Kay Francis (1905-1968)

Rubrique consacrée au cinéma et aux films tournés avant 1980.

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riqueuniee
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Re: Kay Francis (1905-1968)

Message par riqueuniee »

Julien Léonard a écrit :Eh bien le moins que l'on puisse dire, c'est que tu m'as sacrément donné envie de le voir... :shock:
Même chose pour moi. Ne serait-ce que pour la scène finale...
francesco
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Re: Kay Francis (1905-1968)

Message par francesco »

Ann Harding a écrit :Oh oui, il est vraiment beau ce film. 8) Il va falloir que je revois aussi Jewel Robbery où Powell et Francis sont à nouveau réunis pour une comédie pétillante. :)
Je n'ai pas vu Voyage sans retour (je suis bien d'accord avec Julien et Riqueunie sinon) mais je confirme que Jowel Robbery est un délicieux morceau de comédie et qu'ils font preuve tous les deux d'un charme fou.
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Ann Harding
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Re: Kay Francis (1905-1968)

Message par Ann Harding »

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Jewel Robbery (1932, William Dieterle) avec Kay Francis, William Powell, Henry Kolker et André Luguet

A Vienne, Teri (K. Francis) est mariée à un riche baron (H. Kolker) avec lequel elle s'ennuit profondément. Alors qu'elle est dans une bijouterie avec son mari, le magasin est mis à sac par un gentleman cambrioleur (W. Powell)...

Cette comédie sophistiquée signée William Dieterle est un Pre-Code délicieusement immoral. William Powell est un voleur de très grande classe qui arrive dans une bijouterie avec ses complices, tous tirés à quatre épingles, pour vider le contenu des vitrines avec un soin méticuleux tout en écoutant Le beau Danube bleu de Strauss sur un phonographe. Il repère immédiatement (et elle aussi) la charmante Kay Francis. Leurs dialogues sont cousus de sous-entendus risqués. Ils s'amusent tous deux comme des fous à ce marivaudage sophistiqué. Le film a un rythme sautillant et c'est vraiment une vraie bouffée de bonheur. Certaines scènes sont absolument hilarantes comme lorsque Powell offre une cigarette au bijoutier. Cette cigarette contient une drogue qui provoque une crise d'hilarité chez le fumeur. Les cigarettes seront ensuite essayées par le chef de la police qui va lui aussi totalement perdre la tête. Le gentleman-cambrioleur s'introduit ensuite chez Kay Francis qui trouve l'aventure terriblement excitante (bien entendu, sans l'avouer). Une série d'actes manqués sont là pour signaler le désir qui anime les deux personnages : elle coince la bas de sa robe dans la porte de sa chambre qu'elle a vérouillée et elle lui fait tomber un révolver sur le pied. La belle Kay est ensuite emmenée dans la garçonnière de Powell (en lui faisant croire que c'était la police qui l'emmenait) qui a prévu un petit souper galant. Le film se termine sur une pirouette avec la belle Kay qui va aller rejoindre son gentleman-cambrioleur sur la Côte d'Azur. Le dialogue est absolument délicieux et les deux interprètes jouent leurs scènes avec un talent et un charme remarquables. Un des meilleurs films de la période des Pre-Codes.
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Re: Kay Francis (1905-1968)

Message par feb »

Jewel Robbery - William Dieterle (1932)
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Très difficile pour moi de passer après les critiques de Cathy et de Ann concernant ce petit bijou qu'est Jewel Robbery :shock: Que rajouter à propos de ce film aussi moderne, au rythme parfait et dont les dialogues remplis de sous-entendus font mouche à chaque fois. Kay Francis, que je découvre pour la première fois, est incroyable de modernité : son jeu devant la caméra, sa facilité à changer très rapidement son style de jeu et un timbre de voix très agréable. L'actrice est ici de quasiment toutes les scènes et il faut reconnaitre qu'elle est parfaite dans ce rôle de comtesse parfaitement dans le style Pré-Code : mariée à un homme plus âgé uniquement pour son argent, elle avoue librement avoir des amants, ne s'interesse qu'aux très gros bijoux et se prend au jeu de la séduction avec le gentleman cambrioleur dont elle tombe rapidement amoureuse. Ce film de la Warner baigne dans un style Pré-Code "raffiné" où les femmes sont libres, où les otages se voient proposer des cigarettes "qui font rire" pour oublier le casse qui vient d'avoir lieu et surtout où l'homme et la femme discutent librement sur le futur lit conjugal...avec des sous-titres où il faut lire entre les lignes :mrgreen:
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En face de cette excellente Kay Francis, on retrouve un non moins excellent William Powell qui réalise son numéro de gentleman séducteur habituel et qui colle parfaitement à son personage : classe, charmeur, délivrant son texte lors de la séquence de cambriolage avec une facilité déconcertante (et avec sa voix si particulière) et offrant surtout ses mimiques habituelles devant la caméra. L'acteur propose ici un condensé de tout ce qui fait son charme et prépare ce que l'on retrouvera avec plaisir à la MGM lorsqu'il fera face à Myrna Loy, Jean Harlow ou Joan Crawford...le duo d'acteur est impecable, l'alchimie saute aux yeux dès les premiers instants et se voit amplifiée par les jeux de regards, les silences entre les 2 acteurs et par la qualité des dialogues.
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Enfin pour couronner le tout, les seconds rôles sont aussi efficaces et participent grandement à l'atmosphère du film : mari, amants, amie, policiers ou complices, tous sont parfaits dans leurs rôles et une fois de plus la qualité des dialogues et la mise en scène parfaitement travaillée de William Dieterle exploitent chacun de ces personnages avec brio. Pour rester dans le cadre du film, Jewel Robbery est une pierre parfaitement taillée et dont les qualités font qu'il peut prendre place parmi les meilleurs joyaux Pré-Code.
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Cathy
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Re: Kay Francis (1905-1968)

Message par Cathy »

C'est en voyant Jewel Robbery, que j'ai totalement craqué pour Kay Francis, je lui ai trouvé une modernité confondante, du jeu naturel, contrairement à d'autres actrices de l'époque :fiou: !
feb
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Re: Kay Francis (1905-1968)

Message par feb »

Cathy a écrit :C'est en voyant Jewel Robbery, que j'ai totalement craqué pour Kay Francis, je lui ai trouvé une modernité confondante, du jeu naturel...
Tu as parfaitement raison Cathy, c'est ce qui m'a "bluffé" dès le début du film, elle a une facilité devant la caméra qui explique pourquoi elle a été la reine de la Warner durant cette période : quelle classe dans ses déplacements, quelle facilité à sortir son texte, quelle modernité tout simplement.
...contrairement à d'autres actrices de l'époque :fiou: !
Je ne veux pas savoir à qui tu fais allusion....surtout si c'est pour parler d'une certain actrice suédoise et d'une actrice au léger strabisme :fiou: :mrgreen:
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Cathy
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Re: Kay Francis (1905-1968)

Message par Cathy »

feb a écrit :
Cathy a écrit :C'est en voyant Jewel Robbery, que j'ai totalement craqué pour Kay Francis, je lui ai trouvé une modernité confondante, du jeu naturel...
Tu as parfaitement raison Cathy, c'est ce qui m'a "bluffé" dès le début du film, elle a une facilité devant la caméra qui explique pourquoi elle a été la reine de la Warner durant cette période : quelle classe dans ses déplacements, quelle facilité à sortir son texte, quelle modernité tout simplement.
...contrairement à d'autres actrices de l'époque :fiou: !
Je ne veux pas savoir à qui tu fais allusion....surtout si c'est pour parler d'une certain actrice suédoise et d'une actrice au léger strabisme :fiou: :mrgreen:
En tout cas certainement pas la première :fiou:
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Re: Kay Francis (1905-1968)

Message par francesco »

Bon alors je vais réconcilier tout le monde : on peut aimer à la fois Kay Francis et Norma Shearer. D'ailleurs elles ont quelques points communs en fait, au niveau du glamour, de l'élégance et du registre "femme torturée en robe de satin" qu'elles ont beaucoup exploité à certains moments de leur carrière. Même si Francis est beaucoup plus réservé et distante dans son jeu que Shearer elle a quand même ce côté "Diva de l'écran" qui fait le charme de ce type d'interprètes spécialistes du Women's picture (qualité qui fait cruellement défaut à d'autres dont nous ne parlerons pas ici :uhuh: :fiou: )

A noté d'ailleurs que les goûts ont vraiment beaucoup évolué parce qu'à l'époque Francis était considérée comme une actrice plutôt limitée (je ne suis pas d'accord du tout). On la surnommait le "porte manteau de la Warner" parce qu'on disait que le public venait surtout pour la voir dans de belles tenues et elle n'a jamais été nommée aux oscars, par exemple. C'était Ruth Chatterton l'actrice dramatique du studio.
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Re: Kay Francis (1905-1968)

Message par feb »

francesco a écrit :Même si Francis est beaucoup plus réservé et distante dans son jeu que Shearer elle a quand même ce côté "Diva de l'écran" qui fait le charme de ce type d'interprètes spécialistes du Women's picture (qualité qui fait cruellement défaut à d'autres dont nous ne parlerons pas ici :uhuh: :fiou: )
Des noms francesco ! :evil: Je crains le pire :mrgreen:
A noté d'ailleurs que les goûts ont vraiment beaucoup évolué parce qu'à l'époque Francis était considérée comme une actrice plutôt limitée (je ne suis pas d'accord du tout). On la surnommait le "porte manteau de la Warner" parce qu'on disait que le public venait surtout pour la voir dans de belles tenues et elle n'a jamais été nommée aux oscars, par exemple. C'était Ruth Chatterton l'actrice dramatique du studio.
Et bien pour avoir en peu de temps visionné un film Pré-Code Warner avec chacune des 2 actrices, je dois dire que je suis tombé sous le charme de ces 2 femmes au jeu bien différent certes mais tellement agréables à voir à l'écran.
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Re: Kay Francis (1905-1968)

Message par francesco »

Ce n'était pas une allusion à Garbo :mrgreen:
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Re: Kay Francis (1905-1968)

Message par Kimm »

si le film n'avait été réalisé par William Dieterle, j'aurai pensé à Ernst Lubitsch (comme DESIR, de Frank Borzage, avec Marlène).

Autre aspect, purement vestimentaire: Kay porte une robe au très large décolleté et je me demandais comment elle pouvait tenir, vu qu'elle ne repose pas sur les épaules et le bustier semble souple....si qqun à une réponse....,? :?:
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Re: Kay Francis (1905-1968)

Message par feb »

Ann Harding a écrit :One Way Passage (Voyage sans retour, 1932) de Tay Garnett avec Kay Francis, William Powell, Frank McHugh, Aline McMahon et Warren Hymer

Dan (W. Powell) et Joan (K. Francis) se sont rencontrés alors qu'ils traversent le Pacifique de Hong-Kong à San Francisco. Ils tombent amoureux l'un de l'autre. Mais, ils savent que leur histoire sera sans lendemain. Joan est gravement malade et Dan est un criminel recherché par la police voué à la peine de mort...
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Ce film produit par la Warner est un délice. Dès les tous premiers plans, on sait qu'on va passer un moment tout à fait exceptionnel. La caméra se promène, arérienne, dans un bar de Hong Kong, s'attarde un moment sur un groupe de trois chanteurs qui ramassent les pièces qu'on leur jette, puis poursuit le long d'un comptoir où un barman loquace prépare un cocktail. Nous découvrons Dan (W. Powell) qui trébuche face à une femme inconnue, Joan (K. Francis), et au premier coup d'oeil tombe amoureux. Ce simple prémisse est le début d'un des plus beaux films d'amour produits par Hollywood. Nous sommes sur un paquebot en partance pour San Francisco et le voyage de ces deux condammnés sera leur dernière étincelle avant la fin de leur existence. En contrepoint de cette histoire d'amour poignante, il y a le couple comique et nettement moins élégant formé par Aline McMahon, en aventurière qui se fait passer pour une comtesse, et Frank McHugh, un pick-pocket toujours alcoolisé. Le comique apporté par ces deux acteurs permet au film d'échapper aux conventions du mélodrame. McHugh passe tout le film à boire (au goulot) et McMahon chaparde avec dextérité dans les poches de ses victimes. Powell et Francis forment le couple le plus élégant qui soit avec une sorte d'ironie légère et sophistiquée. La concision même du film est l'une de ses qualités premières. Il n'y a pas de sentimentalisme excessif et on reste dans une sorte d'apesanteur durant ces délicieuses 67 min. Le plan final du film est inoubliable: deux verres se brisent sur un comptoir à Agua Caliente où les deux amants s'étaient donnés rendez-vous, tout en sachant qu'ils ne pourraient s'y rendre. Cependant ces deux verres signifient qu'ils ont réussi à venir de l'au-delà. Un vrai bonheur.
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Ann Harding a mille fois raisons, je viens juste de voir le film et c'est un pur bonheur. Avec Jewel Robbery et One Way Passage, le duo Kay Francis/William Powell a tourné dans 2 films parfaits c'est pas plus compliqué.
Le film de Garnett est d'une élégance et d'une finesse rare, à l'image de Kay Francis dans le film, et sa caméra accompagne magnifiquement ces 2 personnages au destin tout tracé, qui vont profiter de cette croisière pour vivre dans un paradis qui leur est propre : c'est léger, c'est émouvant, c'est d'une simplicité déconcertante et on plonge dans le film dès la rencontre entre Dan et Joan.
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William Powell est toujours aussi classe, élégant et s'avère être l'acteur idéal pour ce type de rôle où le personnage doit jongler entre la réalité et le "mensonge". En face de lui, Kay Francis est impeccable tout simplement. L'actrice est élégante, douce et tellement naturelle dans son jeu que chacune des scènes où elle apparait est un bonheur...après Jewel Robbery, que dire sinon que Kay Francis est une magnifique actrice dont j'aimerais découvrir beaucoup plus et en priorité Trouble in Paradise :D
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Le film de Garnett est également un nouvel exemple de film Pré-Code mais il se classe plus volontiers dans le domaine du Pré-Code "élégant" : l'alcool coule à flot, les voleurs vivent bien mais tout est présenté avec beaucoup de finesse. Le film se présente comme un contre-exemple d'un film comme Baby Face ou 3 on a match en se focalisant plus sur une histoire d'amour parfaitement mise en image (très belle photo N&B) que sur tout ce qui fait la force des films Pré-Code habituels et c'est là aussi la force de One Way Passage...William Powell est condamné à la potence pour meurtre mais ce voyage retour est pour lui l'occasion de vivre une histoire d'amour qui efface son passé aux yeux de Joan et qui lui permet de s'évader une dernière fois avant de retrouver cette trists réalité.
Cet homme et cette femme se sont rencontrés, se sont aimés, se sont quittés mais il savent qu'en se tenant la main une dernière fois ils se retrouveront....
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Jeremy Fox
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Re: Kay Francis (1905-1968)

Message par Jeremy Fox »

feb a écrit : que dire sinon que Kay Francis est une magnifique actrice dont j'aimerais découvrir beaucoup plus et en priorité Trouble in Paradise :D
Une véritable bulle de champagne que ce Lubitsch, le film qui m'a fait découvrir le réalisateur d'ailleurs. Sinon, ta jolie "mise en captures" de ce film à la "simplicité déconcertante" (le genre d'arguments qui m'attire ; je ne sais pourquoi mais j'ai pensé à The Clock de Minnelli en lisant ton texte) m'a donné l'idée de commencer à regarder la série des Thin Man. Ca n'a probablement rien à voir mais voilà :wink:
feb
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Re: Kay Francis (1905-1968)

Message par feb »

Jeremy Fox a écrit :Une véritable bulle de champagne que ce Lubitsch, le film qui m'a fait découvrir le réalisateur d'ailleurs. Sinon, ta jolie "mise en captures" de ce film à la "simplicité déconcertante" (le genre d'arguments qui m'attire ; je ne sais pourquoi mais j'ai pensé à The Clock de Minnelli en lisant ton texte) m'a donné l'idée de commencer à regarder la série des Thin Man. Ca n'a probablement rien à voir mais voilà :wink:
Et bien je ne peux que t'inviter à te lancer dans cette série et j'espère que tu l'apprécieras...sans doute as-tu vu dans le duo Powell/Francis, son équivalent MGM avec Powell/Loy :wink:
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Re: Kay Francis (1905-1968)

Message par daniel gregg »

Cà donne envie tout çà ! 8)
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