James Cagney (1899-1986)
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James Cagney (1899-1986)
Acteur américain (1899-1986)
Petit par la taille (1,65m) James Cagney sut imposer un jeu énergique et dynamique dans nombres de films noir.
Au moment de l'âge d'or du film de gangsters, Cagney se battait sans cesse contre Edward G Robinson ou Humphrey Bogart...
Cruel, cynique et, mufle (il écrasait un pamplemousse sur le visage d'une femme dans L'Ennemi Public, 1931, de William A. Wellman) son cinquième film, celui qui le propulsa en vedette de films de gangsters et le lanca dans les rôles de durs...
Il oeuvra également dans la comédie musicale Prologues (1933) et obtint un oscar pour son interprétation de George M. Cohan dans Yankee Doodle Dandy de Michael Curtiz (La Glorieuse parade, 1942).
Outre ces deux genres, on le vit dans quelques westerns, notamment, A l'ombre des potences de Nicolas Ray (1955), La loi de la prairie de Robert Wise (1956).
En 57, James Cagney a réalisé lui-même un film : Short cut to Hell (A deux pas de l'enfer)
NB : Paris Première diffusera à 13.50 demain son dernier film " Ragtime " de Milos Forman.
Mon top :
1 - 1949 White Heat (L'enfer est à lui, Raoul Walsh)
2 - 1939 The Roaring Twenties (Les fantastiques années 20, Raoul Walsh)
3 - 1931 The Public Enemy (L'Ennemi Public, William A. Wellman)
4 - 1938 Angels With Dirty Faces (Les anges aux figures sales, Michael Curtiz)
5 - 1955 Tribute to a Bad Man (La loi de la prairie, Robert Wise).
De ce comédien, j'aimerais bien découvrir, entre autres :
A chaque aube je meurs de William Keighley (1939)
Les hors-la-loi, idem (1935)
L'homme aux mille visages de Joseph Pevney (1957)
Info ici sur 4 de ces films à sortir sur support DVD (zone 1)
http://www.dvdclassik.com/forum/viewtop ... sc&start=0
Petit par la taille (1,65m) James Cagney sut imposer un jeu énergique et dynamique dans nombres de films noir.
Au moment de l'âge d'or du film de gangsters, Cagney se battait sans cesse contre Edward G Robinson ou Humphrey Bogart...
Cruel, cynique et, mufle (il écrasait un pamplemousse sur le visage d'une femme dans L'Ennemi Public, 1931, de William A. Wellman) son cinquième film, celui qui le propulsa en vedette de films de gangsters et le lanca dans les rôles de durs...
Il oeuvra également dans la comédie musicale Prologues (1933) et obtint un oscar pour son interprétation de George M. Cohan dans Yankee Doodle Dandy de Michael Curtiz (La Glorieuse parade, 1942).
Outre ces deux genres, on le vit dans quelques westerns, notamment, A l'ombre des potences de Nicolas Ray (1955), La loi de la prairie de Robert Wise (1956).
En 57, James Cagney a réalisé lui-même un film : Short cut to Hell (A deux pas de l'enfer)
NB : Paris Première diffusera à 13.50 demain son dernier film " Ragtime " de Milos Forman.
Mon top :
1 - 1949 White Heat (L'enfer est à lui, Raoul Walsh)
2 - 1939 The Roaring Twenties (Les fantastiques années 20, Raoul Walsh)
3 - 1931 The Public Enemy (L'Ennemi Public, William A. Wellman)
4 - 1938 Angels With Dirty Faces (Les anges aux figures sales, Michael Curtiz)
5 - 1955 Tribute to a Bad Man (La loi de la prairie, Robert Wise).
De ce comédien, j'aimerais bien découvrir, entre autres :
A chaque aube je meurs de William Keighley (1939)
Les hors-la-loi, idem (1935)
L'homme aux mille visages de Joseph Pevney (1957)
Info ici sur 4 de ces films à sortir sur support DVD (zone 1)
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- Jeremy Fox
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Grand bonhomme (par le talent)
Mon top 6 de cet acteur teigneux qui a visiblement beaucoup influencé Joe Pesci :
1- White heat : l'enfer est à lui : Raoul Walsh (L'année prochaine en DVD)
2- Les anges aux figures sales : Michael Curtiz (L'année prochaine en DVD)
3- A lion is in the street : Raoul Walsh
4- Love me or leave me : Charles Vidor (l'année prochaine en DVD)
5- La loi de la prairie : Robert Wise
6- The roaring Twenties : Raoul Walsh (l'année prochaine en DVD)
Mon top 6 de cet acteur teigneux qui a visiblement beaucoup influencé Joe Pesci :
1- White heat : l'enfer est à lui : Raoul Walsh (L'année prochaine en DVD)
2- Les anges aux figures sales : Michael Curtiz (L'année prochaine en DVD)
3- A lion is in the street : Raoul Walsh
4- Love me or leave me : Charles Vidor (l'année prochaine en DVD)
5- La loi de la prairie : Robert Wise
6- The roaring Twenties : Raoul Walsh (l'année prochaine en DVD)
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Re: Portrait ' James Cagney ' + top
La biographie d'un génie revisitée par un tâcheron, un film parfaitement indigne de son sujet.bogart a écrit : L'homme aux mille visages de Joseph Pevney (1957)
- Jeremy Fox
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Re: Portrait ' James Cagney ' + top
Pas fameux mais néanmoins bien plaisant, loin d'être honteux, et Cagney y est encore une fois remarquable.Lord Henry a écrit :La biographie d'un génie revisitée par un tâcheron, un film parfaitement indigne de son sujet.bogart a écrit : L'homme aux mille visages de Joseph Pevney (1957)
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Re: Portrait ' James Cagney ' + top
Jeremy Fox a écrit :Pas fameux mais néanmoins bien plaisant, loin d'être honteux, et Cagney y est encore une fois remarquable.Lord Henry a écrit :
La biographie d'un génie revisitée par un tâcheron, un film parfaitement indigne de son sujet.
Donc à découvrir.
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James Cagney était aussi un danseur de claquettes très doué.
Bref, bien plus qu'un acteur, c'était un entertainer à l'américaine.
Il faut le voir dans deux excellents musicaux, comme le rappelle Bogart :
- Footlight Parade (Prologues)
- Yankee Doodle Dandy (La Glorieuse Parade), son seul Oscar mais combien mérité
Bref, bien plus qu'un acteur, c'était un entertainer à l'américaine.
Il faut le voir dans deux excellents musicaux, comme le rappelle Bogart :
- Footlight Parade (Prologues)
- Yankee Doodle Dandy (La Glorieuse Parade), son seul Oscar mais combien mérité
... and Barbara Stanwyck feels the same way !
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Re: Portrait ' James Cagney ' + top
Il y est méconnaissable mais grandiose. Pour ceux qui n'ont pas vu ce film, c'est à ne pas rater. Une narration extrêmement étonnante et ambitieuse, des personnages denses et une reconstitution d'époque passionnante.bogart a écrit :NB : Paris Première diffusera à 13.50 demain son dernier film " Ragtime " de Milos Forman.
J'aime également beaucoup la savoureuse composition de Cagney dans One, two, three, de Wilder. Film hénaurme et tellement drôle.
« Vouloir le bonheur, c'est déjà un peu le bonheur. » (Roland Cassard)
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Mon Top 100...
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Découvert ce week-end le western de Nicolas Ray "A l'ombre des potences"
Curieux film dont les premières minutes sont suffisamment intrigantes pour captiver le spectateur. Cet homme au passé mystérieux (certaines informations nous seront délivrées tout au long du film) cherche la rédemption auprès d'un jeune homme qui lui rappelle son fils décédé...
L'austérité sied à ce western de Ray tourné à la suite de Johnny Guitar bien plus flamboyant dans sa mise en scène.
James Gagney les traits vieillissants impose avec charisme son personnage face à un John Derek plus fade.
Au final : pas le meilleur western de Nicholas Ray, ma préférence restant à Johnny Guitar, néanmoins A l'ombre des potences mérite qu'on s'y attarde car on y retrouve le cinéma de Nicholas Ray !
Curieux film dont les premières minutes sont suffisamment intrigantes pour captiver le spectateur. Cet homme au passé mystérieux (certaines informations nous seront délivrées tout au long du film) cherche la rédemption auprès d'un jeune homme qui lui rappelle son fils décédé...
L'austérité sied à ce western de Ray tourné à la suite de Johnny Guitar bien plus flamboyant dans sa mise en scène.
James Gagney les traits vieillissants impose avec charisme son personnage face à un John Derek plus fade.
Au final : pas le meilleur western de Nicholas Ray, ma préférence restant à Johnny Guitar, néanmoins A l'ombre des potences mérite qu'on s'y attarde car on y retrouve le cinéma de Nicholas Ray !
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Ainsi que L'Ennemi public de William A. Wellman, qui détient lui aussi, son lot de scènes mémorables.bogart a écrit :k-chan a écrit :Je n'ai vu que White heat. Il y est plutôt furieux, ce qui n'est pas pour me déplaire.
Dans le même style je te conseille : The Roaring Twenties (Les fantastiques années 20, Raoul Walsh) et Angels With Dirty Faces (Les anges aux figures sales, Michael Curtiz)
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