vic a écrit : ↑9 avr. 24, 11:34The Sweet East : 5/10
Vraiment pas ma tasse de thé : filmage en gros plan quasi constant agaçant, mise en scène ras des paquerettes, satire facile des groupuscules actifs dans la guerre civile culturelle... Pas l'ennui total grâce à la beauté des images et l'excellence de l'interprétation. Ca me donne l'impression que Williams a besoin d'un vrai co-scènariste capable de construire une histoire, pas juste d'aligner des péripéties.
vic a écrit : ↑9 avr. 24, 11:34The Sweet East : 5/10
Vraiment pas ma tasse de thé : filmage en gros plan quasi constant agaçant, mise en scène ras des paquerettes, satire facile des groupuscules actifs dans la guerre civile culturelle... Pas l'ennui total grâce à la beauté des images et l'excellence de l'interprétation. Ca me donne l'impression que Williams a besoin d'un vrai co-scènariste capable de construire une histoire, pas juste d'aligner des péripéties.
The Sweet East est capable de déconstruire une histoire, j'espère comme Riddle of Fire bientôt.
Question : est-ce que on demande à un film avant-gardiste de toute époque de le construire comme une histoire simple ? Peter Tscherkassky par exemple ?
Il reste encore demain de et avec Paola Cortellesi ( qui est une actrice formidable et une cinéaste déjà très douée) est une très jolie surprise dont je n'attendais rien de spécial et qui m'a souvent réjoui ou même ému.Pas un objet parfait mais des moments vraiment étonnants et au final assez harmonieux. Un ou deux moments un peu too much mais le positif l'emporte largement sur ces facilités. 8/10 La salle des profs d'Ilker Catak est intéressant, parfois malaisant mais un peu confus aussi dans es intentions. Des moments très tendus et sacrément efficaces en côtoient de plus improbables et du coup fragiles. Excellente actrice encore une fois. 6/10
J'attends avec impatience de pouvoir découvrir Les carnets de Siegfrid, Black flies et aussi Le mal n'existe pas après des semaines un peu creuses.