Peter Lorre (1904-1964)
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Je ocmmence a etre plutot perdu ce soir moi...
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En effet il reste quelques heures.... d'autant plus que je me suis levé il y a a peine 4h...
Je suis tout perdu en fait, apres avoir bosser 8 semaines de nuit, j'ai enchainé par 2 semaines de soir et une de jour... de quoi bousiller le sommeil...
Bon revenons a nos moutons.... ou a Peter Lorre...
Je crois que je vais essayer de regarder M cette semaine.
Je suis tout perdu en fait, apres avoir bosser 8 semaines de nuit, j'ai enchainé par 2 semaines de soir et une de jour... de quoi bousiller le sommeil...
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Désolé(e) !Lylah Clare a écrit :Mauvaise pioche, moi, c'est l'opposée de Someone 1600 !B. a écrit : Mais pour en revenir à Peter Lorre, le peu que je connais de ses prestations m'enchante. Je le trouve fabuleux dans Mad Love, et je préfère, comme mon camarade ci-dessus, la version de L'homme qui en savait trop avec lui à son remake des années 50
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C'est d'autant plus rageant quand il y a dans le film tous les ingrédients pour l'aimer... Je l'ai pourtant vu 2 fois. Chaque fois la même déception...Julien Léonard a écrit :Ah ça... ça nous arrive à tous avec certains films.Sybille a écrit :En y songeant, je me dis que c'est vraiment un beau film, mais pourtant quand je le vois, il ne me plaît pas.
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Le film date de 1940, et son réalisateur, Boris Ingster, a surtout oeuvré comme scénariste. Curieusement, à la fin de sa carrière il s'est retrouvé aux commandes de la calamiteuse troisième saison des Agents très spéciaux.
Stranger on third floor réapparaît de temps à autre sur les grilles du câble.
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Au risque de passer pour un fieffé trouduc, je bémolise l'initial Homme qui en savait trop.
Il est quasi impossible de découvrir ce film de manière impartiale quand on a vu et revu son remarquable remake. Difficile d'éviter les comparaisons pas vraiment à l'avantage de l'original. A part la magistrale et glaçante performance de Peter Lorre qui vaut à elle seule le visionnage du film, que reste-t-il? Peut-être quelques scènes (la messe et l'hypnose, le final sur le toit, le jeu des comédiens lorsqu'ils lisent les messages ou au téléphone) et plus certainement l'invention de celles qui seront plus tard reprises et magnifiées dans le remake (le fût du canon dans les rideaux, le coup de cimbales à l'Albert Hall). Un film qui m'a laissé sur ma faim cinématographiquement parlant mais un Lorre sublime.
Il est quasi impossible de découvrir ce film de manière impartiale quand on a vu et revu son remarquable remake. Difficile d'éviter les comparaisons pas vraiment à l'avantage de l'original. A part la magistrale et glaçante performance de Peter Lorre qui vaut à elle seule le visionnage du film, que reste-t-il? Peut-être quelques scènes (la messe et l'hypnose, le final sur le toit, le jeu des comédiens lorsqu'ils lisent les messages ou au téléphone) et plus certainement l'invention de celles qui seront plus tard reprises et magnifiées dans le remake (le fût du canon dans les rideaux, le coup de cimbales à l'Albert Hall). Un film qui m'a laissé sur ma faim cinématographiquement parlant mais un Lorre sublime.
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