Vos découvertes naphtas 2023

[Jeremy Fox]

15ème édition pour ce topic qu'il n'est même plus besoin de présenter mais dont on rappelle qu'il sert à faire partager vos plus belles découvertes cinématographiques annuelles et élire votre film naphta de cette cuvée 2023. Comme bien définie désormais dans les différentes parties du forum, la partie naphta s'arrête en 1979 compris.

Pour mémoire :

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2009
2008


A vous de jouer

[Jeremy Fox]

En ce qui me concerne pour cette cuvée 2023, je n'aurais jamais cru élire un jour Molinaro en sommet de liste. Mais Delon y est aussi pour beaucoup.




* L'homme pressé : Edouard Molinaro 1977 : 8.5/10

* Jeanne Dilman, 23 quai du commerce 1080 Bruxelles : Chantal Akerman 1975 : 8/10
* Un autre homme, une autre chance : Claude Lelouch 1977 : 8/10
* La Dentellière : Claude Goretta 1977 : 7.5/10
* Soleil vert : Richard Fleischer 1973 : 7.5/10
* Du soleil plein les yeux : Michel Boisrond 1970 : 7/10
* Le Flic se rebiffe (The Midnight Man) : Roland Kibbee & Burt Lancaster 1974 : 7/10
* Le Diable boiteux : Sacha Guitry 1948 : 7/10
* La Ligne de démarcation : Claude Chabrol 1966 : 7/10
* La Guerre des polices : Robin Davis 1979 : 7/10
* Josey Wales hors la loi (Josey Wales) : Clint Eastwood 1976 : 7/10
* Cinquième colonne (Saboteur) : Alfred Hitchcock 1942 : 7/10
* Un seul amour (Jeanne Eagles) : George Sidney 1957 : 7/10
* La Route semée d'étoiles (Going my Way) : Leo McCarey 1944 : 7/10
* Girlfriends : Claudia Weill 1978 : 7/10
* L'Extase et l'Agonie (The Agony and the Ecstasy) : Carol Reed 1965 : 7/10

[Beule]

(Re)DÉCOUVERTES MAJEURES



Tonischka (Karl Anton)
♥ film naphta de l'année ♥
La Poupée (Wojciech J. Has)
Jaguar (Lino Brocka)
Osadeni Dushi (Vulo Radev)
Premier bal (Christian-Jaque)

*



The Shy Deceiver (Yôji Yamada)
La Place de la femme (Mikio Naruse)
Rantevou me mia agnosti (Vasilis Georgiadis)
Qui est le véritable assassin ? (Kô Nakahira)
Pauvres humains et ballons de papier (Sadao Yamanaka)



Naked Ambition (Kazuo Ikehiro)
The Love Eterne (Li Han-hsiang)
Le Chemin de l'espérance (Pietro Germi)
La Clepsydre (Wojciech J. Has)
La Tanière des brigands (Pietro Germi)



L'Aventure vient de la mer (Mitchell Leisen)
La Femme du docteur Hanaoka (Yasuzô Masumura)
Happy End (Oldrich Lipsky)
La Victime (Basil Dearden)
Chutaro of Banba (Nobuo Nakagawa)
A Speck in the Water (Ishmael Bernal)



Lui et moi (Kô Nakahira)
Jean's Blues: No Future (Sadao Nakajima)
L'Impasse maudite (Hugo Fregonese)
Les Amoureux (Mai Zetterling)
Cambio de sexo (Vicente Aranda)



Journal d'un prédateur (Kô Nakahira)
Three Yakuza (Tadashi Sawashima)
Kôchiyama Sôshun (Sadao Yamanaka)
Romance for Bugle (Otakar Vavra)
La Grande victoire (Yôji Yamada)



Le Dernier jour de l'été (Tadeusz Konwicki)
Le Voleur de pêches (Vulo Radev)
Le Trou (Kon Ichikawa)
Variétés (Ewald André Dupont)
Le Vagabond nostalgique (Yôji Yamada)
Anna (Pierre Koralnik)
L'Homme perdu (Peter Lorre)



Hester Street (Joan Micklin Silver)
The Desperate (Takaharu Saeki)
Pluie soudaine (Mikio Naruse)
Le Cœur d'une épouse (Mikio Naruse)
Leo the Last (John Boorman)
This Is How We Were Before... How Are You Doing Now? (Eddie Romero)



Le Crime de Giovanni Episcopo (Alberto Lattuada)
Marketa Lazarova (Frantisek Vlacil)
Tentations (Kô Nakahira)
Pain aux noix (Arunas Zebriunas)
Buone notizie (Elio Petri)
Le Moulin du Pô (Alberto Lattuada)



Viol en première page (Marco Bellocchio)
Todo modo (Elio Petri)
L'Hôpital (Arthur Hiller)
Diary of a Mad Housewife (Frank Perry)
Élégie de l'amour (Yôji Yamada)
Duvidha (Mani Kaul)


Addendum

Quelques oublis notables.



Un accident de chasse (Emil Loteanu)
Cuba (Richard Lester)
Les Demoiselles de Wilko (Andrzej Wajda)
Mimino (Gueorgui Danielia)
An Innocent Witch (Heinosuke Gosho)
Yoba (Tadashi Imai)

...

*

[murphy]

Douze mois, douze "découvertes naphtas" 2023

Je n'achète quasiment jamais de livres ou de revues sur le cinéma, ne regarde ni n'écoute d'émission cinéma (sauf cette année un peu les archives du Masque et la Plume mis en ligne ces derniers mois sur You Tube) et je regarde rarement les bonus de DVD.
DVD Classik est ma seule bible. Les films cités ci-dessous sont des films que j'ai vu en piochant au gré de mes balades dans les différents topics de ce forum et des chroniques du site.

Nuages épars - Mikio Naruse

Spoiler (cliquez pour afficher)

J'avais en tête ce commentaire ci-dessous

il faut ABSOLUMENT que tu vois Nuages Flottants, pour moi l'un des plus grands chefs d'oeuvres du cinéma japonais (et donc mondial), l'équivalent d'un Rashomon, d'un Contes de La Lune Vague après la Pluie ou d'un Intendant Sansho (mais histoire radicalement différente et contemporaine). Un film vraiment merveilleux avec la sublime Hideko Takamine.

et lorsque je suis tombé sur ce "Nuages épars", je n'ai pas hésité une seconde.

Les Nuits de Cabiria - Federico Fellini
Le tueur s'est évadé - Budd Boetticher
Panique année zéro - Ray Milland

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Je voulais voir à la base "Terre brulée" mais je n'en ai jamais eu l'occasion (je ne me souviens plus comment j'en ai entendu parler). Par ricochet, je suis tombé sur cette discussion qui m'a aiguillé sur ce Panique année Zero, je connaissais juste Ray Milland comme acteur et je ne savais pas qu'il avait été également réalisateur.

Mon cher vic tu me tentes vraiment la avec ce film!

Réalisé par Ray Milland mais joue t'il dedans ?

Peux tu nous en dire plus sur de terrifiant film d'anticipation?

Stefan

Oui, Ray Milland y a aussi le role principal. Tout petit budget, n&b, sorte de "survival" politique et post-apo totalement atypique. Y est posé de manière radicale la question de la responsabilité individuelle et du vieil adage "la fin justifie les moyens"... Je n'en dis pas plus, il faut le voir.
Le film a eu, je pense, une influence sur le Cornel Wilde de No Blade of Grass (aka Terre Brulée)

Le film a eu, je pense, une influence sur le Cornel Wilde de No Blade of Grass (aka Terre Brulée)

Bien vu !

L'Étrange Incident - William Wellman
Une vie difficile - Dino Rissi

Spoiler (cliquez pour afficher)

Pour "une vie difficile", c'est cette conversation qui m'a donné envie de voir le film :

Dans ce cas-là, même si mon souvenir est un peu lointain, Une vie difficile est presque davantage un drame qu'une comédie non ?

Il y a toute une veine de ce qu'on appelle la "comédie italienne" qui n'a presque plus grand chose, en apparence, de la comédie, et qui pourtant, constitue la colonne vertébrale du genre (*).
Les gens qui me disent qu'ils se tapent les côtes sur Une vie difficile, La Grande pagaille, La Grande guerre, Nous nous sommes tant aimés ou Les Camarades, je les crois pas, et pourtant, ce sont des comédies italiennes indispensables.

Je voulais voir de quoi ça a l'air une comédie pas comique

Los olvidados - Luis Bunel
The Line- up - Don Siegel

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Les longues chroniques, je me dis : "tiens, ça doit être bien ça" mais je lis pas forcément la chronique car j'ai peur d'être spoilé, je la mets de côté en attendant de voir le film car je préfère le découvrir en n'en sachant le moins possible, je mets alors la chronique de côté et j'y reviens plus tard.

"La ronde du crime" : petit chef d'œuvre assez fou.

La vie privée de Sherlock Holmes - Billy Wilder
Je suis un fugitif - Alberto Cavalcanti

Spoiler (cliquez pour afficher)

Celui là, je l'ai regardé car je suis tombé sur cette photo ci-dessous sur la page de la chronique de DVD Classik et ça m'a fait penser au jeu Limbo auquel j'ai rejoué cette année :

L'inconnu - Tod Browning
L'homme à l'affut - Edward Dmytryk

[Père Jules]

Et Beule qui régale encore...

Une vie difficile - Dino Rissi

Tu fais plaisir !

[Jack Carter]

C’est pour ça que j’aime ce topic : on y découvre des cinéastes peu connus comme Rissi, Bunel

Je note.

[Commissaire Juve]

Ben, pour de la découverte, c'est de la découverte !
Chez Jeremy, j'en connais 5... Chez Beule, seulement 2.
(Murphy ne sent pas le gaz, mais on a tapé en même temps.)

Cette année, j'ai acheté 96 vidéogrammes :

- 51 naphta
- 45 films plus ou moins récents
(dont 16 rachats... en HD ou en DVD parce que les BLU avaient "roté")

Je n'ai quasiment rien regardé à la télévision. Et j'ai surtout vécu sur mon stock.

Eh bien, sur 50 naphta (il y en a 1 que je n'ai pas vu),
un seul m'a laissé un souvenir sympathique ! (avec quelques réserves)
Tous les autres étaient plus ou moins OK, sans être réellement "emballants" ou "marquants".

EDIT : bon, allez... trois !

DONC... rrroulez tambours !...

- Typhon sur Nagasaki (Yves Ciampi, 1957).
- La Vie conjugale (Cayatte, 1964)
- La Bourse et la vie (Mocky, 1966)

EDIT :

une curiosité :

- Autour d'une enquête (Henri Chomette, Robert Siodmak, 1931)

[Jeremy Fox]

Eh bien, sur 47 naphta (il y en 4 que je n'ai pas encore reçus),
un seul m'a laissé un souvenir sympathique ! (avec quelques réserves)
Tous les autres étaient plus ou moins OK, sans être réellement "emballants" ou "marquants".

Le post déprimant du jour !

[The Eye Of Doom]

Eh bien, sur 47 naphta (il y en 4 que je n'ai pas encore reçus),
un seul m'a laissé un souvenir sympathique ! (avec quelques réserves)
Tous les autres étaient plus ou moins OK, sans être réellement "emballants" ou "marquants".

Le post déprimant du jour !

Sur.
Avec un tel rendement (ratio films emballants / films vus ), il faut se poser deux questions :
Soit faire autrechose de ses soirées
Soit changer de stratégie sur le choix des films vus : ? l’emballant est peut etre ailleurs ?

Bon, facile de commenter quand on a pas encore fait son coming-out sur 2023.
Je m’y colle ce we.
Mais le gagnant sera forcément :

Spoiler (cliquez pour afficher)

[Commissaire Juve]

Eh bien, sur 47 naphta (il y en 4 que je n'ai pas encore reçus),

Le post déprimant du jour !

Hello ! J'ai reçu et visionné un 48e naphta.
J'ai donc édité et ajouté ce titre à la rubrique "curiosités".

[Jeremy Fox]

Le post déprimant du jour !

Hello ! J'ai reçu et visionné un 48e naphta.
J'ai donc édité et ajouté ce titre à la rubrique "curiosités".

si on n'est pas en forme, le risque de piquer un roupillon n'est pas négligeable.

Pas vraiment emballant non plus

[innaperfekt_]

Sujet intéressant. Je crois n'avoir pas été très assidu cette année mais l'arrivée dans cette agora cinéphile va sans doute me redonner une motivation pour 2024.
Je crois que le naphta m'ayant le plus marqué cette année est sans doute Coming Home de Hal Ashby, étant un amoureux de la thématique du conflit américano-vietnamien dans l'art, et surtout découvrant finalement Ashby un peu tard, sa sensibilité, son sens de la narration, son pouvoir dans l'élégie. Et ce morceau de Tim Buckley à la fin. Bouleversant.

[Jeremy Fox]

Je crois n'avoir pas été très assidu cette année mais l'arrivée dans cette agora cinéphile va sans doute me redonner une motivation pour 2024.

On l'espère bien

[Jack Carter]

Il est de ces oeuvres televisuelles de cineastes tellement puissantes qu'elle s'eleve sans souci comme des sommets de leurs filmographies (Cuore, Pinnocchio, La Maison des bois, Fanny et Alexandre, Scenes de la vie conjugale, Journal d'un maitre d'ecole, Berlin Alexanderplatz, Le Decalogue, etc....) et abolissent la frontiere entre television et cinema.
A l'instar de certains titres cités, mon "film" (puisqu'il s'agit d'un telefilm en quatre parties) de l'année a connu une distribution en version courte en salles (dans son pays d'origine).

Aki Kaurismaki approved

Les Huit balles meurtrières (Mikko Niskanen, 1972)

Deux reyoyures à la hausse

La Riviere d'argent (Raoul Walsh, 1948)
Le Prete-Nom (Martin Ritt, 1975)


Decouvertes et Redecouvertes (*)

Pepites

Coeurs brulés (Josef von Sternberg, 1930) *
Le Pot d'un million de ryo (Sadao Yamanaka, 1935)
L'Etoile du Nord (Lewis Milestone, 1943)
Adieu Cherie (Raymond Bernard, 1946)
Nous etions jeunes (Binka Jeliazkova, 1961)
Kuroneko (Kaneto Shindo, 1968) *
Confession d'un commissaire de police au procureur de la republique (Damiano Damiani, 1971) *
Mort à Venise (Luchino Visconti, 1971)
Nous sommes tous en liberté provisoire (Damiano Damiani, 1971)
Mon Oncle Antoine (Claude Jutra, 1971)
Les Huit balles meurtrières (Mikko Niskanen, 1972)
Welfare (Frederick Wiseman, 1975)
La Dentelliere (Claude Goretta, 1977)


Excellents

Orages (William Wyler, 1931)
La Divine (Yonggang Wu, 1934)
L'Ensorceleuse (Frank Borzage, 1938)
L'Impasse maudite (Hugo Fregonese, 1950)
Mardi ça saignera ! (Hugo Fregonese, 1954)
Quand gronde la colere (John Guillermin, 1960)
Adieu Philippine (Jacques Rozier, 1962) *
Bye Bye Birdie (George Sidney, 1963)
Le Terroriste (Gianfranco De Bosio, 1963)
Delit de fuite (Mikio Naruse, 1966)
Soleil O (Med Hondo, 1967)
La Rosiere de Pessac (Jean Eustache, 1968)
Joe, c'est aussi l'Amerique (John G. Avildsen, 1970) *
La Maudite galette (Denys Arcand, 1972)
Gina (Denys Arcand, 1975)
Les Tsiganes montent au ciel (Emil Loteanu, 1976)
Los placeres ocultos (Eloy de la Iglesia, 1977)
Goodbye and Amen (Damiano Damniani, 1977)
El Deputado (Eloy de la Iglesia, 1978)


Très bons

Tih-Minh (Louis Feuillade, 1918)
Le Dernier des Mohicans (Maurice Tourneur, Clarence Brown, 1920)
Pecheur d'Islande (Jacques De Baroncelli, 1924)
La Vendeuse de cigarettes du Moselprom (Yuri Zhelyabuzhsky, 1924)
Femmes et voyous (Yasujiro Ozu, 1933)
Le Baiser devant le miroir (James Whale, 1933)
Court-circuit (James Whale, 1933)
La Justice des hommes (George Stevens, 1942)
La Symphonie fantastique (Christian-Jaque, 1942)
Ordet (Gustav Molander, 1943)
La Femme que j'ai assassiné (Jacques Daniel-Norman, 1948)
Une Ville natale (Yong-Gyu Yoon, 1949)
Trotacalles (Matilde Landeta, 1951)
Roberto la douceur (Fernando Mendez, 1951)
Je ne suis pas une heroine (Compton Bennett, 1952)
Le Village près du ciel (Leopold Lindtberg, 1953)
Segundo Lopez (Ana Mariscal, 1953)
Si tous les gars du monde... (Christian-Jaque, 1956)
L'Evadé du camp 1 (Roy Ward Baker, 1957)
Les Sept tonnerres (Hugo Fregonese, 1957)
Orfeu Negro (Marcel Camus, 1959) *
El Esqueleto de la Senora Morales (Rogelio A. González, 1960)
Le Miroir de la sorcière (Chano Urueta, 1962)
Le Temple des oies sauvages (Yûzô Kawashima, 1962)
J'me balade dans Moscou/Romance à Moscou (Georgiy Daneliya, 1964)
Rue des cascades/ Un Gosse de la butte (Maurice Delbez, 1964)
Du coté de Robinson/Les Mauvaises frequentations (Jean Eustache, 1964) *
La Donna del lago (Luigi Bazzoni, 1965)
Le Père Noel a les yeux bleus (Jean Eustache, 1966) *
A Colt is my passport (Takashi Nomura, 1967)
La Poupée (Wojciech Has, 1968)
Harry Plotnik seul contre tous (Michael Roemer, 1970)
La Vieille fille (Jean-Pierre Blanc, 1972)
Big Guns/Tony Arzenta (Duccio Tessari, 1973)
La Déchéance de Franz Blum (Reinhard Hauff, 1974)
Comment tuer un juge ? (Damiano Damiani, 1975)
Le Jardin qui bascule (Guy Gilles, 1975)
Alice, sweet Alice (Alfred Sole, 1976)
C'etait un reve (Mike De Leon, 1977)
Le Cercle infernal (Richard Loncraine, 1977)
La Consequence (Wolfgang Petersen, 1977)
De cierta manera (Sara Gomez, 1977)
L'Attaque du fourgon blindé (Bruce Beresford, 1978)
The Lake (Lindsey C. Vickers, 1978)
Sweeney 2 (Tom Clegg, 1978)
Girlfriends (Claudia Weill, 1978)
Cher Papa (Dino Risi, 1979)

[manuma]

Le Terroriste (Gianfranco De Bosio, 1963)

Celui-là devrait également ressortir dans ma liste annuelle.