A Most Violent Year (J.C. Chandor - 2014)
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Re: A Most Violent Year (J.C. Chandor - 2014)
J'ai l'impression que ma blagounette était un poil trop ésotérique...
Meilleur topic de l'univers
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- ed
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Re: A Most Violent Year (J.C. Chandor - 2014)
FlûteAtCloseRange a écrit :J'ai l'impression que ma blagounette était un poil trop ésotérique...
Me, I don't talk much... I just cut the hair
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Re: A Most Violent Year (J.C. Chandor - 2014)
tu gagnes un kilo de bulles de champagne!ed a écrit :FlûteAtCloseRange a écrit :J'ai l'impression que ma blagounette était un poil trop ésotérique...
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Re: A Most Violent Year (J.C. Chandor - 2014)
Elle était pas mal, en effet (j'étais passé au travers).
- Alexandre Angel
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Re: A Most Violent Year (J.C. Chandor - 2014)
Enfin vu et conquis!
C'est effectivement très ciselé, sobre; le sujet est original, inhabituel.. Contrairement à ce que son titre pourrait laisser imaginer, le film ne montre que peu de violence mais elle est là, tapie, aux aguets (ce qui apporte de la crédibilité) et surgit subrepticement, non pas pour faire dans le tapageur, comme dans la plupart des films, mais pour entretenir l'inquiétude (la séquence du cerf est remarquable de ce point de vue).
De plus, j'aime bien le maniérisme du film qui consiste à reproduire l'ambiance, la tension, la texture des Sidney Lumet de la grande époque. Et la reconstitution est formidable : on croit à 1981 jusque dans la façon dont Oscar Isaac fait son jogging.
Chandor a de très bons patronages : Lumet , donc, mais aussi le Mulligan de The Nickel Ride.
Je m'achèterai le BR!
C'est effectivement très ciselé, sobre; le sujet est original, inhabituel.. Contrairement à ce que son titre pourrait laisser imaginer, le film ne montre que peu de violence mais elle est là, tapie, aux aguets (ce qui apporte de la crédibilité) et surgit subrepticement, non pas pour faire dans le tapageur, comme dans la plupart des films, mais pour entretenir l'inquiétude (la séquence du cerf est remarquable de ce point de vue).
De plus, j'aime bien le maniérisme du film qui consiste à reproduire l'ambiance, la tension, la texture des Sidney Lumet de la grande époque. Et la reconstitution est formidable : on croit à 1981 jusque dans la façon dont Oscar Isaac fait son jogging.
Chandor a de très bons patronages : Lumet , donc, mais aussi le Mulligan de The Nickel Ride.
Je m'achèterai le BR!
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.
m. Envoyé Spécial à Cannes pour l'Echo Républicain
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- Howard Hughes
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Re: A Most Violent Year (J.C. Chandor - 2014)
Si j'avais bien apprécié Margin Call, ce Most violent year m'avait par contre totalement laissé de marbre
- AntonChigurh
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Re: A Most Violent Year (J.C. Chandor - 2014)
Pas vu Margin Call mais ce Most Violent year ne m'a fait ni chaud ni froid également au premier visionnage.Torrente a écrit :Si j'avais bien apprécié Margin Call, ce Most violent year m'avait par contre totalement laissé de marbre
J'avoue que je l'avais vu dans de piètres conditions (dimanche soir, Arte, énormes sous-titres jaunes sur l'image), ça n'a pas aidé à l'apprécier à sa juste valeur mais j'ai tout de même souvenir d'un film peu passionnant voire même légérement soporifique , Oscar Isaac ne m'a pas convaincu...
Il vient d'être ajouté sur Netflix, je vais lui redonner sa chance car j'ai souvenir d'une belle mise en scène avec une photo sombre et froide mais le scénario et l'interprétation ne m'ont pas emporté...
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- Howard Hughes
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Re: A Most Violent Year (J.C. Chandor - 2014)
Je l'avais vu en salles pour ma part, gratuitement (donc il n'y a même pas l'argument "j'ai payé pour ça" ).
Je garde le même souvenir que toi. C'était pas non plus atroce, je n'avais pas trouvé le temps trop long, je m'étais tranquillement "laissé faire", mais disons que je m'attendais à beaucoup plus.
J'ai le souvenir d'avoir été déçu par l'écriture des personnages, le déroulement du scénario... l'écriture tout court mais le reste (l'emballage) m'avait plu.
Je garde le même souvenir que toi. C'était pas non plus atroce, je n'avais pas trouvé le temps trop long, je m'étais tranquillement "laissé faire", mais disons que je m'attendais à beaucoup plus.
J'ai le souvenir d'avoir été déçu par l'écriture des personnages, le déroulement du scénario... l'écriture tout court mais le reste (l'emballage) m'avait plu.
- Jeremy Fox
- Shérif adjoint
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Re: A Most Violent Year (J.C. Chandor - 2014)
Revu ce jour et toujours aussi admiratif. Le plus beau personnage incarné par Oscar Isaacs et son plus grand rôle à ce jour.
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- Régisseur
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Re: A Most Violent Year (J.C. Chandor - 2014)
Pas revu, mais j'avais adoré ce film. L'un des tout meilleurs de ces dix dernières années...Jeremy Fox a écrit :Revu ce jour et toujours aussi admiratif. Le plus beau personnage incarné par Oscar Isaacs et son plus grand rôle à ce jour.
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- Régisseur
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Re: A Most Violent Year (J.C. Chandor - 2014)
Decouvert hier soir.
On est en terrain connu ( Il y a un côté Soprano, dans le recit des vicissitudes de la petite entreprise… ) mais ….
La photo est somptueuse : l’ouverture est saisissante , avec ce new-york gelé aux 1ere heure du jour et sa lumière incroyable.
L’histoire est prenante et Chandor evite ou contourne avec finesse toutes les scènes attendues et/ou clichés
Par exemple : Peu d’actions, pas de scenes de sex, …
Tres belle interpretation.
Le film n’est pas exempt de facilité :
On est en terrain connu ( Il y a un côté Soprano, dans le recit des vicissitudes de la petite entreprise… ) mais ….
La photo est somptueuse : l’ouverture est saisissante , avec ce new-york gelé aux 1ere heure du jour et sa lumière incroyable.
L’histoire est prenante et Chandor evite ou contourne avec finesse toutes les scènes attendues et/ou clichés
Par exemple : Peu d’actions, pas de scenes de sex, …
Tres belle interpretation.
Le film n’est pas exempt de facilité :
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