francesco a écrit :
- Spoiler (cliquez pour afficher)
- Spoiler (cliquez pour afficher)
Modérateurs : cinephage, Karras, Rockatansky
francesco a écrit :
- Spoiler (cliquez pour afficher)
Wagner a tenu la chandelle...Wagner a écrit :Le mariage fut largement consommé, aucun doute là-dessus.
La pauvre... (incidemment : elle se la donnait, en français )Eusebio Cafarelli a écrit :J'ai découvert ça (la vidéo de gauche, c'est un extrait, celle de droite est complète)
http://www.ina.fr/recherche/recherche?s ... &vue=Video
Ah, nostalgie...
Chez Grace Kelly peut-être...Alligator a écrit : Cette actrice était trop belle pour pareil rôle. A-t-on jamais vu plus subjugante finesse et éclat des traits?
Dans le fabuleux Shanghai Gesture, elle irradie mais se montre plus inquiète et inquiétée qu'inquiétante (la grande figure inquiétante, c'est Ona "Mother Gin Sling" Munson). Par contre, dans Le fil du rasoir, alors là...Profondo Rosso a écrit :Péché Mortel de John M. Stahl (1945)
Une femme douce, aimante, attentionné et qui en plus arbore les traits charmant de Gene Tierney qui n'en rêverait pas ? Ce film au croisement du thriller et du mélodrame joue donc ainsi autant de la facette douce et séductrice de la star que de son aspect le plus vénéneux dans son rôle le plus inquiétant avec le Shanghai Gesture de Von Sternberg.
C'est bien simple, la première fois, en découvrant la séquence de la rencontre dans le train, j'ai cru voir deux rayons laser traverser le journal de Cornel Wilde, puis l'écran et j'ai eu un décollement de rétine !Profondo Rosso a écrit : La part lumineuse intervient dans la première partie où Gene Tierney arbore une allure de déesse, ses yeux bleu acquièrent un magnétisme quasi surnaturel, ses traits n'ont jamais paru plus fin et son teint plus doux.
Pourtant si on a été attentif on aura déjà pu deviner les zones d'ombre dès la première rencontre où Gene Tierney observe longuement Cornel Wilde d'un regard intense, malade et déjà possessif comme un serpent hypnotisant sa proie. Une beauté inhumaine en forme de piège redoutable qui va le happer.
C'est même assez miraculeux que les censeurs aient laissé passer autant de séquences extrêmes. Eux aussi ont du se faire hypnotiser par la mante aux yeux aigue-marine.Profondo Rosso a écrit : Si on devine un Code Hays qui a dû certainement atténuer une teneur sexuelle probablement bien plus marquée, pour le reste on reste assez stupéfait devant la cruauté absolue déployée par Gene Tierney pour arriver à ses fins : meurtre, infanticide et une assez machiavélique vengeance d'outre tombe finale.