yeux).
Michel Drucker présente "un film d'humour"
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