Vos découvertes contemporaines 2023

[Jack Carter]

Ajout de la version longue de The Hand de WKW (son segment du film Eros)

[nobody smith]

The Long Good Friday – John Mackenzie (1980)
Inu-Oh – Masaaki Yuasa (2021)
Tetsuo – Shin’ya Tsukamoto (1989)
Loving – Jeff Nichols (2016)
All the King’s Men – King Hu (1983)
Le sel de la terre – Juliano Ribeiro Salgado et Wim Wenders (2014)
Night on Earth – Jim Jarmusch (1991)
Le client - Asghar Farhadi (2016)
Une séparation – Asghar Farhadi (2011)
Happy End – Michael Haneke (2017)
Bullet Ballet – Shin’ya Tsukamoto (1998)
Tokyo Fist – Shin’ya Tsukamoto (1995)
Tchao pantin – Claude Berri (1983)
La fête du feu – Asghar Farhadi (2006)
Meurtre dans un jardin anglais – Peter Greenaway (1982)
Vox Lux – Brady Corbet (2018)
La famille indienne – Karan Johar (2004)
Paddington 2 – Paul King (2017)
Arion – Yoshikazu Yasuhiko (1986)
Bons baisers de Pékin – Stephen Chow et Lik-Chi Lee (1994)
Les enfants de Belle Ville – Asghar Farhadi (2004)
A propos d’Elly – Asghar Farhadi (2009)
Mon homme – Bertrand Blier (1996)
Le Traître – Marco Bellocchio (2019)
Beyond the infinite two minutes – Junta Yamaguchi (2020)

Une bonne année donc niveau découverte contemporaine

[cinéfile]

Par ordre alphabétique, (sans ordre de notation) :

Amour trop fort, L’ (Duval, 1981)
Atlantic city (Malle, 1980)
Celos (Aranda, 1999)
Chaplin (Attenborough, 1993)
Conte d'Automne (Rohmer, 1998)
Contes du hasard et autres fantaisies (Hamaguchi, 2022)
Coto de caza (Grau, 1983)
Eté en pente douce, L’ (Krawczyk, 1987)
Ex Machina (Garland, 2015)
Fantôme d’amour (Risi, 1981)
Femme du ministre, La (E. De La Iglesia, 1981)
Mademoiselle (Lioret, 2000)
Noces de sang (Saura, 1981)
Noir comme le souvenir (Mocky, 1995)
Sombras en una batalla (Camus, 1993)
Voyage en douce, Le (Deville, 1980)
Virée en enfer, Une (Dahl, 2001)

[MJ]

Récap', avec un peu d'avance sur le classement de décembre...

Août (avant l'explosion) (Avi Mograbi)
Buffalo '66 (Vincent Gallo)
Deux filles au tapis (Robert Aldrich)
La Discrète (Christian Vincent)
Distant Voices, Still Lives (Terence Davies)
Grandeur et décadence d'un petit commerce de cinéma (Jean-Luc Godard)
Guilty of Romance (Sono Sion)
Il n'y a pas de rapport sexuel (Raphaël Siboni) (en compétition avec The French de William Klein dans la catégorie sportive)
Life stinks (Mel Brooks)
Malmkrog (Cristi Puiu)
Museum Hours (Jem Cohen)
Neon Genesis Evangelion (Hideaki Anno) (oui : série, gnagnagna...)
Paradise Lost: The Child Murders at Robin Hood Hills (Joe Berlinger & Bruce Sinofsky)
Passion Fish (John Sayles)
Pistol Opera (Seijun Suzuki)
Pour un seul de mes deux yeux (Avi Mograbi)
Le Prédicateur (Robert Duvall)
Repo Man (Alex Cox)
Rhapsodie en août (Akira Kurosawa)
Rita, Susie et Bob aussi (Alan Clarke)
Le Sang du Châtiment (William Friedkin)
Star 80 (Bob Fosse)
Va savoir (Jacques Rivette)
La Vie au Ranch (Sophie Letourneur)
Z32 (Avi Mograbi)

[Lohmann]

Août (avant l'explosion) (Avi Mograbi)
Pour un seul de mes deux yeux (Avi Mograbi)
Z32 (Avi Mograbi)

Toujours de très bons films dans ta liste (bon Malmkrog m'a donné de l'urticaire, passons), mais content de voir ceux-là. Dans le contexte actuel ils sont particulièrement douloureux, je repense souvent à Pour un seul de mes deux yeux...

[MJ]

Dans le contexte actuel ils sont particulièrement douloureux, je repense souvent à Pour un seul de mes deux yeux...

Un peu gêné que le contexte ait inspiré de revenir à ce cinéaste que j'aimais bcp sans avoir bien exploré sa filmo. Films riches en moments douloureux effectivement (les enfants interrogés au début des années 2000 dans la rue à Tel Aviv dans Août... ; tous les échanges conjugaux de Z32 ; les séquences "touristiques" de Pour un seul de mes deux yeux...).

Ton urticaire devrait s'accentuer en 2024, une intégrale Cristi Puiu étant prévue.

[Velvet]

-(Re) découverte un peu tardive de Tarantino, avec Pulp fiction et Boulevard de la mort + revisionnage de Django. Je vais me faire toute sa filmo d'ici peu, PF m'a scotchée
-Videodrome et Faux semblants, Cronenberg
-Betty, Chabrol

[Jeremy Fox]

-(Re) découverte un peu tardive de Tarantino, avec Pulp fiction et Boulevard de la mort + revisionnage de Django. Je vais me faire toute sa filmo d'ici peu, PF m'a scotchée

Tu as encore quelques pépites à découvrir

[Lohmann]

La fin de l’année va se circonscrire aux dernières sorties 2023 voir quelques naphtas, plus de découvertes post 1979 à l’horizon.

PTU (Johnnie To, 2003) 8/10
Inland Empire (David Lynch, 2006) 8/10
Archipelago (Joanna Hogg, 2010) 8/10

Haut les mains! (Jerzy Skolimowski, 1981) 7/10
La Valse des pantins (Martin Scorsese, 1982) 7/10
Reprise (Hervé Le Roux, 1996) 7/10
Dogville (Lars von Trier, 2003) 7/10
Le Direktør (Lars von Trier, 2006) 7/10
La France (Serge Bozon, 2007) 7/10
La Comédie humaine (Kôji Fukada, 2008) 7/10
Oxhide II (Jiayin Liu, 2009) 7/10
Ceci n'est pas un film (Jafar Panahi, Mojtaba Mirtahmasb, 2011) 7/10
The Canyons (Paul Schrader, 2013) 7/10

[Jeremy Fox]

Reprise (Hervé Le Roux, 1996) 7/10

J'aimerais beaucoup le voir celui-ci ; j'avais adoré son Grand Bonheur l'année de sa sortie.

[MJ]

Haut les mains! (Jerzy Skolimowski, 1981) 7/10

A mon tour de m'être bien gratté devant celui-ci... j'en attendais bcp pourtant (quelques visions il est vrai stupéfiantes m'y attiraient).

[Lohmann]

Reprise (Hervé Le Roux, 1996) 7/10

J'aimerais beaucoup le voir celui-ci ; j'avais adoré son Grand Bonheur l'année de sa sortie.

Vu sur Tenk en début d'année, premier film de Le Roux que je vois. Il mériterait certainement une note un poil supérieure, mais comme je ne met pas de demi point... En tout cas oui je recommande chaudement

[Lohmann]

Haut les mains! (Jerzy Skolimowski, 1981) 7/10

A mon tour de m'être bien gratté devant celui-ci... j'en attendais bcp pourtant (quelques visions il est vrai stupéfiantes m'y attiraient).

Je me suis beaucoup gratté la tête devant d'autres Skolimowski des années 60 (dont celui-ci fait en fait parti vu qu'il a été tourné en 67), j'ai été soulagé d'enfin pouvoir pleinement en apprécier un !

[MJ]

(dont celui-ci fait en fait parti vu qu'il a été tourné en 67)

Tu l'as vu avec ou sans les ajouts 80's ? C'est la partie que je trouve imbitable.

[Lohmann]

(dont celui-ci fait en fait parti vu qu'il a été tourné en 67)

Tu l'as vu avec ou sans les ajouts 80's ? C'est la partie que je trouve imbitable.

Celle de 81. Le prologue ajouté n’est clairement pas ce que le film a de meilleur.