Bienvenue à Gattaca (Andrew Niccol - 1997)
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Bienvenue à Gattaca (Andrew Niccol - 1997)
Je viens de le revoir en DVD... C'est amusant de voir comment Niccol arrive à faire croire à l'improbable (ne pas être reconnu par son physique). Le spectateur accepte presque de lui mème tous ces hics et supposées invraisemblances. Autant de choses qui marcheront bizarrement encore dans "Truman Show"... Mais plus du tout dans "Simone". Il faut dire qu'un film comme "Gattaca" donne plus une impression d'abstraction, . Les références à un glamour années 30 dans les décors et les costumes achèvent de donner à l'ensemble un caractère vraiment intemporel. Dans "Truman" et "Gattaca" on a le sentiment de films extrèmement intimes, le dehors et la société existent finalement peu (mis à part le centre de "Gattaca", et quelques lieus, rien d'autre n'existe vraiment ici... l'erreur de "Simone" est sans doute son ambition d'avoir voulu aussi faire exister la masse dans un contexte de farce, du coups on y croit plus).
Niccol arrive à créer de nouvelles normes que l'on ne discute mème pas. Son art d'introduction y est sans doute pour beaucoups. Après le générique sublime et la présentationtrès simple des lieux, le miracle d'acceptation est déjà opéré: le flash back d'une vingtaine de minutes achève l'intégration.
Je trouve "Gattaca" bouleversant... Il fonctionne presque comme une série de vignettes, chargées successivements en abstraction ou émotion. L'Image récurrente de ces deux frères s'affrontant à la nage dans l'Océan, une route à traverser malgré le flou de la myopie, une aurore, un couple essouflée suivie d'un des plus beaux baisers du cinéma ou encore Jude law se trainant dans l'escalier... le tout est presque berçée par une forme de musicalité, celle monotone du fonctionneemnt de Gattaca ou des subterfurges de Vincent... Musicalité soutenue par la B.O minimaliste de Michael Nyman qui signe là une de ses toute meilleurs partitions (j'ai les larmes qui montent facile en écoutant les différents thèmes).
Dérrière la froideur des images de la photo, il y a une vie sourde qui grouille. Le lisse étouffe: c'est ce à quoi les personnages sont condamnés, contre quoi ils essayent parfois d'exister.
Lorsqu'Andrew Niccol s'intérèsse à ce point à la norme, c'est moins un gros message idéologique qui en ressort que le rappel d'une forme très simple mais de plus en plus étouffée d'humanité. S'afranchir de la norme est avant tout une quète pour retrouver celà... Une quète toute universelle.
A noter que les scènes coupées du DVd sont très intéressantes... et rendent justice à la composition sacrifiée d'Ernest Bornigne.
6/6
Niccol arrive à créer de nouvelles normes que l'on ne discute mème pas. Son art d'introduction y est sans doute pour beaucoups. Après le générique sublime et la présentationtrès simple des lieux, le miracle d'acceptation est déjà opéré: le flash back d'une vingtaine de minutes achève l'intégration.
Je trouve "Gattaca" bouleversant... Il fonctionne presque comme une série de vignettes, chargées successivements en abstraction ou émotion. L'Image récurrente de ces deux frères s'affrontant à la nage dans l'Océan, une route à traverser malgré le flou de la myopie, une aurore, un couple essouflée suivie d'un des plus beaux baisers du cinéma ou encore Jude law se trainant dans l'escalier... le tout est presque berçée par une forme de musicalité, celle monotone du fonctionneemnt de Gattaca ou des subterfurges de Vincent... Musicalité soutenue par la B.O minimaliste de Michael Nyman qui signe là une de ses toute meilleurs partitions (j'ai les larmes qui montent facile en écoutant les différents thèmes).
Dérrière la froideur des images de la photo, il y a une vie sourde qui grouille. Le lisse étouffe: c'est ce à quoi les personnages sont condamnés, contre quoi ils essayent parfois d'exister.
Lorsqu'Andrew Niccol s'intérèsse à ce point à la norme, c'est moins un gros message idéologique qui en ressort que le rappel d'une forme très simple mais de plus en plus étouffée d'humanité. S'afranchir de la norme est avant tout une quète pour retrouver celà... Une quète toute universelle.
A noter que les scènes coupées du DVd sont très intéressantes... et rendent justice à la composition sacrifiée d'Ernest Bornigne.
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je n'accepterai pas la moindre critique envers ce film,que dis-je ce chef d'oeuvre du septiéme art...
un film magnifique,une fulgurante denonciation des derives de l'homme et de l'humanité tout entiére.un film qui me fait toujours froid dans le dos qaudn je le vois,car n'en doutons c'est le futur qui nous est decrit dans Gattaca,et ca va pas etre gai
un film magnifique,une fulgurante denonciation des derives de l'homme et de l'humanité tout entiére.un film qui me fait toujours froid dans le dos qaudn je le vois,car n'en doutons c'est le futur qui nous est decrit dans Gattaca,et ca va pas etre gai
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un de mes films préférés ... un vrai bijou
j'adore dans les bonus ,la bande annonce qui présente les "génies" de notre époque atteint de maladie et le message qui est délivré
ce que j'aime dans ce film c'est .... tout !!!
en plus j'ai beaucoup de point commun avec vincent...même taille ,myope ,gaucher,tachycarde,etc ... et bien monté (nan je déconne c'est jerome qu'est bien monté )
j'adore dans les bonus ,la bande annonce qui présente les "génies" de notre époque atteint de maladie et le message qui est délivré
ce que j'aime dans ce film c'est .... tout !!!
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quelle mémoire ce kyle !!!kyle reese a écrit :Tu parle de jérome le lapin qui fourni les pulls angora des modo ???phenryl a écrit :...même taille ,myope ,gaucher,tachycarde,etc ... et bien monté (nan je déconne c'est jerome qu'est bien monté )
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pour défendre les faibles et les opprimés ,je n'hésiterais pas à employer mes boules...de naphtaline ! je vous z'aime les z'amis ...