C'eût été parfait jusqu'à ce marqueur tout sauf populaire, j'en ai bien peur, un un amphigouri très répandu de la pire espèce avec le galvaudage récurrent de -phobie mis à toutes les sauces. La sortie de la cage aux phobes, tant attendue par Muray, attendra.Tina Quintero a écrit : ↑13 août 23, 14:11En effet, mais je tiens à garder des marqueurs populaires dans mon discours (l'élision dans ce cas n'est de toute façon pas du tout obligatoire, et devient même rare). L'objectif de mon message était avant tout de me moquer gentiment de la glottophobie dont faisait preuve nosferatu90, pas de remplir des pages de grammaire !
Il ne s'agissait pas d"une phobie, fût-elle linguistique ou sociolectale, sauf en novlangue identitaire, car on n'est pas dans la peur ou l'aversion irrationnelle (cf. différence entre gynécophobie et misogynie) mais tout simplement de ne pas aimer ou d'être opposé, sans haïr trop fort dans ce cas, une faute réelle, qui nuit à la lisibilité d'un texte. Un peu comme la novlangu.e, dans un autre genre.
Sans oublier enfin qu'il s'agissait aussi de typographie, pas juste de grammaire ou même de syntaxe, avec la concordance des temps, plutôt assertive selon des justifications disons, opportunistes.