Breakfast Club (John Hughes - 1985)
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Un Z2 belge est également dispo en plus du zone 1. Cependant, on peut noter une légère différence sur la VF. Lors du monologue d'introduction citant leur rédaction, l'un des élèves mentionne le nom de l'Etat et de la ville dans lequel ils se trouvent alors que ce n'est pas le cas sur le Z1 comportant la VF (première édition donc). Ce sont pourtant bien les deux memes VF, les voix sont identiques.
Voilà, c'étais juste pour l'anecdote.
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- bocina
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Mon lien sur play.com c'est le zone 2.Frank Bannister a écrit :Un Z2 belge est également dispo en plus du zone 1. Cependant, on peut noter une légère différence sur la VF. Lors du monologue d'introduction citant leur rédaction, l'un des élèves mentionne le nom de l'Etat et de la ville dans lequel ils se trouvent alors que ce n'est pas le cas sur le Z1 comportant la VF (première édition donc). Ce sont pourtant bien les deux memes VF, les voix sont identiques.
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L'élite de ce pays permet de faire et défaire les modes, suivant la maxime qui proclame : « Je pense, donc tu suis. » Pierre Desproges
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The Breakfast Club || John Hugues
Découverte.
Déception.
J'aurais peut-être dû le découvrir dans les 80's.
Là, je suis partagé. L'idée, l'unité de lieu et de temps, j'aime beaucoup. La distinction des personnages aussi. Pourtant, tous ces dialogues, ces échanges sonnent horriblement faux à mes oreilles. J'ai l'impression d'assister à une mauvaise pièce de théatre qui met en dialogue tout ce qui devrait être sous-entendu. Comme si tout était forcé et que l'on prennait un peu le spectateur pour un crétin "regarde, lui c'est le méchant, elle c'est la bizarre.. si si, les autres personnages le disent, c'est la vérité". Du coup, les situations n'ont plus aucune crédibilité. Pourtant, par moments on ressent une certaine sincérité, un semblant de vérité qui éclôt de ces instants et l'on perce les carapaces de ces adolescents réunis le temps d'une journée de colle. Mais dans son ensemble, tout cela m'a semblé beaucoup trop synthétique et les dernières scènes plombent définitivement ce film qui avait beaucoup pour être sympathique.
Dommage.
Découverte.
Déception.
J'aurais peut-être dû le découvrir dans les 80's.
Là, je suis partagé. L'idée, l'unité de lieu et de temps, j'aime beaucoup. La distinction des personnages aussi. Pourtant, tous ces dialogues, ces échanges sonnent horriblement faux à mes oreilles. J'ai l'impression d'assister à une mauvaise pièce de théatre qui met en dialogue tout ce qui devrait être sous-entendu. Comme si tout était forcé et que l'on prennait un peu le spectateur pour un crétin "regarde, lui c'est le méchant, elle c'est la bizarre.. si si, les autres personnages le disent, c'est la vérité". Du coup, les situations n'ont plus aucune crédibilité. Pourtant, par moments on ressent une certaine sincérité, un semblant de vérité qui éclôt de ces instants et l'on perce les carapaces de ces adolescents réunis le temps d'une journée de colle. Mais dans son ensemble, tout cela m'a semblé beaucoup trop synthétique et les dernières scènes plombent définitivement ce film qui avait beaucoup pour être sympathique.
Dommage.
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Breakfast Club de John Hugues
Quatre adolescents représentant tout les archétypes de la communauté lycéenne, le rebelle, le sportif, la belle et la déjantée se retrouve collés ensemble pour tout un samedi. Alors qu'il ne se seraient jamais adressés la parole dans d'autres circonstances, cette situation va à travers les moqueries, les bêtises et les confidences les amener à regarder au délà de l'image de chacun et les amener à partager les différentes facette de leurs mal être. Sans doute la meilleure comédie adolescente jamais faite, drôle, profonde intelligente et magnifiquement jouée. Splendide gestion de l'unité de lieu et de temps, un scénario brillant qui passe brillament de la grosse comédie à un ton plus grave et réflechi et des personnages crédible et attachant. Les jeune acteurs livrent tous des performance exeptionnelles avec pour ma par une petite préférence pour Ally Sheedy en freaks déjantée. Découverte sur le tard mais total chef d'oeuvre! 6/6
Quatre adolescents représentant tout les archétypes de la communauté lycéenne, le rebelle, le sportif, la belle et la déjantée se retrouve collés ensemble pour tout un samedi. Alors qu'il ne se seraient jamais adressés la parole dans d'autres circonstances, cette situation va à travers les moqueries, les bêtises et les confidences les amener à regarder au délà de l'image de chacun et les amener à partager les différentes facette de leurs mal être. Sans doute la meilleure comédie adolescente jamais faite, drôle, profonde intelligente et magnifiquement jouée. Splendide gestion de l'unité de lieu et de temps, un scénario brillant qui passe brillament de la grosse comédie à un ton plus grave et réflechi et des personnages crédible et attachant. Les jeune acteurs livrent tous des performance exeptionnelles avec pour ma par une petite préférence pour Ally Sheedy en freaks déjantée. Découverte sur le tard mais total chef d'oeuvre! 6/6
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Re:
Un poil tard, mais...missme a écrit :c'était l'histoire d'une fille très mignonne mais un peu revêche (sûrement parce qu'elle avait une grande blessure secrète je sais plus). Blonde les cheveux très courts, batteuse de son état, et elle portait une mitaine à une seule main si mes souvenirs sont bons.
Evidemment elle est secrétement amoureuse du garçon qui sort avec la plus belle fille du lycée. Evidemment il finit par s'intéresser à cette fille très secrète, et elle évidemment elle est très méchante et abrupte avec lui mais en fait elle l'aime et tout finit bien, ils finnissent par sortir ensemble. (Mon dieu rien que de réecrire la description du scénar, ça me laisse soupçonner un beau navet)... tatalala? qu'est-ce? (ça fait des années que j'essaie de retrouver)
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C'est bien ça.
Un des moins bons John Hughes d'ailleurs (scénariste pour ce film). Vraiment pas fameux.
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Meilleur topic de l'univers
https://www.dvdclassik.com/forum/viewto ... 13&t=39694
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Re: Notez les films d'août 2008
Revu BREAKFAST CLUB
Je lui trouve toujours beaucoup de qualités mais pas mal de chose me dérange en le revoyant aujourd'hui et en particulier la fin
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Re: Notez les films de Janvier 2009
The Breakfast Club (John Hughes)
Film le plus célèbre et célébré de son auteur, The Breakfast Club est très loin du ton burlesque de Ferris Bueller's Day Off et offre une vision plutôt désenchanté, triste et remplit d'amertume de la jeunesse américaine.
Selon Hughes, celle-ci est laissée à l'abandon par une autorité parentale préférant cataloguer leurs progénitures (l'intello, le sportif...) plutôt que de s'intéresser à ce qu'ils sont (réellement), bref l'antithèse du teen movie caricaturant l'adolescence pour mieux conforter l'adulte dans ses certitudes et faire sombrer l'ado dans la plus triste des médiocrités (soit con et ferme ta gueule). C'est sur, le pitch de départ appel un film pompeux à trop théoriser sur son sujet, mais le réalisateur n'a jamais la main lourde, préférant laisser ses personnages parler d'eux-mêmes plutôt que d'y ajouter des poncifs via sa mise en scène.
Ceci-dit je regrette quelques scènes un tantinet lourdes (la scène des confessions est un peu "facile", dans le sens où tout le message de Hughes est véhiculé en quelques minutes) et une esthétique un peu trop marquée 80's (la bande son). Mais appart ça, c'est touchant au possible, impossible justement de ne pas s'identifier à chacun des personnages et avoir le sourire aux lèvres devant le final.
Film le plus célèbre et célébré de son auteur, The Breakfast Club est très loin du ton burlesque de Ferris Bueller's Day Off et offre une vision plutôt désenchanté, triste et remplit d'amertume de la jeunesse américaine.
Selon Hughes, celle-ci est laissée à l'abandon par une autorité parentale préférant cataloguer leurs progénitures (l'intello, le sportif...) plutôt que de s'intéresser à ce qu'ils sont (réellement), bref l'antithèse du teen movie caricaturant l'adolescence pour mieux conforter l'adulte dans ses certitudes et faire sombrer l'ado dans la plus triste des médiocrités (soit con et ferme ta gueule). C'est sur, le pitch de départ appel un film pompeux à trop théoriser sur son sujet, mais le réalisateur n'a jamais la main lourde, préférant laisser ses personnages parler d'eux-mêmes plutôt que d'y ajouter des poncifs via sa mise en scène.
Ceci-dit je regrette quelques scènes un tantinet lourdes (la scène des confessions est un peu "facile", dans le sens où tout le message de Hughes est véhiculé en quelques minutes) et une esthétique un peu trop marquée 80's (la bande son). Mais appart ça, c'est touchant au possible, impossible justement de ne pas s'identifier à chacun des personnages et avoir le sourire aux lèvres devant le final.
Les deux fléaux qui menacent l'humanité sont le désordre et l'ordre. La corruption me dégoûte, la vertu me donne le frisson. (Michel Audiard)
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Contrairement à pas mal d'entre vous, visiblement, je n'ai pas vraiment été spectateur de "films pour ados" pendant cette période. Au pire je citerai RETOUR VERS LE FUTUR, c'est dire. Je n'ai pas été sevré avec FERRIS BUELLER par exemple (que je n'ai encore jamais vraiment apprecié), ce qui explique certainement ma réticence face aux comédies adolescentes actuelles. J'avais beaucoup entendu parler de BREAKFAST CLUB, ça attisait pas mal ma curiosité, mais j'étais loin de me douter que ce serait une telle surprise.
Avec 7 personnages dans un décor quasi-unique (le CDI) John Hugues, par un travail d'écriture sensible et très prenant, par une mise en scène discrète et un rythme soutenu, propose ici non pas un film d'ados très bien fait mais une vraie comédie dramatique (réussie) pour tous les publics (dans ce sens on pourrait presque, je pense, le rapprocher de STAND BY ME...).
En prenant des personnages aux profils divers et opposés, en les amenant à la confrontation et à la discussion, Hugues dévoile l'humanité derrière chacun, l'envie de communiquer avec l'autre malgré des barrières sociales imposées et des comportements protectionnistes instinctifs.
Par une série de prises de contact, de mises à nu, Hugues décortique subtilement les codes comportementaux de la jeunesse, les clichés sociaux, les modes de vie (voués à la réussite), certaines composantes de nos rêgles éducatives, les rapports enfants-parents (très important), les barrières érigées par la société. Le tout avec un humanisme délicat qui ne s'impose jamais.
Comme on l'a dit précédemment, c'est une histoire où les jeunes ne sont pas montrés comme des débiles obsédés mais comme des personnages intelligents. Il n'y a qu'à voir comment Hugues fait apparaitre derrière chacun d'eux, derrière les clichés inhérents à leurs conditions ou apparences, des sentiments et des valeurs partagés par tous.
Pourtant très ancré dans les années 80, le film n'a pas vieilli d'un pouce. Plutôt emballé, donc.
Avec 7 personnages dans un décor quasi-unique (le CDI) John Hugues, par un travail d'écriture sensible et très prenant, par une mise en scène discrète et un rythme soutenu, propose ici non pas un film d'ados très bien fait mais une vraie comédie dramatique (réussie) pour tous les publics (dans ce sens on pourrait presque, je pense, le rapprocher de STAND BY ME...).
En prenant des personnages aux profils divers et opposés, en les amenant à la confrontation et à la discussion, Hugues dévoile l'humanité derrière chacun, l'envie de communiquer avec l'autre malgré des barrières sociales imposées et des comportements protectionnistes instinctifs.
Par une série de prises de contact, de mises à nu, Hugues décortique subtilement les codes comportementaux de la jeunesse, les clichés sociaux, les modes de vie (voués à la réussite), certaines composantes de nos rêgles éducatives, les rapports enfants-parents (très important), les barrières érigées par la société. Le tout avec un humanisme délicat qui ne s'impose jamais.
Comme on l'a dit précédemment, c'est une histoire où les jeunes ne sont pas montrés comme des débiles obsédés mais comme des personnages intelligents. Il n'y a qu'à voir comment Hugues fait apparaitre derrière chacun d'eux, derrière les clichés inhérents à leurs conditions ou apparences, des sentiments et des valeurs partagés par tous.
Pourtant très ancré dans les années 80, le film n'a pas vieilli d'un pouce. Plutôt emballé, donc.
"Un film n'est pas une envie de faire pipi" (Cinéphage, août 2021)
- Demi-Lune
- Bronco Boulet
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Re: Breakfast Club (John Hugues, 1985)
Mis à part le point noir que Hellrick a soulevé, assez regrettable il est vrai, j'ai vraiment été enchanté par ce teen-movie attachant qui évite globalement la caricature des adolescents. Un film qui fout une pêche d'enfer, et qui me fait vraiment regretter de n'avoir vécu que 3 ans dans les 80's... Simple Minds, les coiffures, les blousons en cuir, les jeans qui moulent bien, de l'or en barre tout ça ! Filmé relativement platement et souffrant parfois de quelques baisses de rythme, la réussite première de Breakfast Club réside d'abord dans sa fantastique brochette de jeunes acteurs, qui campant des personnages certes bien "catégorisés" (ce que nous avertit la voix-off dès le début), se révèlent tout de même être d'une fraîcheur et d'un naturel tout à fait exquis. Ensuite, il convient de féliciter les scénaristes pour la délicatesse dont ils ont fait preuve à l'égard des ados, montrés sous un jour tendre et néanmoins plutôt réaliste. Vingt-cinq ans après, Breakfast Club tient encore la dragée haute à tous ses actuels concurrents trash. Vive les 80's.
4,5/6
4,5/6
- Eusebio Cafarelli
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Re: Notez les films - juin 2010
J'ai plus l'âge, je suis de l'autre côté du bureau et pourtant quelle formidable découverte ! C'est tout à fait ça, je les reconnais et je m'y reconnais... Tous les acteurs sont géniaux, le film est drôle, émouvant, subtil, la b.o. idéalement adaptée. Merveilleux chef-d'oeuvre, mon film non naphta du mois, sans hésitation !
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- Doublure lumière
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Re: Breakfast Club (John Hugues, 1985)
Film générationnel aussi pour moi, que je n'avais pas revu depuis longtemps. Le film tient bien le coup malgré des looks, une bande "originale", une chorégraphie (Molly Ringwald ) pur 80. Il est bien scénarisé (même si je tique sur la même scène que Hellrick et Demi-Lune), bien dialogué avec un vrai sens du rythme et surtout bien interprété. Pas un très grand film, mais une comédie intelligente, juste et émouvante qui va au delà du côté madeleine de Proust. A découvrir ou à redécouvrir sans crainte. 6/10
- G.T.O
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Re: Breakfast Club (John Hugues, 1985)
Belle découverte que ce Breakfast Club.
De Hugues, je ne connaissais que Ferris Bueller, matrice de la comédie ado, délirante, légèrement saupoudrée d'inquiétude. A la vision de BC, on peut dire qu'il en est à la fois le prolongement et la radicalisation; délaissant le potache et le délire, pour adopter l'angoisse existentielle, attentif aux fêlures, afin de tenter de retranscrire la psychologie adolescente, ce mélange si paradoxal de protection, de défiance, et de besoin de reconnaissance et d'amour. Breakfast club est un coming of age. Mais aux personnages aussi inquiets sur leur présent que sur leur devenir, prisonnier de leur passif autant que de leur classe sociale, rêvant d'une utopie transcendant leurs différences. Ces ados sont bouleversants par leur question. Car, ce qu'ils posent ne concernent pas seulement leur présent, quels ados sont-ils. Mais ils interrogent également leur devenir. Quels adultes deviendront-ils ? En d'autres termes, quels parents ou "éducateurs" deviendront-ils ?
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Re: Breakfast Club (John Hugues - 1985)
Ce film me file le bourdon à chaque fois... Don't you... forget about me. Rien que la chanson et je me sens vieux.
You know my feelings: Every day is a gift. It's just, does it have to be a pair of socks?
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- AtCloseRange
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Re: Breakfast Club (John Hugues - 1985)
J'aime bien le film mais je préfère Hughes un peu plus léger. Je trouve l'aspect dramatique un peu forcé et légèrement théâtral.
Il y a la même mélancolie davantage en sourdine dans Ferris Bueller ou 16 Candles mais le mélange me semble plus équilibré.
Il y a la même mélancolie davantage en sourdine dans Ferris Bueller ou 16 Candles mais le mélange me semble plus équilibré.
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