Sissy Spacek

Rubrique consacrée au cinéma et aux films tournés avant 1980.

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Alexandre Angel
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Re: Sissy Spacek

Message par Alexandre Angel »

Flol a écrit : 4 mars 24, 14:27 Hum. Et pas un mot sur...enfin tu vois, quoi ? :oops:
:shock:
J'ignorais totalement qu'il y avait une scène de sexe torride dans ce film.
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.

m. Envoyé Spécial à Cannes pour l'Echo Républicain
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manuma
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Re: Sissy Spacek

Message par manuma »

Jeremy Fox a écrit : 4 mars 24, 06:42 L'homme dans l'ombre de Jack Fisk chroniqué par Agathe Kowalski.
:shock: On dirait bien que je suis au cœur de l'actualité pour une fois !
Flol a écrit : 4 mars 24, 14:27 Hum. Et pas un mot sur...enfin tu vois, quoi ? :oops:
Grosse attente évidemment à ce niveau, d'autant qu'ils sont de plus en plus rares, les scores de Goldsmith que je découvre "avec les images".

Et ce n'est évidemment pas le moindre des plaisirs offerts par le film, Goldsmith se trouvant alors, pour moi, au sommet de son art sur cette période. Après, je ne sais pas si c'est simplement lié à la période au cours de laquelle se déroule le récit, sensiblement la même, mais sa partition m'a, sur certaines séquences, renvoyé au bon souvenir du The Other de Mulligan.
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manuma
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Re: Sissy Spacek

Message par manuma »

BEYOND THE CALL (1996)

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Plaidoyer anti-peine capitale, évoquant dans la foulée le phénomène du stress post-traumatique vécu par les vétérans du Vietnam, Beyond the call a beaucoup de chance d'avoir à son bord le trio Sissy Spacek - David Strathairn - Arliss Howard. Les 3 jouent leur partition avec l’intensité, le sérieux sans faille qu’on leur connait - je trouve même Howard impressionnant dans la séquence où il « craque ». Mais, à côté de ça, pas grand-chose à signaler : c’est la petite routine télé, notamment du côté de la réalisation de Tony Bill, plus statique que sobre à mon goût. Par ailleurs, Beyond the call a évidemment le handicap d’arriver après pas mal d’autres titres plus marquants sur la peine de mort, Dead man walking en tête, mais également, pour le petit écran, écrit par le même Doug Magee, l’excellent (dans mon souvenir) Somebody has to shoot the picture de Frank Pierson.
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