Et 6/6 pour le fabuleux générique de début. Avec les filles en mini-jupes.Profondo Rosso a écrit : 1/6 pour le score pop jazzy de John Barry
Le reste effectivement est un peu daté.
Modérateurs : cinephage, Karras, Rockatansky
Le film a en effet plutôt vieilli (il reste assez sympa tout de même), et reste moins inventif (je trouve) que A Hard Day's Night du même réal.julien a écrit :Le reste effectivement est un peu daté.
Je sais c'est pas drôle, mais ca paraît tellement incroyableAtCloseRange a écrit :Royal Flash - Encore un grand merci pour ARTE pour cette vraie version multilingue avec de la VF, de la VO et de la VO sous-titrée. A moins que Jerry Lewis ne soit aux commandes d'Arte, j'ai du mal à comprendre comment un tel massacre peut se comprendre.
Oui, celui là était pas mal. L'humour tombe à plat une fois sur deux mais quand ça marche, ça marche bien et puis les scènes de duel avait vraiment de la gueule.AtCloseRange a écrit :Royal Flash - Richard Lester
Passé un excellent moment devant ce film picaresque.
Malcolm McDowell est formidable et le sens du slapstick de Lester fait souvent mouche (le baptême d'un train ou une tentavie d'évasion sur un "cheval").
Dommage que ça patine un peu plus dans la dernière partie.
Encore un grand merci pour ARTE pour cette vraie version multilingue avec de la VF, de la VO et de la VO sous-titrée. A moins que Jerry Lewis ne soit aux commandes d'Arte, j'ai du mal à comprendre comment un tel massacre peut se comprendre.
On aura compris que je n'avais pas comprisAtCloseRange a écrit :j'ai du mal à comprendre comment un tel massacre peut se comprendre.
J'ai découvert ce film hier soir, je suis assez d'accord avec toi. L'exemple typique du film qui a voulu faire moderne et qui sonne maintenant terriblement daté, tant le metteur en scène semble avoir voulu en rajouter. Il y a deux trois idées visuelles amusantes, surtout au début avec notamment la file des nanas qui attendent leur tour devant la porte du tombeur, mais ça ne sauve pas grand chose, le film s'enlisant progressivement. Même sentiment sur les dialogues, certes assez libéré mais finalement surtout très lourd. Ca se veut libre, jeune et moderne, mais à force de faire n'importe quoi c'est surtout lourd et ennuyeux. Je sauve deux trois moments de sourire et la musique de Barry qui lui semblait très inspiré. C'était bien le seul.Profondo Rosso a écrit :The Knack and How to get it de Richard Lester (1965)
L'exemple typique de la production à la pointe la modernité dans les 60's et pratiquement irregardable aujourd'hui. On suis le duel entre un instituteur timide et maladroit et son colocataire tombeur de ses dames pour les grâce d'une jeune fille. Experimentations datées et inutiles de Lester (accélérations,avalanches de zoom, caméra à l'épaule à foisons,rembobinages...)qui se veulent psyché, narration brouillone, le tout contribuant à un ensemble des plus plombant et ennuyeux. Un cachet "jeune" assez caricatural où ils sont présenté comme tellement libre face au vieux obtus et coincés. Hormis une certaines liberté de ton dans les dialogues pour l'époque concernant le sexe quasi rien à sauver.Heureusement ça a le mérité d'être court, 1h20 à peine quoique ça fait long le scopitone. Si ses film sur les Beatles sont du même acabit je crois que je vais m'abstenir malgré mon amour des Fab Four. 1/6 pour le score pop jazzy de John Barry
ça m'était aussi passé au-dessus de la tête.Rick Blaine a écrit :J'ai découvert ce film hier soir, je suis assez d'accord avec toi. L'exemple typique du film qui a voulu faire moderne et qui sonne maintenant terriblement daté, tant le metteur en scène semble avoir voulu en rajouter. Il y a deux trois idées visuelles amusantes, surtout au début avec notamment la file des nanas qui attendent leur tour devant la porte du tombeur, mais ça ne sauve pas grand chose, le film s'enlisant progressivement. Même sentiment sur les dialogues, certes assez libéré mais finalement surtout très lourd. Ca se veut libre, jeune et moderne, mais à force de faire n'importe quoi c'est surtout lourd et ennuyeux. Je sauve deux trois moments de sourire et la musique de Barry qui lui semblait très inspiré. C'était bien le seul.Profondo Rosso a écrit :The Knack and How to get it de Richard Lester (1965)
L'exemple typique de la production à la pointe la modernité dans les 60's et pratiquement irregardable aujourd'hui. On suis le duel entre un instituteur timide et maladroit et son colocataire tombeur de ses dames pour les grâce d'une jeune fille. Experimentations datées et inutiles de Lester (accélérations,avalanches de zoom, caméra à l'épaule à foisons,rembobinages...)qui se veulent psyché, narration brouillone, le tout contribuant à un ensemble des plus plombant et ennuyeux. Un cachet "jeune" assez caricatural où ils sont présenté comme tellement libre face au vieux obtus et coincés. Hormis une certaines liberté de ton dans les dialogues pour l'époque concernant le sexe quasi rien à sauver.Heureusement ça a le mérité d'être court, 1h20 à peine quoique ça fait long le scopitone. Si ses film sur les Beatles sont du même acabit je crois que je vais m'abstenir malgré mon amour des Fab Four. 1/6 pour le score pop jazzy de John Barry
Et non toujours rien vu entretemps mais je tenterais. J'avais redonné sa chance à Richard Lester sur d'autres films c'était quand même mieux passé que sur celui-là (le pire restant sa trilogie sur les Trois Mousquetaires) même si jamais complètement convaincu par ce réalisateur.AtCloseRange a écrit : Je ne sais pas si Profondo a vu les films des Beatles depuis mais ça vaut largement plus le coup.