François Truffaut (1932-1984)
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Re: François Truffaut (1932-1984)
La nuit américaine 1973
Truffaut réalise avec ce film l'un des plus bels hommages, l'une des plus belles déclarations d'amour au cinéma. Une œuvre d'une étonnante fraîcheur, d'une déconcertante légèreté, d'une liberté totale et d'une inventivité constante. Ce qui n'empêche pas l'émotion (les séquences muettes sur la musique de Delerue) et les fous rires (Bernard Menez inénarrable). La mise en scène est jubilatoire, les comédiens aussi (Jean-Pierre Leaud est décidément plus que jamais l'un de mes comédiens préférés) et le tout se regarde avec un constant sourire aux lèvres. Mélange d'autobiographie, de documentaire et de comédie de mœurs, un véritable petit chef-d’œuvre du cinéma français.
Truffaut réalise avec ce film l'un des plus bels hommages, l'une des plus belles déclarations d'amour au cinéma. Une œuvre d'une étonnante fraîcheur, d'une déconcertante légèreté, d'une liberté totale et d'une inventivité constante. Ce qui n'empêche pas l'émotion (les séquences muettes sur la musique de Delerue) et les fous rires (Bernard Menez inénarrable). La mise en scène est jubilatoire, les comédiens aussi (Jean-Pierre Leaud est décidément plus que jamais l'un de mes comédiens préférés) et le tout se regarde avec un constant sourire aux lèvres. Mélange d'autobiographie, de documentaire et de comédie de mœurs, un véritable petit chef-d’œuvre du cinéma français.
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Re: François Truffaut (1932-1984)
Et Jacqueline Bisset y est si belle !
Là, je vais faire mon Quasimodo (version Anthony Quinn) :
Là, je vais faire mon Quasimodo (version Anthony Quinn) :
Et cette réplique j'aurais pu la prononcer plusieurs fois... (elle était sur mon site à une époque... section qui a disparu). Merci de me prévenir si ça ne fonctionne pas.Beeeelle ! Bêêêlle !
Dernière modification par Commissaire Juve le 13 déc. 14, 22:48, modifié 2 fois.
La vie de l'Homme oscille comme un pendule entre la douleur et l'ennui...
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Re: François Truffaut (1932-1984)
Oh que oui ! Et Nathalie Baye si charmante, Truffaut si attachant, Menez si drôle...Commissaire Juve a écrit :Et Jacqueline Bisset y est si belle !
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Re: François Truffaut (1932-1984)
Pour ceux qui aiment ce film, je conseille le récent Maestro avec Pio Marmai, Michael Lonsdale et Déborah François. Très sympa, sur les coulisses du tournage d'un Rohmer (Cédric Rovère, ils ont pas cherché loin le nom du personnage!).Jeremy Fox a écrit :La nuit américaine 1973
Truffaut réalise avec ce film l'un des plus bels hommages, l'une des plus belles déclarations d'amour au cinéma. Une œuvre d'une étonnante fraîcheur, d'une déconcertante légèreté, d'une liberté totale et d'une inventivité constante. Ce qui n'empêche pas l'émotion (les séquences muettes sur la musique de Delerue) et les fous rires (Bernard Menez inénarrable). La mise en scène est jubilatoire, les comédiens aussi (Jean-Pierre Leaud est décidément plus que jamais l'un de mes comédiens préférés) et le tout se regarde avec un constant sourire aux lèvres. Mélange d'autobiographie, de documentaire et de comédie de mœurs, un véritable petit chef-d’œuvre du cinéma français.
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Re: François Truffaut (1932-1984)
A mes yeux un film référence sur les coulisses d'un tournage. François Truffaut réussit un coup de maître faisant de nous des spectateurs privilégiés, émerveillés découvrant toute la mécanique, la complexité d'un tournage.Jeremy Fox a écrit :La nuit américaine 1973
Truffaut réalise avec ce film l'un des plus bels hommages, l'une des plus belles déclarations d'amour au cinéma. Une œuvre d'une étonnante fraîcheur, d'une déconcertante légèreté, d'une liberté totale et d'une inventivité constante. Ce qui n'empêche pas l'émotion (les séquences muettes sur la musique de Delerue) et les fous rires (Bernard Menez inénarrable). La mise en scène est jubilatoire, les comédiens aussi (Jean-Pierre Leaud est décidément plus que jamais l'un de mes comédiens préférés) et le tout se regarde avec un constant sourire aux lèvres. Mélange d'autobiographie, de documentaire et de comédie de mœurs, un véritable petit chef-d’œuvre du cinéma français.
Le risque était de briser l'enchantement, au contraire il décuple notre fascination pour le septième art.
Tu ne l'avais encore jamais vu, Jérémy ?
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Re: François Truffaut (1932-1984)
Si mais je devais avoir entre 15 et 18 ans.Frances a écrit : Tu ne l'avais encore jamais vu, Jérémy ?
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Re: François Truffaut (1932-1984)
ouais, à la sortie, doncJeremy Fox a écrit :Si mais je devais avoir entre 15 et 18 ans.Frances a écrit : Tu ne l'avais encore jamais vu, Jérémy ?
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Re: François Truffaut (1932-1984)
A sa sortie, je n'avais encore jamais mis un pied das une salle de cinéma et je ne devais même pas avoir encore vu un film (ou peut-être deux ou trois)ed a écrit :ouais, à la sortie, doncJeremy Fox a écrit : Si mais je devais avoir entre 15 et 18 ans.
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Re: François Truffaut (1932-1984)
Pourquoi petit ? Un GRAND, un VRAI, tu veux dire !Jeremy Fox a écrit :La nuit américaine 1973
un véritable petit chef-d’œuvre du cinéma français.
Le plus parfait de la filmographie de Truffaut selon moi.
Celui où le résultat semble s'accorder pleinement aux ambitions, à la vision du cinéaste.
Etourdissant, de bout en bout.
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Re: François Truffaut (1932-1984)
'Petit' en l’occurrence était un terme affectueux. Chef d’œuvre tout court si tu préfèrescinéfile a écrit :Pourquoi petit ? Un GRAND, un VRAI, tu veux dire !Jeremy Fox a écrit :La nuit américaine 1973
un véritable petit chef-d’œuvre du cinéma français.
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Re: François Truffaut (1932-1984)
Pour moi aussi, le grand chef d'oeuvre du cinéaste et l'un des films les plus importants du cinéma des années 70
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Re: François Truffaut (1932-1984)
Un de mes films préférés de tous les temps, tout simplement.Jeremy Fox a écrit :La nuit américaine 1973
Truffaut réalise avec ce film l'un des plus bels hommages, l'une des plus belles déclarations d'amour au cinéma. Une œuvre d'une étonnante fraîcheur, d'une déconcertante légèreté, d'une liberté totale et d'une inventivité constante. Ce qui n'empêche pas l'émotion (les séquences muettes sur la musique de Delerue) et les fous rires (Bernard Menez inénarrable). La mise en scène est jubilatoire, les comédiens aussi (Jean-Pierre Leaud est décidément plus que jamais l'un de mes comédiens préférés) et le tout se regarde avec un constant sourire aux lèvres. Mélange d'autobiographie, de documentaire et de comédie de mœurs, un véritable petit chef-d’œuvre du cinéma français.
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Re: François Truffaut (1932-1984)
En repensant à l'état de jubilation dans lequel j'ai regardé le film, il n'est pas impossible qu'il intègre mon top 100Joshua Baskin a écrit :Un de mes films préférés de tous les temps, tout simplement.Jeremy Fox a écrit :La nuit américaine 1973
Truffaut réalise avec ce film l'un des plus bels hommages, l'une des plus belles déclarations d'amour au cinéma. Une œuvre d'une étonnante fraîcheur, d'une déconcertante légèreté, d'une liberté totale et d'une inventivité constante. Ce qui n'empêche pas l'émotion (les séquences muettes sur la musique de Delerue) et les fous rires (Bernard Menez inénarrable). La mise en scène est jubilatoire, les comédiens aussi (Jean-Pierre Leaud est décidément plus que jamais l'un de mes comédiens préférés) et le tout se regarde avec un constant sourire aux lèvres. Mélange d'autobiographie, de documentaire et de comédie de mœurs, un véritable petit chef-d’œuvre du cinéma français.
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Re: François Truffaut (1932-1984)
Retour en stock de l'intégrale François Truffaut à 109,99€ sur Fnac.com :
http://video.fnac.com/a7594528/Francois ... DVD-Zone-2
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Re: François Truffaut (1932-1984)
Sortie de la BO LA SIRÈNE DU MISSISSIPI sur le label Music Box Records en mai 2015 :
http://www.musicbox-records.com/fr/cd-b ... ssipi.html
LA SIRÈNE DU MISSISSIPI (1969)
Musique composée et dirigée par Antoine Duhamel
Édition remasterisée et limitée à 500 exemplaires.
Livret de 8 pages, notes internes français-anglais par Gilles Loison.
Réf : MBR-065
Date de sortie : en stock
François Truffaut, critique acerbe des Cahiers du Cinéma, ne vit que pour le Septième Art. Avec ses amis de la Nouvelle Vague en lutte contre un cinéma traditionnel, il passe rapidement derrière la caméra pour mener une carrière de réalisateurs de films qu’il traite comme des romans. La musique y est une composante nécessaire pour donner des repères temporels ou émotionnels. Il trouve très vite, en la personne de Georges Delerue, un musicien idéal pour son univers. Pourtant, il fera appel à d’autres compositeurs tel que Bernard Herrmann, compositeur d’Alfred Hitchcock que Truffaut admire.
Antoine Duhamel est, comme Truffaut, un passionné de cinéma, fréquentant régulièrement la Cinémathèque française. Fils de l’écrivain Georges Duhamel, Antoine étudie la musique avec Olivier Messiaen et René Leibowitz. Il compose des œuvres dodécaphoniques et s’intéresse au jazz. Le cinéma se rapproche de lui en le sollicitant d’abord pour des films publicitaires et des courts métrages. Mais Duhamel se fait connaître grâce à la télévision avec les musiques de deux grands feuilletons, Le Chevalier de Maison-Rouge et Belphégor. C’est après sa participation au film de Godard, Pierrot le fou, qu’il est contacté par Truffaut.
Le réalisateur et le musicien se retrouvent autour de quatre films. Baisers volés est le troisième volet des aventures du double de Truffaut, Antoine Doinel. Le compositeur est confronté à la chanson de Charles Trenet Que reste-t-il de nos amours et s’appuie sur les trois premières notes de la mélodie pour construire sa partition. Il enchaîne ensuite avec La Sirène du Mississipi, aventure d’un amour passion d’après William Irish. Le résultat final déçoit le compositeur dont la partition a été largement amputée. Malgré tout, Duhamel poursuit l’association en adaptant la musique de Vivaldi pour L'Enfant sauvage, une expérience heureuse. Domicile conjugal, avec la suite des aventures de Doinel, termine la collaboration Truffaut-Duhamel sur une note amère. Le musicien réduit alors sa production pour le cinéma pour un temps.
Truffaut revient vers Delerue pour trois films (dont La Nuit américaine) avant une parenthèse de quatre films qu’il consacre à Maurice Jaubert, musicien considéré comme le père de la musique de film française, ayant notamment écrit pour Marcel Carné et Julien Duvivier avant de mourir dans les premières semaines de la Seconde Guerre Mondiale. Truffaut contribue à l’édition discographique de certaines œuvres du musicien, en lien avec la réalisation de L'Histoire d'Adèle H., L'Argent de poche, L'Homme qui aimait les femmes et La Chambre verte. L’initiative sera saluée par Bertrand Tavernier et Antoine Duhamel.
En collaboration avec la MGM, Music Box Records présente, dans sa version complète et avec un son remasterisé, la bande originale du film La Sirène du Mississipi qui reprend le même contenu que l’édition Milan Records sortie en 1991, avec plus de 50 minutes de musique.
1. Louis Mahé attend la fiancée inconnue (02:46)
2. Le port (03:44)
3. Rencontre de l'énigmatique Julie / Est-ce le bonheur ? (04:21)
4. Qui est réellement Julie ? (01:59)
5. Julie la voleuse disparaît / L'enquête est lancée (01:59)
6. Louis quitte la Réunion à ses trousses / Cauchemar (04:16)
7. Julie-Marion retrouvée / Confession de Marion (06:33)
8. Le détective ne lâche pas la trace / Fugue amoureuse à Aix (02:57)
9. Refuge et meurtre dans la maison de Provence (04:53)
10. La planque à Lyon / Plus d'argent (02:47)
11. Querelle et angoissse (03:18)
12. La police les cerne / Fuite vers la neige (05:41)
13. La peau de chagrin / Le chalet des rats (03:48)
14. Souffrance et délivrance (02:39)
21. Floor (alternate) (1:09)
Durée totale • 51:53
http://www.musicbox-records.com/fr/cd-b ... ssipi.html
LA SIRÈNE DU MISSISSIPI (1969)
Musique composée et dirigée par Antoine Duhamel
Édition remasterisée et limitée à 500 exemplaires.
Livret de 8 pages, notes internes français-anglais par Gilles Loison.
Réf : MBR-065
Date de sortie : en stock
François Truffaut, critique acerbe des Cahiers du Cinéma, ne vit que pour le Septième Art. Avec ses amis de la Nouvelle Vague en lutte contre un cinéma traditionnel, il passe rapidement derrière la caméra pour mener une carrière de réalisateurs de films qu’il traite comme des romans. La musique y est une composante nécessaire pour donner des repères temporels ou émotionnels. Il trouve très vite, en la personne de Georges Delerue, un musicien idéal pour son univers. Pourtant, il fera appel à d’autres compositeurs tel que Bernard Herrmann, compositeur d’Alfred Hitchcock que Truffaut admire.
Antoine Duhamel est, comme Truffaut, un passionné de cinéma, fréquentant régulièrement la Cinémathèque française. Fils de l’écrivain Georges Duhamel, Antoine étudie la musique avec Olivier Messiaen et René Leibowitz. Il compose des œuvres dodécaphoniques et s’intéresse au jazz. Le cinéma se rapproche de lui en le sollicitant d’abord pour des films publicitaires et des courts métrages. Mais Duhamel se fait connaître grâce à la télévision avec les musiques de deux grands feuilletons, Le Chevalier de Maison-Rouge et Belphégor. C’est après sa participation au film de Godard, Pierrot le fou, qu’il est contacté par Truffaut.
Le réalisateur et le musicien se retrouvent autour de quatre films. Baisers volés est le troisième volet des aventures du double de Truffaut, Antoine Doinel. Le compositeur est confronté à la chanson de Charles Trenet Que reste-t-il de nos amours et s’appuie sur les trois premières notes de la mélodie pour construire sa partition. Il enchaîne ensuite avec La Sirène du Mississipi, aventure d’un amour passion d’après William Irish. Le résultat final déçoit le compositeur dont la partition a été largement amputée. Malgré tout, Duhamel poursuit l’association en adaptant la musique de Vivaldi pour L'Enfant sauvage, une expérience heureuse. Domicile conjugal, avec la suite des aventures de Doinel, termine la collaboration Truffaut-Duhamel sur une note amère. Le musicien réduit alors sa production pour le cinéma pour un temps.
Truffaut revient vers Delerue pour trois films (dont La Nuit américaine) avant une parenthèse de quatre films qu’il consacre à Maurice Jaubert, musicien considéré comme le père de la musique de film française, ayant notamment écrit pour Marcel Carné et Julien Duvivier avant de mourir dans les premières semaines de la Seconde Guerre Mondiale. Truffaut contribue à l’édition discographique de certaines œuvres du musicien, en lien avec la réalisation de L'Histoire d'Adèle H., L'Argent de poche, L'Homme qui aimait les femmes et La Chambre verte. L’initiative sera saluée par Bertrand Tavernier et Antoine Duhamel.
En collaboration avec la MGM, Music Box Records présente, dans sa version complète et avec un son remasterisé, la bande originale du film La Sirène du Mississipi qui reprend le même contenu que l’édition Milan Records sortie en 1991, avec plus de 50 minutes de musique.
1. Louis Mahé attend la fiancée inconnue (02:46)
2. Le port (03:44)
3. Rencontre de l'énigmatique Julie / Est-ce le bonheur ? (04:21)
4. Qui est réellement Julie ? (01:59)
5. Julie la voleuse disparaît / L'enquête est lancée (01:59)
6. Louis quitte la Réunion à ses trousses / Cauchemar (04:16)
7. Julie-Marion retrouvée / Confession de Marion (06:33)
8. Le détective ne lâche pas la trace / Fugue amoureuse à Aix (02:57)
9. Refuge et meurtre dans la maison de Provence (04:53)
10. La planque à Lyon / Plus d'argent (02:47)
11. Querelle et angoissse (03:18)
12. La police les cerne / Fuite vers la neige (05:41)
13. La peau de chagrin / Le chalet des rats (03:48)
14. Souffrance et délivrance (02:39)
21. Floor (alternate) (1:09)
Durée totale • 51:53