Festival Hallucinations collectives

[mannhunter]

Compte-rendu du festival:

https://www.courte-focale.fr/cinema/fes ... 022-bilan/

[tenia]

Je vois que je ne suis pas seul à trouver que The Sadness tourne quand même très très vite à vide passé l'enquillage de scènes sanglantes (pas forcément gores, d'ailleurs, mais juste dégoulinantes de sang), et avec effectivement un gros manque de structure et de crescendo. Marrant deux minutes, totalement oubliable ensuite.

[mannhunter]

Je vois que je ne suis pas seul à trouver que The Sadness tourne quand même très très vite à vide passé l'enquillage de scènes sanglantes (pas forcément gores, d'ailleurs, mais juste dégoulinantes de sang), et avec effectivement un gros manque de structure et de crescendo. Marrant deux minutes, totalement oubliable ensuite.

G.T.O n'a pas été très convaincu non plus apparemment, il lui colle un petit 3/10.

[Flol]

G.T.O n'a pas été très convaincu non plus apparemment

Quelle surprise.

[Jack Carter]

Les titres de l'edition 2023 (4 au 10 avril) sont devoilés petit à petit sur le facebook des Hallus

Pour le moment, ça donne

Section "Cabinet de curiosités"

-La Derniere maison sur la gauche (Wes Craven, 1972)
-L'Inconnu de Shandigor (Jean-Louis Roy, 1967)
-Gloria Mundi (Nikos Papatakis, 1976)
-Le Temple du Lotus rouge/Burning paradise (Ringo Lam, 1994)
-House (Nobuhiko Obayashi, 1977)
-L.A plays itself & Sextool (Fred Halsted, 1972)
-Combat schock (Buddy Giovinazzo, 1984) en presence du realisateur
-Dr Caligari (Stephen Sayadian, 1989)
-Joe, c'est aussi l'amerique (John G. Avildsen, 1970)


Thematique : En pleine rue

-Smithereens (Susan Seidelman, 1982)
-Pïxote, la loi du plus faible (Hector Babenco, 1980)
-Style wars (Tony Silver, 1983)
-Streetwise (Martin Bell, 1984)

Je posterai le reste de la prog' au fur et à mesure des annonces

[Jack Carter]

Thématique "Déviations : 3 films de José Ramón Larraz"

Vampyres (1974)
Black candles/Los Ritos sexuales del diable (1982)
Whirlpool (1970)

[Flol]

Section "Cabinet de curiosités"

-La Derniere maison sur la gauche (Wes Craven, 1972)
-L'Inconnu de Shandigor (Jean-Louis Roy, 1967)
-Gloria Mundi (Nikos Papatakis, 1976)
-Le Temple du Lotus rouge/Burning paradise (Ringo Lam, 1994)
-House (Nobuhiko Obayashi, 1977)
-L.A plays itself & Sextool (Fred Halsted, 1972)
-Combat schock (Buddy Giovinazzo, 1984) en presence du realisateur
-Dr Caligari (Stephen Sayadian, 1989)
-Joe, c'est aussi l'amerique (John G. Avildsen, 1970)

Le Craven est encore considéré comme une "curiosité" ?

[Jack Carter]

Section "Cabinet de curiosités"

-La Derniere maison sur la gauche (Wes Craven, 1972)
-L'Inconnu de Shandigor (Jean-Louis Roy, 1967)
-Gloria Mundi (Nikos Papatakis, 1976)
-Le Temple du Lotus rouge/Burning paradise (Ringo Lam, 1994)
-House (Nobuhiko Obayashi, 1977)
-L.A plays itself & Sextool (Fred Halsted, 1972)
-Combat schock (Buddy Giovinazzo, 1984) en presence du realisateur
-Dr Caligari (Stephen Sayadian, 1989)
-Joe, c'est aussi l'amerique (John G. Avildsen, 1970)

Le Craven est encore considéré comme une "curiosité" ?

C'est une section fourre-tout, on y trouve aussi bien des authentiques curiosités et des films "cultes"

Content de pouvoir revoir L'Inconnu de Shandigor et House sur grand ecran (enfin, si j'ai mes congés )

[Père Jules]

(enfin, si j'ai mes congés )

Tu seras pas en grève ?

[Jack Carter]

(enfin, si j'ai mes congés )

Tu seras pas en grève ?

[tenia]

-Joe, c'est aussi l'amerique (John G. Avildsen, 1970)

Après avoir lu Tarantino sur le film dans son bouquin Cinema Speculation, je ne peux pas imaginer voir le film autrement que comme une espèce de comédie bouseuse.

[Flol]

Oui. Alors que c'est tout sauf ça.

Spoiler (cliquez pour afficher)

Peter Boyle est absolument terrifiant en gros beauf raciste et homophobe, sorte de George Costanza qui aurait encore plus vrillé que chez Seinfeld, et qui ne rêve que d'une seule chose pour égayer sa pauvre vie monotone : tuer de jeunes voyous (AKA des hippies, "tous des nègres et des drogués !") de ses propres mains, quitte à entraîner les autres dans sa spirale infernale.

Joe dresse donc le portrait d'une Amérique à 2 visages, incapables de s'unir et dont la seule issue logique ne peut que baigner dans le sang et la violence. La scène finale est à ce titre particulièrement implacable.
Joe est fort, très fort.

[tenia]

En fait (et en gros, de mémoire), il explique que son personnage principal (et son pote) est tellement vulgaire, bas-du-front et bourrin qu'il en devient grotesque, sorte de tonton bourré raciste en fin de cuve de calva, et qu'à partir de là, le gros du film ressemble à une comédie très noire à la limite de la satire au sujet des classes aux USA.

[Flol]

Moui ok. J'ai tout de même le souvenir d'avoir très peu ri (au moins autant que devant Jack Mimoun).

[Joshua Baskin]

Moui ok. J'ai tout de même le souvenir d'avoir très peu ri (au moins autant que devant Jack Mimoun).

Oui c'est peu drôle. En revanche c'est hautement recommandable.