Vas-y les yeux fermés, si je puis dire...Pat Wheeler a écrit :Oui j'ai oublié de le citer celui-là. Bien que j'aie un peu peur d'être déçu comparé à la puissante version de 1921 signée Rex Ingram.Frances a écrit :
Auxquels tu devrais ajouter "Les quatre cavaliers de l'apocalypse"
Vincente Minnelli (1903-1986)
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Re: Vincente Minnelli (1903-1986)
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Re: Vincente Minnelli (1903-1986)
PareilLenny a écrit :Vas-y les yeux fermés, si je puis dire...Pat Wheeler a écrit : Oui j'ai oublié de le citer celui-là. Bien que j'aie un peu peur d'être déçu comparé à la puissante version de 1921 signée Rex Ingram.
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Re: Vincente Minnelli (1903-1986)
Excellent! De la lecture pour ce week-end, avec une envie de revoir des films au bout...Jeremy Fox a écrit :Portrait du cinéaste à travers ses films
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Re: Vincente Minnelli (1903-1986)
Whaoh ! C'est copieux ! Je le mets de côté pour le week end comme allen john
J'ai aperçu des photos de "La roulotte du plaisir" j'étais tombée sur ce film par hasard un soir à la télé sans savoir qu'il était de Minnelli. J'en garde un excellent souvenir.
J'ai aperçu des photos de "La roulotte du plaisir" j'étais tombée sur ce film par hasard un soir à la télé sans savoir qu'il était de Minnelli. J'en garde un excellent souvenir.
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Re: Vincente Minnelli (1903-1986)
Absolument !allen john a écrit :Excellent! De la lecture pour ce week-end, avec une envie de revoir des films au bout...Jeremy Fox a écrit :Portrait du cinéaste à travers ses films
Très intéressants tous ces portraits de réalisateurs qui "fleurissent" sur le site depuis quelques semaines
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Re: Vincente Minnelli (1903-1986)
Tommy Udo a écrit : Très intéressants tous ces portraits de réalisateurs qui "fleurissent" sur le site depuis quelques semaines
Je suis d'accord, c'est vraiment excellent ces portraits, un bon moyen de découvrir un cinéaste de manière globale, très interessants.
Je profiterai du week end pour lire celui ci.
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Re: Vincente Minnelli (1903-1986)
Passionnant ! Comme les copains je le savourerai ce week-end
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Re: Vincente Minnelli (1903-1986)
Formidable !
C'est en effet une bonne idée, aussi pour les personnes qui ne fréquentent pas forcément le forum d'établir des portraits filmographiques complets, visibles sur le site.
Entre Borzage et Minnelli, il y a de quoi butiner tout le printemps.
C'est en effet une bonne idée, aussi pour les personnes qui ne fréquentent pas forcément le forum d'établir des portraits filmographiques complets, visibles sur le site.
Entre Borzage et Minnelli, il y a de quoi butiner tout le printemps.
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Re: Vincente Minnelli (1903-1986)
Oui, quel superbe boulot (de titan) !
Un tout p'tit bémol perso sur le dernier texte, concernant Ziegfeld Follies : c'est vrai que l'ensemble est inégal et que certains sketches sont lourdingues... mais tant pis si c'est honteux, celui avec Red Skelton en poivrot me fait rire tant il en fait des caisses (on pourrait parler de containers). Dans le genre "no limit", faut le voir au moins une fois à titre d'étalon.
A faire passer les pires pitreries de Jerry Lewis pour du Maurice Garrel récitant une homélie funèbre.
Et il a droit à toute ma sympathie pour ce qu'il dit sur Gloria Grahame dans le sublime Les ensorcelés.
Pour La femme modèle, je pense que la ressemblance avec La femme de l'année n'est pas vague du tout (cf entre autre le personnage du boxeur bas de plafond) et si le film de Stevens était effectivement plus dramatique, il finit malgré tout en pure comédie avec une séquence burlesque d'anthologie (Hepburn tentant de préparer le p'tit déj'). Ceci dit, des deux, je préfère le duo Peck/Bacall.
Minnelli, quel géant ! Je connais peu de cinéastes dont la simple vision d'une photo de film peut me coller la chair de poule comme ici avec celle de Comme un torrent...
Un tout p'tit bémol perso sur le dernier texte, concernant Ziegfeld Follies : c'est vrai que l'ensemble est inégal et que certains sketches sont lourdingues... mais tant pis si c'est honteux, celui avec Red Skelton en poivrot me fait rire tant il en fait des caisses (on pourrait parler de containers). Dans le genre "no limit", faut le voir au moins une fois à titre d'étalon.
A faire passer les pires pitreries de Jerry Lewis pour du Maurice Garrel récitant une homélie funèbre.
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Et il a droit à toute ma sympathie pour ce qu'il dit sur Gloria Grahame dans le sublime Les ensorcelés.
Pour La femme modèle, je pense que la ressemblance avec La femme de l'année n'est pas vague du tout (cf entre autre le personnage du boxeur bas de plafond) et si le film de Stevens était effectivement plus dramatique, il finit malgré tout en pure comédie avec une séquence burlesque d'anthologie (Hepburn tentant de préparer le p'tit déj'). Ceci dit, des deux, je préfère le duo Peck/Bacall.
Minnelli, quel géant ! Je connais peu de cinéastes dont la simple vision d'une photo de film peut me coller la chair de poule comme ici avec celle de Comme un torrent...
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Re: Vincente Minnelli (1903-1986)
Federico a écrit : Et il a droit à toute ma sympathie pour ce qu'il dit sur Gloria Grahame dans le sublime Les ensorcelés.
J'aurais aimé faire pareil pour Delmer Daves mais il y a encore tellement de ses films difficile à voir
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Re: Vincente Minnelli (1903-1986)
Pas tant que çà quand même si ?Jeremy Fox a écrit :Federico a écrit : Et il a droit à toute ma sympathie pour ce qu'il dit sur Gloria Grahame dans le sublime Les ensorcelés.
J'aurais aimé faire pareil pour Delmer Daves mais il y a encore tellement de ses films difficile à voir
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Re: Vincente Minnelli (1903-1986)
daniel gregg a écrit :Pas tant que çà quand même si ?Jeremy Fox a écrit :
J'aurais aimé faire pareil pour Delmer Daves mais il y a encore tellement de ses films difficile à voir
Oui exact après avoir été jeter un oeil sur sa filmo ; mais il m'en manquerait néanmoins 6 ou 7
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Re: Vincente Minnelli (1903-1986)
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Re: Vincente Minnelli (1903-1986)
A l'occasion de la sortie du film chez Wild Side, Justin Kwedi a chroniqué 15 jours ailleurs