L'obituaire littéraire / BD

[Shin Cyberlapinou]

Akira Toriyama, 68 ans, des suites d'un hématome sous dural (une chute,?). Celui là il pique, il était pour ainsi semi retraité depuis les années 90 mais même au delà du facteur générationnel son apport au medium fut immense, j'aurais aimé le voir revenir à la comédie, ayant récemment découvert Sand Land, bientôt adapté en série animée.

[-Kaonashi-]

[hop je déplace mon message, plus approprié ici je pense]

Akira Toriyama, le papa de Dragon Ball et Docteur Slump, vient de disparaitre à l'âge de 68 ans. Il était aussi le designer des personnages des jeux vidéo Dragon Quest et Chrono Trigger. Il avait également designé les personnages des long-métrages Dragon Ball (dont le cultissime Broly) avant d'en écrire les scénarios à partir de Battle of Gods (2013). Il était aussi très impliqué dans le troisième animé, Dragon Ball Super (2015-2018) mais pas dans son adaptation en manga (toujours en cours). Dragon Ball aura fait de lui une énorme star mais aura pris une place trop importante dans sa vie, un peu comme Star Wars pour Georges Lucas, effaçant un peu trop ses autres oeuvres. Ce qui l'intéressait avant tout c'était les blagues loufoques et pleine de références à la pop culture qu'on pouvait lire dans Docteur Slump, bien plus que les combats sanglants typiques de DBZ. Mais le public en a décidé autrement. C'était un grand enfant, fan de films de kung-fu qui adorait monter des modèles réduits. Il était très attaché à sa vie paisible et isolée, entouré d'animaux et loin du tumulte de la ville.

Peut-être la plus grande légende du manga pour ma génération. C'est une énorme partie de mon enfance qui disparait

C'est pas banal d'apprendre cette nouvelle ce matin dans le journal de 7h de... France Culture. C'est le signe de la respectabilité du manga acquise ces 30 dernières années, et peut-être surtout que des personnes de ma/notre génération sont désormais bien placés dans les rédactions de grands médias.
Surprenant aussi, c'est l quasi absence de photos récentes de Toriyama. L'article du monde utilise une photo datant de 1982, c'est surprenant.

Mes gamins lisent le manga Dragon Ball Super, ils en ont regardé des films récents aussi, c'est à mes yeux catastrophique, comme le sont avec le recul la quasi totalité des animés DBZ de la "grande époque". Et l'adaptation en manga, c'est pas fameux non plus. J'en ai lu les 4 premiers tomes... En termes de dessin, on est très loin de la qualité de traits & de mise en page de Toriyama (et son équipe). À vrai dire ça m'avait attrister d'apprendre qu'il s'était encore une fois laissé embarquer dans un énième dérivé de Dragon Ball. La seul consolation c'est qu'il s'amusait quand-même par-ci par-là à quelques loufoqueries dont il avait le secret.
Il y a un côté un peu triste dans ce destin, prisonnier d'un titre phare monstrueux. Et en même temps, vu qu'on ne savait rien de lui, de comment il vivait réellement depuis plusieurs décennies, si ça se trouve, il était bien comme ça.

[Truffaut Chocolat]

[hop je déplace mon message, plus approprié ici je pense]

Akira Toriyama, le papa de Dragon Ball et Docteur Slump, vient de disparaitre à l'âge de 68 ans. Il était aussi le designer des personnages des jeux vidéo Dragon Quest et Chrono Trigger. Il avait également designé les personnages des long-métrages Dragon Ball (dont le cultissime Broly) avant d'en écrire les scénarios à partir de Battle of Gods (2013). Il était aussi très impliqué dans le troisième animé, Dragon Ball Super (2015-2018) mais pas dans son adaptation en manga (toujours en cours). Dragon Ball aura fait de lui une énorme star mais aura pris une place trop importante dans sa vie, un peu comme Star Wars pour Georges Lucas, effaçant un peu trop ses autres oeuvres. Ce qui l'intéressait avant tout c'était les blagues loufoques et pleine de références à la pop culture qu'on pouvait lire dans Docteur Slump, bien plus que les combats sanglants typiques de DBZ. Mais le public en a décidé autrement. C'était un grand enfant, fan de films de kung-fu qui adorait monter des modèles réduits. Il était très attaché à sa vie paisible et isolée, entouré d'animaux et loin du tumulte de la ville.

Peut-être la plus grande légende du manga pour ma génération. C'est une énorme partie de mon enfance qui disparait

C'est pas banal d'apprendre cette nouvelle ce matin dans le journal de 7h de... France Culture. C'est le signe de la respectabilité du manga acquise ces 30 dernières années, et peut-être surtout que des personnes de ma/notre génération sont désormais bien placés dans les rédactions de grands médias.
Surprenant aussi, c'est l quasi absence de photos récentes de Toriyama. L'article du monde utilise une photo datant de 1982, c'est surprenant.

Mes gamins lisent le manga Dragon Ball Super, ils en ont regardé des films récents aussi, c'est à mes yeux catastrophique, comme le sont avec le recul la quasi totalité des animés DBZ de la "grande époque". Et l'adaptation en manga, c'est pas fameux non plus. J'en ai lu les 4 premiers tomes... En termes de dessin, on est très loin de la qualité de traits & de mise en page de Toriyama (et son équipe). À vrai dire ça m'avait attrister d'apprendre qu'il s'était encore une fois laissé embarquer dans un énième dérivé de Dragon Ball. La seul consolation c'est qu'il s'amusait quand-même par-ci par-là à quelques loufoqueries dont il avait le secret.
Il y a un côté un peu triste dans ce destin, prisonnier d'un titre phare monstrueux. Et en même temps, vu qu'on ne savait rien de lui, de comment il vivait réellement depuis plusieurs décennies, si ça se trouve, il était bien comme ça.

la magie des ayants droits.
ça n'a plus grand chose à voir avec la valeur artistique, on est dans le produit dérivé pur et dur (Dragon Ball Super est paru dans le V-Jump, magazine des produits dérivés type jeux video, figurines etc).

[-Kaonashi-]

la magie des ayants droits.
ça n'a plus grand chose à voir avec la valeur artistique, on est dans le produit dérivé pur et dur (Dragon Ball Super est paru dans le V-Jump, magazine des produits dérivés type jeux video, figurines etc).

OK, je ne connaissais pas la spécificité de ce magazine.
Pour les droits, je me demande comment c'est gérer au Japon, sur ce type d'oeuvre (manga publié en feuilleton, soit la quasi totalité de la production manga). Est-ce que les mangaka ont un fort pourcentage ? ça doit évidemment beaucoup dépendre des auteurs, des séries, des éditeurs, etc. Vu de loin, ça semble tellement un monde impitoyable, la publication de manga, avec le rythme de production effréné, les sondages auprès des lecteurs?
Il me semble que Toriyama aurait volontiers lâché Dragon Ball assez tôt, dès l'arc Piccolo je crois. La pression éditoriale et financière devait être forte, vu qu'il a quand-même eu quasiment 30 volumes ensuite. Il y a certainement eu des négos à ce moment et un peu plus tard, à la fin de chaque arc. Il se disait que pour toute la dernière partie il était à peine présent.

[Spongebob]

Merci pour le rapatriement de post. Toriyama c'était avant tout un gag-man. Ce qu'il aimait surtout c'était écrire et dessiner des mangas comiques bourrés de blagues un peu idiotes. C'est ce qui l'a rendu riche et célèbre à travers sa première série à succès, Dr Slump. Il aimait aussi les récits de grandes aventures, ce à quoi correspond les premiers chapitres de la saga Dragon Ball. Le manga était pré-publié au Japon dans la magazine Weekly Shonen Jump, magazine qui demandait chaque semaine à ses lecteurs de voter pour sa publication préféré. D'abord très populaire, Dragon Ball a rapidement baissé dans les sondages suite à la fin du premier arc (qui se conclut avec la première apparition du dragon Shenron). Le personnage de Son Goku était alors assez mal défini, il lui manquait un but, un objectif à atteindre. Et c'est là qu'est apparu le premier grand tournoi d'arts martiaux : le 21ème Tenkaichi Budokai. Influencé par le succès du manga Kinnikuman (Muscle Man) qui rencontrait alors un grand succès grâce à ses combats de catch débridés aux techniques loufoques, l'éditeur de Toriyama a poussé le jeune mangaka à aller dans cette direction. Et ils ont bien fait car c'est à partir de la que le manga a redécollé. C'est aussi devenu un piège pour l'auteur qui a par la suite été forcé d'introduire de plus en plus de combats et de plus en plus de violence afin d'attirer toujours plus de lecteurs.

Il a voulu arrêter son mangas plusieurs fois : à la fin de l'arc Piccollo Daimao (resté son méchant préféré), puis à la fin de l'arc Freezer, mais surtout après l'arc Cell, vu comme trop répétitif. Avec l'arc Majin Boo il a souhaité réintroduire un ton plus naïf et blagueur, ce qui a malheureusement entrainé une baisse de popularité sur la fin. Il a arrêté son manga phare presque sur un coup de tête car il n'avait juste plus d'idée, il était essoré dans tous les sens du terme.

Si vous souhaitez en savoir d'avantage sur Toriyama et Dragon Ball je vous conseille la lecture de ce livre :

Spoiler (cliquez pour afficher)

https://www.fnac.com/a13173551/William- ... earchpos=1

[Shin Cyberlapinou]

Si vous souhaitez en savoir d'avantage sur Toriyama et Dragon Ball je vous conseille la lecture de ce livre :

Spoiler (cliquez pour afficher)

https://www.fnac.com/a13173551/William- ... earchpos=1

Merci pour la suggestion, je me suis mis il y a peu à certaines histoires méconnues (notamment Sand Land, dont l'adaptation animée doit sortir sur Disney + dans quelques jours) dont je ne saurais dire s'il s'agissait de simples récréations plus légères ou de tentatives avortées d'échapper à Dragon Ball (la très courte série Go Go Ackman aura quand même eu son OAV et 4 jeux vidéo), on parle d'un dessinateur/designer exceptionnel que j'aurais voulu voir plus affranchi des très lourdes contraintes de l'édition japonaise, qui vont jusqu'à affecter la santé de leur auteurs (avec un rythme de travail plus humain un Tezuka aurait sûrement vécu plus longtemps que ses 59 ans). RIP, et là ça pique.

[Truffaut Chocolat]

la magie des ayants droits.
ça n'a plus grand chose à voir avec la valeur artistique, on est dans le produit dérivé pur et dur (Dragon Ball Super est paru dans le V-Jump, magazine des produits dérivés type jeux video, figurines etc).

OK, je ne connaissais pas la spécificité de ce magazine.
Pour les droits, je me demande comment c'est gérer au Japon, sur ce type d'oeuvre (manga publié en feuilleton, soit la quasi totalité de la production manga). Est-ce que les mangaka ont un fort pourcentage ? ça doit évidemment beaucoup dépendre des auteurs, des séries, des éditeurs, etc. Vu de loin, ça semble tellement un monde impitoyable, la publication de manga, avec le rythme de production effréné, les sondages auprès des lecteurs?
Il me semble que Toriyama aurait volontiers lâché Dragon Ball assez tôt, dès l'arc Piccolo je crois. La pression éditoriale et financière devait être forte, vu qu'il a quand-même eu quasiment 30 volumes ensuite. Il y a certainement eu des négos à ce moment et un peu plus tard, à la fin de chaque arc. Il se disait que pour toute la dernière partie il était à peine présent.

Aucune idée du %, par contre Toriyama n'était pas propriétaire de son oeuvre, car en soi rien ne les empêche de faire appel à quelqu'un d'autre pour perpétuer le truc, comme ils le font avec Toyotaro pour DB Super par exemple.
Si tu veux vraiment contempler le fond du puis, ouvre une page Super Dragon Ball Heroes (ou pire, regarde un episode d'anime), c'est la tristance absolue.

Merci pour le rapatriement de post. Toriyama c'était avant tout un gag-man. Ce qu'il aimait surtout c'était écrire et dessiner des mangas comiques bourrés de blagues un peu idiotes. C'est ce qui l'a rendu riche et célèbre à travers sa première série à succès, Dr Slump. Il aimait aussi les récits de grandes aventures, ce à quoi correspond les premiers chapitres de la saga Dragon Ball. Le manga était pré-publié au Japon dans la magazine Weekly Shonen Jump, magazine qui demandait chaque semaine à ses lecteurs de voter pour sa publication préféré. D'abord très populaire, Dragon Ball a rapidement baissé dans les sondages suite à la fin du premier arc (qui se conclut avec la première apparition du dragon Shenron). Le personnage de Son Goku était alors assez mal défini, il lui manquait un but, un objectif à atteindre. Et c'est là qu'est apparu le premier grand tournoi d'arts martiaux : le 21ème Tenkaichi Budokai. Influencé par le succès du manga Kinnikuman (Muscle Man) qui rencontrait alors un grand succès grâce à ses combats de catch débridés aux techniques loufoques, l'éditeur de Toriyama a poussé le jeune mangaka à aller dans cette direction. Et ils ont bien fait car c'est à partir de la que le manga a redécollé. C'est aussi devenu un piège pour l'auteur qui a par la suite été forcé d'introduire de plus en plus de combats et de plus en plus de violence afin d'attirer toujours plus de lecteurs.

Il a voulu arrêter son mangas plusieurs fois : à la fin de l'arc Piccollo Daimao (resté son méchant préféré), puis à la fin de l'arc Freezer, mais surtout après l'arc Cell, vu comme trop répétitif. Avec l'arc Majin Boo il a souhaité réintroduire un ton plus naïf et blagueur, ce qui a malheureusement entrainé une baisse de popularité sur la fin. Il a arrêté son manga phare presque sur un coup de tête car il n'avait juste plus d'idée, il était essoré dans tous les sens du terme.

Si vous souhaitez en savoir d'avantage sur Toriyama et Dragon Ball je vous conseille la lecture de ce livre :

Spoiler (cliquez pour afficher)

https://www.fnac.com/a13173551/William- ... earchpos=1

Y'a qq années j'étais tombé sur l'interview de son éditeur (à moins que ce soit Toriyama lui, même je sais plus) qui expliquait comment ils bossaient en tandem. Le vrai changement de braquet c'était l'influence de Hokuto No Ken: il fallait recentrer l'histoire sur un seul personnage avec des seconds rôles qui gravitent autour.

Si vous souhaitez en savoir d'avantage sur Toriyama et Dragon Ball je vous conseille la lecture de ce livre :

Spoiler (cliquez pour afficher)

https://www.fnac.com/a13173551/William- ... earchpos=1

Merci pour la suggestion, je me suis mis il y a peu à certaines histoires méconnues (notamment Sand Land, dont l'adaptation animée doit sortir sur Disney + dans quelques jours) dont je ne saurais dire s'il s'agissait de simples récréations plus légères ou de tentatives avortées d'échapper à Dragon Ball (la très courte série Go Go Ackman aura quand même eu son OAV et 4 jeux vidéo), on parle d'un dessinateur/designer exceptionnel que j'aurais voulu voir plus affranchi des très lourdes contraintes de l'édition japonaise, qui vont jusqu'à affecter la santé de leur auteurs (avec un rythme de travail plus humain un Tezuka aurait sûrement vécu plus longtemps que ses 59 ans). RIP, et là ça pique.

J'adore Sand Land, sur le fond comme la forme c'est du Toriyama pur jus, visuellement c'est digne des canons de Dragon Ball et y'a cette défense de l'écologie et de la nature contre les mégamachines qui fonctionne bien.
L'un de mes préférés c'est Jaco le patrouilleur galactique, même si la patte n'est déjà plus trop là, un peu trop statique, c'est une petite histoire rigolote et pleine de tendresse autour de Dragon Ball.

[Nazario9]

Globalement d'accord avec ce qui se dit ici, un auteur génial mais qui s'est fait dévorer par son oeuvre. Quand on lit l'ensemble des ses one-shot ou courtes séries, tous reviennent plus ou moins aux sources de l'aventure et de la naiveté des premiers tomes de DB ou Dr Slump. Je ne connaissait même pas l'existence de Super Dragon Ball Heroes, mon dieu…
On sait qu'il a continué DB contre son gré, et je connait peu l'univers de l'édition nippone mais j'ai l'impression que même les auteurs reconnus ont un rapport de force inégal avec leur maisons d'éditions, par rapport à ce que l'on pourrait voir en Europe.
Bon il était depuis longtemps à l'abri financièrement mais décidément les grand Mangakas ne semblent pas faire de vieux os.

[Truffaut Chocolat]

Globalement d'accord avec ce qui se dit ici, un auteur génial mais qui s'est fait dévorer par son oeuvre, quand on lit l'ensemble des ses one-shot ou courtes séries, tous reviennent plus ou moins aux sources de l'aventure et de la naiveté des premiers tomes de DB ou Dr Slump. Je ne connaissait même pas l'existence de Super Dragon Ball Heroes, mon dieu…
On sait qu'il a continué DB contre son gré, et je connait peu l'univers de l'édition nippone mais j'ai l'impression que même les auteurs reconnus ont un rapport de force inégal avec leur maisons d'éditions, par rapport à ce que l'on pourrait voir en Europe.
Bon il était depuis longtemps à l'abri financièrement mais décidément les grand Mangakas ne semblent pas faire de vieux os.

Aucune idée de comment DB est devenue une franchise, mais je me demande si Naruto ou One Piece ont le même souci.

[LeRationaliste]

A plus petite échelle, ça arrive aussi : Shiori Teshirogi, autrice du spin-off de Saint Seiya The Lost Canvas, a fini par prolonger le manga au-delà du raisonnable alors qu'elle s'était promise d'écrire un manga de fantasy ensuite.

L.R

[Joshua Baskin]

Né en 1980, spectateur absolument pas assidu de Dragon Ball au Club Dorothée, je ne savais absolument pas qui il était.

[Spongebob]

Né en 1980, spectateur absolument pas assidu de Dragon Ball au Club Dorothée, je ne savais absolument pas qui il était.

Alors que tu avais l'âge parfait pour apprécier Dragon Ball qui a débarqué au Club Dorothé en 1988. Que s'est-il passé ???

[Boubakar]

Effondré par la nouvelle, comme si j'avais perdu un proche, car au fond, Dragon Ball a toujours fait partie de ma vie, et ce aujourd'hui encore. Pour moi, c'était un évènement comme Star wars a pu l'être pour des enfants des années 1970.

Ça fait vraiment chier, tiens...

[Flol]

Né en 1980, spectateur absolument pas assidu de Dragon Ball au Club Dorothée, je ne savais absolument pas qui il était.

Alors que tu avais l'âge parfait pour apprécier Dragon Ball qui a débarqué au Club Dorothé en 1988. Que s'est-il passé ???

Je suis étrangement dans le même cas que Joshua : j'ai beau être né pile pendant la bonne période pour découvrir tout ça, et alors que je regardais régulièrement du Dragonball à la télé (mais sans jamais avoir été passionné, tout comme je n'ai jamais ressenti l'envie ou le besoin de me plonger dans les mangas...je n'ai d'ailleurs jamais lu de manga de ma vie), eh bien je découvre un peu le nom de son auteur.

[Joshua Baskin]

Alors que tu avais l'âge parfait pour apprécier Dragon Ball qui a débarqué au Club Dorothé en 1988. Que s'est-il passé ???

Je suis étrangement dans le même cas que Joshua : j'ai beau être né pile pendant la bonne période pour découvrir tout ça, et alors que je regardais régulièrement du Dragonball à la télé (mais sans jamais avoir été passionné, tout comme je n'ai jamais ressenti l'envie ou le besoin de me plonger dans les mangas...je n'ai d'ailleurs jamais lu de manga de ma vie), eh bien je découvre un peu le nom de son auteur.

Voilà, je ne suis absolument pas culture manga, bien que j'apprécie beaucoup certains animes.