Walter Lang (1896-1972)

Rubrique consacrée au cinéma et aux films tournés avant 1980.

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Sybille
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Re: Walter Lang (1896-1972)

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State fair / La foire aux illusions
Walter Lang (1945) :

Comédie musicale bon enfant, "State fair" est un spectacle divertissant hélas quelque peu limité. C'est-à-dire que ces fermiers de l'Iowa sont certe débonnaires en diable, distillent avec générosité une bonne humeur pas tout à fait communicatrice, néanmoins agréable, mais font en même temps état d'une banalité sans couleur, n'ayant rien de mieux à offrir que ces caractéristiques attendues. Ce ne serait pas si grave, mais il se trouve également que le scénario pèche par son manque d'intérêt : les deux jeunes gens qui découvrent chacun les plaisirs et les ingratitudes de l'amour au cours d'une fête foraine, le tout entremêlé d'intermèdes comiques (autrement dit pénibles) tels que la dégustation du meilleur cornichon ou encore l'exhibition des plus beaux porcs primés. Les acteurs, passables, n'en demeurent pas moins convainquants. La mise en scène de Walter Lang est correcte sans faire d'étincelles, tandis que la décoration foraine, qui aurait pu donner lieu à un spectacle magique, gouailleur et pittoresque, reste au lieu de ça tristement confinée à quelques baraques et attractions grossières. La partition musicale de Rodgers et Hammerstein détient quelques bonnes chansons, mais même elle reste partiellement gâchée par la mollesse environnante.

Un 'musical' tout à fait regardable, mais avec bien peu d'éclat. 6/10
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Demi-Lune
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Re: Walter Lang (1896-1972)

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Jeremy Fox a écrit :Image

Le Roi et moi (The King and I, 1956)

Une institutrice anglaise va tenter de faire évoluer les moeurs un peu 'rustres' du roi de Siam dont on lui a demandé d'éduquer ses femmes et ses 106 enfants !

Messages de respect et de tolérance pour une des adaptations les plus célèbres du tandem Richard Rodgers/ Oscar Hammerstein. Malheureusement, le film ne tient pas ses promesses et devant la longueur et le statisme de chaque séquence, c'est l'ennui qui finit par l'emporter. Beaucoup de coupables dans l'affaire à commencer par Richard Rodgers dont le livret est loin d'être un de ses meilleurs, bien au contraire. Hormis 'The March of the Siamese Children' le sublime instrumental qui fait office de thème principal que l'on entend lors du générique, 'I Whistle A Happy Tune' et 'Hello,Young Lovers', le reste parait bien fade. Ensuite, les décorateurs, malgré l'immense budget à leur disposition, ne nous offrent que du toc assez indigeste ; dans le domaine du musical exotique, il suffit de comparer avec les somptueux décors de Kismet quasiment à la même période pour s'en rendre compte. Enfin, Walter Lang semble paralysé par le scope qu'il avait pourtant assez bien mis en valeur précédemment dans le mal aimé There's No Business Like Show Business autrement plus plaisant. Heureusement, il reste le cabotinage assez amusant de Yul Brynner et une Deborah Kerr plutôt convaincante ; les scènes mettant en scène le 'couple' sont plutôt agréables mais ce sont bien les seules. Walter Lang avait 10 ans avant réalisé une très sympathique adaptation des duettistes Rodgers et Hammerstein avec State Fair. Il n'a pas renouvelé cette réussite faute aussi à un scénario très peu passionnant. Dommage
Entièrement d'accord avec toi. C'est une bonne initiative que Gulli fasse un cycle de comédies musicales de l'âge d'or, mais n'y avait-il pas meilleur choix que ce film statique, terriblement longuet et sirupeux ? En tout cas de mon côté c'est une déception. Je me suis bien tourné les pouces. L'histoire est peu intéressante et la partition inégale (heureusement, ils ne sont pas allés jusqu'à doubler les chansons). L'aspect toc des décors serait sans doute moins sensible si Lang bougeait un peu sa caméra qui paraît lestée par deux enclumes. Le film charme quand même grâce à son duo et le travail sur les couleurs, et la fin va à contre-courant, mais on est loin des grandes réussites du genre.
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Re: Walter Lang (1896-1972)

Message par AtCloseRange »

Demi-Lune a écrit :
Jeremy Fox a écrit :Image

Le Roi et moi (The King and I, 1956)

Une institutrice anglaise va tenter de faire évoluer les moeurs un peu 'rustres' du roi de Siam dont on lui a demandé d'éduquer ses femmes et ses 106 enfants !

Messages de respect et de tolérance pour une des adaptations les plus célèbres du tandem Richard Rodgers/ Oscar Hammerstein. Malheureusement, le film ne tient pas ses promesses et devant la longueur et le statisme de chaque séquence, c'est l'ennui qui finit par l'emporter. Beaucoup de coupables dans l'affaire à commencer par Richard Rodgers dont le livret est loin d'être un de ses meilleurs, bien au contraire. Hormis 'The March of the Siamese Children' le sublime instrumental qui fait office de thème principal que l'on entend lors du générique, 'I Whistle A Happy Tune' et 'Hello,Young Lovers', le reste parait bien fade. Ensuite, les décorateurs, malgré l'immense budget à leur disposition, ne nous offrent que du toc assez indigeste ; dans le domaine du musical exotique, il suffit de comparer avec les somptueux décors de Kismet quasiment à la même période pour s'en rendre compte. Enfin, Walter Lang semble paralysé par le scope qu'il avait pourtant assez bien mis en valeur précédemment dans le mal aimé There's No Business Like Show Business autrement plus plaisant. Heureusement, il reste le cabotinage assez amusant de Yul Brynner et une Deborah Kerr plutôt convaincante ; les scènes mettant en scène le 'couple' sont plutôt agréables mais ce sont bien les seules. Walter Lang avait 10 ans avant réalisé une très sympathique adaptation des duettistes Rodgers et Hammerstein avec State Fair. Il n'a pas renouvelé cette réussite faute aussi à un scénario très peu passionnant. Dommage
Entièrement d'accord avec toi. C'est une bonne initiative que Gulli fasse un cycle de comédies musicales de l'âge d'or, mais n'y avait-il pas meilleur choix que ce film statique, terriblement longuet et sirupeux ? En tout cas de mon côté c'est une déception. Je me suis bien tourné les pouces. L'histoire est peu intéressante et la partition inégale (heureusement, ils ne sont pas allés jusqu'à doubler les chansons). L'aspect toc des décors serait sans doute moins sensible si Lang bougeait un peu sa caméra qui paraît lestée par deux enclumes. Le film charme quand même grâce à son duo et le travail sur les couleurs, et la fin va à contre-courant, mais on est loin des grandes réussites du genre.
J'avais trouvé ça horrible (et pourtant, je suis client de Rodgers et Hammerstein). Et ce que je comprends le moins, c'est réputation du film pour la prestation de Yul Brynner que j'ai trouvé insupportable. Je conseille très largement la version non musicale Anna et le roi de Siam avec Rex Harrison qui est très supérieure.
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Jeremy Fox
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Re: Walter Lang (1896-1972)

Message par Jeremy Fox »

Une femme de tête - Desk Set 1957

La comédie américaine avec le couple SpencerTracy/Katharine Hepburn probablement la moins connue et qui aurait pourtant mérité un petit coup de pouce car même si l'on est loin de l'intelligence et de la drôlerie des films de George Stevens ou George Cukor, la comédie de Walter Lang est non seulement charmante mais aborde des thématiques encore assez rares à l'époque, celles de la vie de bureau, de la productivité et de l'arrivée des ordinateurs qui risquent de remplacer les employés. Tout ceci est évidemment surtout un prétexte, le plus important étant l'histoire de cette vieille fille courtisée par un collègue de bureau mais qui va tomber amoureuse de l'homme qui vient superviser la mise en place des ordinateurs. Ce n'est pas hilarant, le rythme est loin d'être échevelé mais la beauté du Scope-couleur, le talent de tous les acteurs et le charme de l'histoire font passer un très bon moment.
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Jeremy Fox
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Re: Walter Lang (1896-1972)

Message par Jeremy Fox »

Jeremy Fox a écrit : 24 oct. 08, 23:09


With a Song in my Heart (1952)

Grosse déception que ce biopic sur la chanteuse Jane Froman qui fut victime d'un accident d'avion au dessus du Portgal alors qu'elle entamait une tournée en pleine Seconde Guerre Mondiale. Paralysée d'une jambe, elle luttera pour s'en sortir et continuera à chanter surtout pour les G.I. ! Comme il a été déjà dit ailleurs, la mise en scène de Walter Lang est loin de faire des étincelles et Lamar Trotti n'a pas écrit un scénario inoubliable. L'ensemble est bien trop plan-plan, les dialogues sont quelconques et si l'ennui ne nous gagne jamais, c'est parfois limite. Heureusement, le casting est là pour nous tenir éveillé, le toujours aussi sympathique David Wayne en tête (son histoire d'amour avec Susan Hayward est parfois assez touchante) et l'inénarrable Thelma Ritter. Susan Hayward réalise une belle performance pourtant en deça de ce que j'en attendais ; ceci est certainement du en partie à Jane Froman elle-même qui a doublé l'actrice lors des parties chantées et dont j'avoue ne pas du tout accrocher à son style de voix, ce qui m'a pas mal gâché les numéros musicaux excepté l'entrainante et émouvante séquence finale qui, bien que jouant à fond sur le patriotisme, est vraiment très réussie.
Aucun changement dans mes avis de l'époque sur tous les autres films du réalisateur sauf sur celui-là que je réévalue à la hause car si effectivement la mise en scène de Lang est le point faible du film et même si le style de chant de Jane Froman n'est toujours vraiment pas ma tasse de thé, la sensibilité habituelle de Lamar Trotti qui nous a dépeint ici un trio oh combien touchant à l'aide de trois formidables comédiens (David Wayne /Thelma Ritter / Susan Hayward) fait que l'ensemble se suit vraiment avec plaisir.
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Beule
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Re: Walter Lang (1896-1972)

Message par Beule »

Music Man a écrit : 18 oct. 09, 18:19 MAMAN ETAIT NEW LOOK (mother wore tights) de Walter LANG - USA - FOX -1947
Avec Betty GRABLE, Dan DAILEY, Mona FREEMAN

L’attendrissante histoire d’un couple d’artistes de music hall à la fin du 19ème siècle et les soucis rencontrés auprès de leur fille aînée, qui a honte de leur situation.

En France, on a vraiment eu tort de sous-estimer si longtemps les comédies musicales de la Fox en portant toujours au pinacle les productions de la MGM, certes fabuleuses.
Car ce Maman était new look est une vraie réussite (du moins dans sa première partie). En dépit d’un répertoire très daté, les numéros musicaux plein de charme et d’humour passent sans aucun mal la rampe servi par le couple Betty Grable/Dan Dailey dont l’alchimie est parfaite. La rencontre entre le débonnaire séducteur Dan Dailey (vraiment parfait ici) et Betty Grable est contée de fort jolie manière et bien amenée par Walter Lang. Si Dan Dailey danse beaucoup mieux que sa partenaire, le tandem fonctionne parfaitement en raison de leur simplicité et sincérité ; les numéros dansés (Kokomo Indiana) sont délicieux et très colorés.
Le rythme ralentit un peu hélas par la suite, le film prenant une tournure très familiale et sentimentale. Pourtant dans la scène finale où la fille se réconcilie avec ses parents en reprenant publiquement une de leurs chansons hyper sirupeuses, Grable et Dailey, sont si crédibles et touchant, qu’on en presque comme eux les larmes aux yeux. En somme le but est parfaitement atteint : une sortie en DVD officiel serait pleinement justifiée.
Même Sentiment. À ceci près que je ne goûte pas du tout la reprise de You do par Mona Freeman lors du tableau de la remise des diplômes, statique, sirupeux et visuellement assez repoussant.

Mais toute la première partie est vraiment très recommandable. Joliment coulé dans une reconstitution d'époque plastiquement très stimulante, c'est vif, plein de malice à l'image des séquences de séduction, originales et servies par des dialogues pétillants. La complicité palpable de Dan Dailey et Betty Grable fait alors merveille. Même si les chansons n'ont rien d'exceptionnel, celles signées du tandem Myrow/Gordon (This is My Favorite City et le gimmick rigolo qui lui est associé, l'enchaînement We're a Couple of Broadway Brothers /Kokomo, Indiana...) se révèlent néanmoins diablement entraînantes. Et les chorégraphies sont au diapason : humbles (c'est du pur vaudeville que la caméra de Lang se contente d'accompagner dans ses mouvements scéniques latéraux) mais dynamiques, et colorées avec un goût certain. En un mot, revigorantes.

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Alexandre Angel
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Re: Walter Lang (1896-1972)

Message par Alexandre Angel »

Cité dans 50 ans de cinéma américain comme "assez réussi" et remportant un autre triomphe au box office suite au carton de Coney Island, qui est jugé excellent.
C'est la période star de Betty Grable.
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.

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Beule
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Re: Walter Lang (1896-1972)

Message par Beule »

You're My Everything (1949)

Durant les années folles, une jeune fille de la haute société bostonienne en vient à épouser son idole à la scène, un enfant de la balle de souche irlandaise. Chanteur et danseur, il est pourtant repéré par un chasseur de tête qui l'invite à tenter sa chance à Hollywood dans le cinéma muet. Durant son bout d'essai, Hannah est amenée à lui donner la "réplique", et c'est elle que le studio choisit de prendre sous contrat. Tim revient à ses premières amours tandis qu'Hannah s'impose en quelques années en émule de la "It Girl" Clara Bow. Mais avec l'arrivée du parlant, elle se retire. C'est alors Tim qui, profitant de la vague de musicals qui inondent les écrans, se voit un temps propulsé sous les feux de la rampe cinématographique. Mais quand, vers la fin des années 30, Tim décide de porter leur fille au firmament du cinéma hollywoodien, le couple jusqu'alors si uni se déchire...

Trois ans avant Singin'in the Rain, cette comédie musicale aujourd'hui ignorée pour ne pas dire méprisée (forcément, black face inside) se posait en pionnière de l'exploration du monde du cinéma à ses balbutiements. L'acuité "documentaire" n'est pas la même bien sûr, mais il n'en reste pas moins que le script de Lamar Trotti et Will Hays (adapté d'une histoire de George Jessel, lui-même enfant de la balle et futur producteur de Anne of the Indies et Wait till the Shun Shines, Nellie) se montre très adroit pour exposer les rouages qui firent et défirent les gloires éphémères au gré, non seulement des mutations technologiques de l'industrie, mais aussi et surtout des modes relayées par la production du 7ème art. Il se montre tout aussi adroit pour offrir une porte de sortie convaincante à Anne Baxter (il serait difficile d'entendre sur ce qu'elle affiche dramatiquement et vocalement qu'elle ne pourrait franchir le cap du parlant), qui choisit de se retirer, rincée par l'enchaînement des projets, plutôt qu'elle n'est poussée vers la sortie, que pour témoigner de la passion de Tim pour son art, lui qui sera balloté de la scène à l'écran sans jamais manifester la moindre trace d'amertume : Quelle que soit son expression, The show must go on.

Toute aussi précieuse est la lucidité affichée par ce pur film de studio quant aux risques qui guettent les enfants stars façon Shirley Temple (que Lang connaissait bien pour l'avoir dirigée au même âge et à la même époque dans The Little Princess) qui sert de modèle évident à la petite Jane (Shari Robinson).

Tranche de vie paisible et (presque) sans heurts exaltant un amour inconditionnel que ni les différences de classe ni les inévitables séparations professionnelles ne sauraient entacher, ce musical est un petit délice tout en sensibilité, servi par une distribution aux petits oignons. Si Baxter et Dailey sont naturellement parfaits de bout en bout, le charme et l'authenticité du film doivent aussi beaucoup à Stanley Ridges en patron de studio très humain, à Alan Mowbray en réal à l'ancienne, et plus encore à une très mémorable Anne Revere, en tante à l'allure revêche recélant un cœur gros comme ça. J'ajoute à cela que les numéros chorégraphiés, relativement peux nombreux et toujours scéniques, dispensent une bonne humeur contagieuse, et qu'au moins l'un d'entre eux se hisse à un niveau d'excellence : l'épatant Chattanooga Choo Choo où malgré son allure dégingandée, Dailey, encadré des Berry Brothers, se livre à un numéro de taps et d'acrobaties d'une rare fluidité, exubérant et jouissif.

Clairement pour moi le meilleur de ce que j'ai pu voir de Walter Lang jusqu'ici, et de loin.

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Beule
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Re: Walter Lang (1896-1972)

Message par Beule »

Alexandre Angel a écrit : 7 avr. 24, 18:19 Cité dans 50 ans de cinéma américain comme "assez réussi" et remportant un autre triomphe au box office suite au carton de Coney Island, qui est jugé excellent.
Ça tombe bien, j'ai prévu de la voir sous peu (Coney Island).
Même si George Montgomery pour Dan Dailey, je ne sui pas certain qu'on gagne au change :?

Rien trouvé dans leur dico sur You're My Everything, par contre. Mais l'édition que je possède aujourd'hui est l'originale en 2 gros volumes cartonnés.
Possible qu'elle ait fait l'objet d'un survol dans les maj ultérieures ?
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Alexandre Angel
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Re: Walter Lang (1896-1972)

Message par Alexandre Angel »

Beule a écrit : 7 avr. 24, 19:31 Mais l'édition que je possède aujourd'hui est l'originale en 2 gros volumes cartonnés.
D'ailleurs, petite parenthèse, dans quel état ? :fiou:
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.

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Re: Walter Lang (1896-1972)

Message par Beule »

Couci-couça.
Très très même...
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Alexandre Angel
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Re: Walter Lang (1896-1972)

Message par Alexandre Angel »

ouf :D
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.

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Re: Walter Lang (1896-1972)

Message par Beule »

Pourquoi, tu t'apprêtais à faire une offre que je n'aurais pas pu refuser ? :mrgreen:

Bon, sinon pour Coney Island (1943), je l'avais déjà vu et complètement oublié.
Je suis loin de partager l'enthousiasme de Coursodon et Tavernier :(
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