la_vie_en_blueray a écrit :J'imagine que les derniers plaisent bien a ceux qui pensent que le cinema doit s'inspirer des jeux videos.
Pourquoi pas...le ciné s'inspire des romans, des comics, des jeux vidéos, ça me parait logique vu le poids de cette industrie à l'heure actuelle (qui a d'ailleurs dépassé le ciné en terme de revenus)...je dis ça et pourtant la dernière fois que j'ai joué à un jeu vidéo ça devait être missile command sur Atari
Sinon j'aime bien tout ce qui tourne autour de la "famille", c'est évidemment très gros mais bon c'est un message positif plutôt sympa, de bonnes valeurs d'entraide et d'amitié ça n'a jamais fait de mal amha.
J'attends impatiemment le spin of avec Jason et le Rock d'ailleurs
hellrick a écrit :Sinon j'aime bien tout ce qui tourne autour de la "famille", c'est évidemment très gros mais bon c'est un message positif plutôt sympa, de bonnes valeurs d'entraide et d'amitié ça n'a jamais fait de mal amha.
Et puis c'est une tradition américaine bien ancrée, qui doit bien nous venir des westerns, au moins.
Bon, là, c'est surtout que Diesel joue comme une brouette au regard de veau, à répéter "la famille" toutes les 2 phrases.
Mais le pire, ça reste pour moi, "l'hommage" rendu à Walker dans le précédent. J'étais atterré
hellrick a écrit :Sinon j'aime bien tout ce qui tourne autour de la "famille", c'est évidemment très gros mais bon c'est un message positif plutôt sympa, de bonnes valeurs d'entraide et d'amitié ça n'a jamais fait de mal amha.
Et puis c'est une tradition américaine bien ancrée, qui doit bien nous venir des westerns, au moins.
Bon, là, c'est surtout que Diesel joue comme une brouette au regard de veau, à répéter "la famille" toutes les 2 phrases.
Mais le pire, ça reste pour moi, "l'hommage" rendu à Walker dans le précédent. J'étais atterré
Dans l'absolu je pourrais être d'accord avec hellrick, mais le traitement qui en est fait est une catastrophe.
Clear Eyes, Full Hearts Can't Lose !
« S’il est vrai que l’art commercial risque toujours de finir prostituée, il n’est pas moins vrai que l’art non commercial risque toujours de finir vieille fille ».
Erwin Panofsky
harry a écrit :Ha tiens... Ça faisait longtemps qu’on avait pas eu le tube « Spielberg et Lucas ont tues Hollywood »...
La méconnaissance du reportage qui fout BvS (le film de super héros mal aimé le plus décrié de la génération) dans les « boites de soupe » Marvel.
Allez on zappe.
Doc intéressant (pas grand chose de neuf certes pour qui connaît déjà l’histoire du code Hays) au moins jusqu’aux Dents de la mer qui aboutie au raccourci en forme de conclusion qu’apres avoir lutté et vaincu la censure (catholique), Hollywood se l’ai de nouveau appliquée pour livrer des produits aseptisés au monde entier.
Quant à la subtilité que tu pointes, « BvS (et donc DC) ce n’est pas du Marvel », effectivement cela passe au-dessus des auteurs (et de la majorité des gens).
la_vie_en_blueray a écrit :Ce n'est pas Spielberg qui a fait flopper Sorcerer, Heaven's Gate, Coup de Coeur, Blow out, etc Tous en même temps.
A un moment le public a voulu penser à autre chose, avec le chomage qui montait, etc et le film depressif du Nouvel Hollywood ne suffisait plus.
Ça fait 45 ans alors que le public pense à autre chose à cause du chômage, alors.
Dans les années 70, les gens avaient autant sinon plus de soucis qu’aujourd’hui.
Je ne suis pas sûr qu’il y ai vraiment un lien entre situation économique et le sérieux des films. Hollywood s’adapte surtout à la culture et à la conscience politique du public qui se rend en salle. Les blockbusters de Spielberg et Lucas correspondent à l’arrivée en salle d’une jeunesse biberonnée à la télévision des années 60-70 tandis que leurs parents avaient davantage une culture littéraire, par exemple.
Rashomon a écrit :
harry a écrit :Ha tiens... Ça faisait longtemps qu’on avait pas eu le tube « Spielberg et Lucas ont tues Hollywood »...
Alors qu'ils l'ont au contraire ressuscité (je développe si ça intéresse quelqu'un)
Of course.
Dernière modification par Supfiction le 23 sept. 18, 17:21, modifié 1 fois.
la_vie_en_blueray a écrit :Ce n'est pas Spielberg qui a fait flopper Sorcerer, Heaven's Gate, Coup de Coeur, Blow out, etc Tous en même temps.
A un moment le public a voulu penser à autre chose, avec le chomage qui montait, etc et le film depressif du Nouvel Hollywood ne suffisait plus.
Oui, Spielberg et Lucas ont bon dos même si je l'ai souvent dit dans le passé (j'ai un peu muri depuis ).
Mais tout de même : mai 1981 sort (en France) Heaven's Gate, dans sa version de 2h30. Passent les grandes vacances et début septembre sort Raiders of the Lost Ark : une page qui se tourne de la sorte, ça ne s'invente pas.
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.
m. Envoyé Spécial à Cannes pour l'Echo Républicain
Alexandre Angel a écrit :
Oui, Spielberg et Lucas ont bon dos même si je l'ai souvent dit dans le passé (j'ai un peu muri depuis ).
Mais tout de même : mai 1981 sort (en France) Heaven's Gate, dans sa version de 2h30. Passent les grandes vacances et début septembre sort Raiders of the Lost Ark : une page qui se tourne de la sorte, ça ne s'invente pas.
3 mois c'est beaucoup pour decorreler les 2. Le premier avait largement eu le temps de crever avant Septembre.
Tu m'aurais di Sorcerer et Star Wars qui sortent la même semaine
Alexandre Angel a écrit :
Oui, Spielberg et Lucas ont bon dos même si je l'ai souvent dit dans le passé (j'ai un peu muri depuis ).
Mais tout de même : mai 1981 sort (en France) Heaven's Gate, dans sa version de 2h30. Passent les grandes vacances et début septembre sort Raiders of the Lost Ark : une page qui se tourne de la sorte, ça ne s'invente pas.
3 mois c'est beaucoup pour decorreler les 2. Le premier avait largement eu le temps de crever avant Septembre.
Tu m'aurais di Sorcerer et Star Wars qui sortent la même semaine
Non mais ce que je veux dire est que c'est tout un symbole : la même année, un volcan s'éteint, un autre s'éveille.. (Heaven's Gate sort, je suis encore au collège, Raiders sort quand je rentre au lycée : je suis sûr que ça été pensé comme ça ). Avec Raiders, on rentre dans une ère nouvelle même si pas mal d'effluves du Nouvel Hollywood allaient encore perdurer (Sanglantes confessions, Ragtime, Amadeus, La Maîtresse du Lieutenant français..)
Et oui, 3 mois, c'est beaucoup : on avait quand même la belle vie!
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.
m. Envoyé Spécial à Cannes pour l'Echo Républicain