Quelque part dans le temps (Jeannot Szwarc - 1980)

[Jeremy Fox]

J'adhère au romantisme mystique : Mme Muir est un de mes films préférés. Et je suis fan de la dernière scène de Titanic.

[aelita]

J'ai découvert le film à sa sortie (je ne connaissais pas le roman) et j'ai adoré. C'est vrai qu'il est devenu rare (peu de passages télé, par exemple).J'ai lu le roman récemment. C'est relativement fidèle, sauf peut-être la fin.
Plus qu'à Mme Muir, la dernière scène me fait penser à Peter Ibbetson.

[AtCloseRange]

C'est vraiment un film au charme très étrange. Oui, c'est du Barbara Cartland mais au-delà de l'apport indéniable de John Barry, le film a quelque chose de magique que peu de films possèdent.
Sinon, autant je peux comprendre qu'on remette en question le jeu de Jane Seymour (c'est loin d'être une grande comédienne) autant Reeve est parfait et personne n'aurait mieux pu jouer ce mélange de romantisme et de slapstick. La fin est sublime.

[Supfiction]

C'est vraiment un film au charme très étrange. Oui, c'est du Barbara Cartland mais au-delà de l'apport indéniable de John Barry, le film a quelque chose de magique que peu de films possèdent.

Le destin tragique de Christopher Reeve n'y est peut-être pas pour rien. Idem Patrick Swayze.
Quant à Jane Seymour, elle est sublime, je ne vois pas ce qu'on peut lui reprocher dans ce rôle de femme soumise et résignée avant sa rencontre avec le visiteur du futur.

[aelita]

Le charme du film provient aussi du fait qu'il se rattache à un genre plutôt rare dans le cinéma fantastique contemporain (et que j'aime beaucoup) : le cinéma fantastique et romanesque. Un genre très en vogue dans les années 30/40 , que j'aime beaucoup, et que j'ai retrouve dans un film peu connu , The house in the square (Roy Ward Baker, 1951) . C'était sans doute un des derniers du genre.

[Supfiction]

Le charme du film provient aussi du fait qu'il se rattache à un genre plutôt rare dans le cinéma fantastique contemporain (et que j'aime beaucoup) : le cinéma fantastique et romanesque. Un genre très en vogue dans les années 30/40 , que j'aime beaucoup, et que j'ai retrouve dans un film peu connu , The house in the square (Roy Ward Baker, 1951) . C'était sans doute un des derniers du genre.

Il y a aussi Le fantôme de Sarah Williams.

[AtCloseRange]

Le charme du film provient aussi du fait qu'il se rattache à un genre plutôt rare dans le cinéma fantastique contemporain (et que j'aime beaucoup) : le cinéma fantastique et romanesque. Un genre très en vogue dans les années 30/40 , que j'aime beaucoup, et que j'ai retrouve dans un film peu connu , The house in the square (Roy Ward Baker, 1951) . C'était sans doute un des derniers du genre.

Il y a aussi Le fantôme de Sarah Williams.

Truly, Madly, Deeply
Ghost

[Rockatansky]

Love in the time of twillight ?

[Profondo Rosso]

Love in the time of twillight ?

Excellent ce Tsui Hark tout fou et bien romantique

Sinon en récent et très réussi The Time Traveller's Wife avec Eric Bana et Rachel McAdams.

[Supfiction]

Love in the time of twillight ?

Excellent ce Tsui Hark tout fou et bien romantique

Sinon en récent et très réussi The Time Traveller's Wife avec Eric Bana et Rachel McAdams.

Pas fameux de mémoire, on est loin de ce Quelque-part dans les temps niveau romantisme.

[Profondo Rosso]

Excellent ce Tsui Hark tout fou et bien romantique

Sinon en récent et très réussi The Time Traveller's Wife avec Eric Bana et Rachel McAdams.

Pas fameux de mémoire, on est loin de ce Quelque-part dans les temps niveau romantisme.

Rien que l'usage du voyage dans le temps était assez originale et contribuait à amener une étonnante dimension tragico-romantique. Le film à potentiel qui ratait malheureusement le coche sur ce thème récemment c'est Il était temps de Richard Curtis, grosse déception alors qu'il y avait matière à quelque chose d'intéressant et à la place de la leçon de morale gentillette.

[Flol]

Le film à potentiel qui ratait malheureusement le coche sur ce thème récemment c'est Il était temps de Richard Curtis, grosse déception alors qu'il y avait matière à quelque chose d'intéressant et à la place de la leçon de morale gentillette.

Le film préféré d'AtCloseRange de ces 10 dernières années, on le rappelle.

[mannhunter]

La fin est sublime.

Entretien carrière de Jeannot Szwarc dans le numéro 5 de Ciné Bazar où il revient sur l'expérience de "Quelque part dans le temps" et notamment le plan séquence final qui était plus long à l'origine ( "ils me l'ont coupé les salauds , c'était un plan magnifique mais maintenant il est beaucoup plus court"), il évoque aussi d'autres coupes concernant le personnage joué par Christopher Plummer plus développé à l'origine et donc le fait qu'il n'a pas eu le final cut.

Le charme du film provient aussi du fait qu'il se rattache à un genre plutôt rare dans le cinéma fantastique contemporain (et que j'aime beaucoup) : le cinéma fantastique et romanesque. Un genre très en vogue dans les années 30/40 , que j'aime beaucoup, et que j'ai retrouve dans un film peu connu , The house in the square (Roy Ward Baker, 1951) . C'était sans doute un des derniers du genre.

Il y a aussi Le fantôme de Sarah Williams.

Et comment!

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