Quelque part dans le temps (Jeannot Szwarc - 1980)
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Quelque part dans le temps (Jeannot Szwarc - 1980)
De l'émotion,du romantisme,une belle love story entre un christopher Reeve magnifique (et à contre emploi) et une ravissante jane Seymour,des images et décors soignés,une fin assez inattendue et,cerise sur le gâteau,une superbe musique de john Barry:
QUELQUE PART DANS LE TEMPS/SOMEWHERE IN TIME est probablement la meilleure réalisation de Jeannot Szwarc (JAWS 2,ENIGMA,SUPERGIRL...).
que pensez vous de ce film?
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Je ne l'ai pas revu depuis sa sortie initiale, mais il me faut bien dire qu'à l'époque je ne l'avais guère apprécié.
Cela m'avait laissé l'impression d'être appliqué plutôt qu'inspiré, et décoratif plutôt qu'élégant.
La musique de John Barry - compositeur que j'apprécie par ailleurs - le cédait trop à un sentimentalisme envahissant.
Je recommande en revanche la lecture du livre de Richard Matheson dont le film est l'adaptation.
Pour l'anecdote, les fervents admirateurs du film se réunissent chaque année à l'hôtel qui a servi de décor au tournage.
Cela m'avait laissé l'impression d'être appliqué plutôt qu'inspiré, et décoratif plutôt qu'élégant.
La musique de John Barry - compositeur que j'apprécie par ailleurs - le cédait trop à un sentimentalisme envahissant.
Je recommande en revanche la lecture du livre de Richard Matheson dont le film est l'adaptation.
Pour l'anecdote, les fervents admirateurs du film se réunissent chaque année à l'hôtel qui a servi de décor au tournage.
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Découvert ce matin, surtout motivé par des souvenirs d'avis positifs lus sur le forum. J'ai d'abord été surpris de voir que c'était écrit par Richard Matheson, c'était prometteur.
J'ai mis un temps fou à rentrer dans le film. Après un début encourageant, je ne m'y suis pas trop intéressé, finalement. Surtout à cause de péripéties bien convenues et peu palitantes. Jusqu'à la dernière demi-heure, autour du monologue de Jane Seymour sur scène. Vers cette période, la sauce a commencé à prendre. Et nous nous sommes retrouvés, Mme Almendros et moi, à fondre en larmes à la fin.
C'est un film qui privilégie le romantisme, le ressenti, l'émotion, au détriment de toute "logique", de tout aspect solide du scénario. Car j'ai trouvé cette histoire bien mince. Il faut être très motivé pour ne pas tiquer devant ce concept de voyage dans le temps, et surtout son procédé. Tout comme certains détails vite emballés et peu crédibles (comme fait-elle pour le retrouver 60 ans plus tard, à la présentation de sa première pièce à la fac alors qu'il n'est pas encore célébré? par exemple).
Mais comme je l'ai dit, tout le film insiste sur l'ambiance et l'émotion, c'est ce qui importe le plus ici. La mise en scène de Swarc, très inspirée, reste constamment dans la simplicité, la sobriété, accompagnant ces sentiments simples, eux-aussi, à la même hauteur. Le score de Barry est parfois redondant et un peu too much, mais prend parfois quelques envolées bienvenues qui facilitent les montées lacrymales.
A noter un dvd Universal en 1.85 - 4/3 et non 16/9 comme indiqué sur la jaquette
J'ai mis un temps fou à rentrer dans le film. Après un début encourageant, je ne m'y suis pas trop intéressé, finalement. Surtout à cause de péripéties bien convenues et peu palitantes. Jusqu'à la dernière demi-heure, autour du monologue de Jane Seymour sur scène. Vers cette période, la sauce a commencé à prendre. Et nous nous sommes retrouvés, Mme Almendros et moi, à fondre en larmes à la fin.
C'est un film qui privilégie le romantisme, le ressenti, l'émotion, au détriment de toute "logique", de tout aspect solide du scénario. Car j'ai trouvé cette histoire bien mince. Il faut être très motivé pour ne pas tiquer devant ce concept de voyage dans le temps, et surtout son procédé. Tout comme certains détails vite emballés et peu crédibles (comme fait-elle pour le retrouver 60 ans plus tard, à la présentation de sa première pièce à la fac alors qu'il n'est pas encore célébré? par exemple).
Mais comme je l'ai dit, tout le film insiste sur l'ambiance et l'émotion, c'est ce qui importe le plus ici. La mise en scène de Swarc, très inspirée, reste constamment dans la simplicité, la sobriété, accompagnant ces sentiments simples, eux-aussi, à la même hauteur. Le score de Barry est parfois redondant et un peu too much, mais prend parfois quelques envolées bienvenues qui facilitent les montées lacrymales.
A noter un dvd Universal en 1.85 - 4/3 et non 16/9 comme indiqué sur la jaquette
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Mon film du mois de janvier
Ce côté privilégiant les sentiments que tu soulignes est ce qui m'avait plu et le point de départ particulièrement casse gueule est vraiment bien géré libre au spectateur d'y adhérer ou pas. Effectivement la dernière demi heure atteint des pics d'émotions insoupçonnée par contre pas d'accord avec toi sur la musique de Barry belle symphonie romantique une des plus belle qu'il ai composé.
Ce côté privilégiant les sentiments que tu soulignes est ce qui m'avait plu et le point de départ particulièrement casse gueule est vraiment bien géré libre au spectateur d'y adhérer ou pas. Effectivement la dernière demi heure atteint des pics d'émotions insoupçonnée par contre pas d'accord avec toi sur la musique de Barry belle symphonie romantique une des plus belle qu'il ai composé.
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Ah bon? J'ai au contraire trouvé cette idée très originale, et, finalement, potentiellement crédible, mais la motivation du 'futur' voyageur doit être réelle et suffisante pour lui permettre cet exploit!Nestor Almendros a écrit :Il faut être très motivé pour ne pas tiquer devant ce concept de voyage dans le temps, et surtout son procédé.
Si ma mémoire est bonne, elle connaît son nom, et sait qu'il écrit pour le théâtre (ou, au pire, on peut imaginer qu'il lui dit dans l'intimité).Nestor Almendros a écrit :Tout comme certains détails vite emballés et peu crédibles (comme fait-elle pour le retrouver 60 ans plus tard, à la présentation de sa première pièce à la fac alors qu'il n'est pas encore célébré? par exemple).
On peut donc imaginer qu'il lui est possible de retrouver sa trace, d'autant plus qu'elle doit avoir les moyens de s'offrir ce qui se fait de mieux en détective privé...
D., qui considère ce film comme étant simplement la plus belle histoire d'amour qu'il ait vue, ou lue...
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Je suis bien d'accord. Quel ennui cette musique. J'ai jamais compris d'ailleurs l'intérêt que les gens avaient pour cette bo, car elle est assez populaire.Lord Henry a écrit :La musique de John Barry - compositeur que j'apprécie par ailleurs - le cédait trop à un sentimentalisme envahissant.
SANTA CLAUS c'était sympa aussi.mannhunter a écrit :QUELQUE PART DANS LE TEMPS/SOMEWHERE IN TIME est probablement la meilleure réalisation de jeannot Szwarc (JAWS 2,ENIGMA,SUPERGIRL...).
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Si j'ai bonne souvenance, le prologue a été ajouté à la demande du studio après l'épreuve des "preview".Nestor Almendros a écrit : Tout comme certains détails vite emballés et peu crédibles (comme fait-elle pour le retrouver 60 ans plus tard, à la présentation de sa première pièce à la fac alors qu'il n'est pas encore célébré? par exemple).
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