Ouishhhhhhhhh !!!!!
The Strange Affair of Uncle Harry (Robert Siodmak - 1945)
Modérateurs : cinephage, Karras, Rockatansky
-
- Stagiaire
- Messages : 20
- Inscription : 8 févr. 04, 20:57
- Localisation : Bords de Marne
- Contact :
- Commissaire Juve
- Charles Foster Kane
- Messages : 24564
- Inscription : 13 avr. 03, 13:27
- Localisation : Aux trousses de Fantômas !
- Contact :
Cela dit, bonne idée et site bien mignon... hop ! dans mes favoris !Giansili a écrit :Ouishhhhhhhhh !!!!!
A propos, sans tenir compte de l'esthétique du film, peut-on dire que Laura est vraiment une figure du film noir ? Dans mon idée, l'héroïne de film noir entraîne généralement (seulement "généralement" ?) le héros à sa perte. Or, là, ça va plutôt bien pour Dana Andrews ! (Même chose dans Mark Dixon détective du reste !)
Bon, c'est peut-être une idée reçue à rayer de mes tablettes... mais quand même.
Dans Angel Face, dans The Killers, dans Criss Cross, dans Out of the Past, ça grouille de femme "fatales", non ?
La vie de l'Homme oscille comme un pendule entre la douleur et l'ennui...
-
- Stagiaire
- Messages : 20
- Inscription : 8 févr. 04, 20:57
- Localisation : Bords de Marne
- Contact :
La femme fatale me semble effectivement être une composante essentielle du genre.Commissaire Juve a écrit : A propos, sans tenir compte de l'esthétique du film, peut-on dire que Laura est vraiment une figure du film noir ? Dans mon idée, l'héroïne de film noir entraîne généralement (seulement "généralement" ?) le héros à sa perte. Or, là, ça va plutôt bien pour Dana Andrews ! (Même chose dans Mark Dixon détective du reste !)
Bon, c'est peut-être une idée reçue à rayer de mes tablettes... mais quand même.
Dans Angel Face, dans The Killers, dans Criss Cross, dans Out of the Past, ça grouille de femme "fatales", non ?
Quant à "Laura", c'est plutôt dans cette atmosphère relativement trouble et
marquée du signe inexorable d'un destin funeste (la mort de Laura au début) qui confère au film cet aspect "noir", même si les choses deviennent optimistes par la suite (et dans un registre similaire pour "Mark Dixon détective").
Le genre noir est tout de même caractérisé, surtout à cette époque par un certain pessimisme ambiant, ou du moins, des atmosphères troubles ou désespérées.