Charlotte Rampling
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Ouh la la !!!! c'est ou ca?julien a écrit :On peut également s'interroger sur ses réels talents de photographe.
j'étudie toute proposition pour l'acquisition d'un appartement dans ce charmant immeuble cosy.
Tu peux la secouer tant que tu veux, la dernière goutte est toujours pour le pantalon. Vieux proverbe
- manuma
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Re: Rampling, Charlotte
BOOGIE WOOGIE (2009)
Charlotte Rampling n'apparait qu'une poignée de minutes ici, en avocate conseillère du personnage joué par Gillian Anderson. Elle y est très bien, comme d'ailleurs tous les interprètes de cette satire chorale du petit monde de l'art que devait initialement réaliser Dennis Hopper et qui cherche visiblement désespérément à ressembler à un film d'Altman. Sauf qu'on est ici dans une mauvaise copie du maître, souvent crispante, truffée de poncifs et de personnages tous plus détestables les uns que les autres.
Charlotte Rampling n'apparait qu'une poignée de minutes ici, en avocate conseillère du personnage joué par Gillian Anderson. Elle y est très bien, comme d'ailleurs tous les interprètes de cette satire chorale du petit monde de l'art que devait initialement réaliser Dennis Hopper et qui cherche visiblement désespérément à ressembler à un film d'Altman. Sauf qu'on est ici dans une mauvaise copie du maître, souvent crispante, truffée de poncifs et de personnages tous plus détestables les uns que les autres.
- manuma
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Re: Charlotte Rampling
ADDIO FRATELLO CRUDELE (1971)
Décors inspirés, photographie magnifique (de Storaro), mémorable score de Morricone et Charlotte Rampling au firmament de sa beauté. Le film ne propose donc pas rien, mais ça n'a pas suffi à me convaincre, et ce n'est pas la première fois, venant de Giuseppe Patroni Griffi, lequel m'avait déjà légèrement barbé avec son prétentieux Metti, una sera a cena. Là, c'est pareil, la réalisation se regarde un peu trop dans le miroir, met le paquet pour choquer - et j'avoue à ce titre que le gorissime final fait tout de même son petit effet - mais ça transpire l'arty à la mode, un peu vain, qui tourne court niveau réflexion, malgré un sujet fort, à la base.
Décors inspirés, photographie magnifique (de Storaro), mémorable score de Morricone et Charlotte Rampling au firmament de sa beauté. Le film ne propose donc pas rien, mais ça n'a pas suffi à me convaincre, et ce n'est pas la première fois, venant de Giuseppe Patroni Griffi, lequel m'avait déjà légèrement barbé avec son prétentieux Metti, una sera a cena. Là, c'est pareil, la réalisation se regarde un peu trop dans le miroir, met le paquet pour choquer - et j'avoue à ce titre que le gorissime final fait tout de même son petit effet - mais ça transpire l'arty à la mode, un peu vain, qui tourne court niveau réflexion, malgré un sujet fort, à la base.