Charlotte Rampling

Rubrique consacrée au cinéma et aux films tournés avant 1980.

Modérateurs : cinephage, Karras, Rockatansky

Avatar de l’utilisateur
Truffaut Chocolat
Rene Higuita
Messages : 6099
Inscription : 28 juil. 05, 18:33
Localisation : Deutschland

Message par Truffaut Chocolat »

Un charme so british quoique sa beauté froide ne m'a que rarement enthousiasmé. Sa carrière certes ponctuée de très grands films on fait d'elle une dame du cinéma contemporain, mais je m'interroge sur ses réels talents de comédienne, même dans un film comme Sous le Sable.
julien
Oustachi partout
Messages : 9039
Inscription : 8 mai 06, 23:41

Message par julien »

On peut également s'interroger sur ses réels talents de photographe.

Image
dortmunder
Assistant(e) machine à café
Messages : 254
Inscription : 28 nov. 05, 09:48
Localisation : Paris

Message par dortmunder »

julien a écrit :On peut également s'interroger sur ses réels talents de photographe.

Image
Ouh la la !!!! c'est ou ca?
j'étudie toute proposition pour l'acquisition d'un appartement dans ce charmant immeuble cosy.
Tu peux la secouer tant que tu veux, la dernière goutte est toujours pour le pantalon. Vieux proverbe
Avatar de l’utilisateur
manuma
Décorateur
Messages : 3692
Inscription : 31 déc. 07, 21:01

Re: Rampling, Charlotte

Message par manuma »

BOOGIE WOOGIE (2009)

Image

Charlotte Rampling n'apparait qu'une poignée de minutes ici, en avocate conseillère du personnage joué par Gillian Anderson. Elle y est très bien, comme d'ailleurs tous les interprètes de cette satire chorale du petit monde de l'art que devait initialement réaliser Dennis Hopper et qui cherche visiblement désespérément à ressembler à un film d'Altman. Sauf qu'on est ici dans une mauvaise copie du maître, souvent crispante, truffée de poncifs et de personnages tous plus détestables les uns que les autres.
Avatar de l’utilisateur
manuma
Décorateur
Messages : 3692
Inscription : 31 déc. 07, 21:01

Re: Charlotte Rampling

Message par manuma »

ADDIO FRATELLO CRUDELE (1971)

Image

Décors inspirés, photographie magnifique (de Storaro), mémorable score de Morricone et Charlotte Rampling au firmament de sa beauté. Le film ne propose donc pas rien, mais ça n'a pas suffi à me convaincre, et ce n'est pas la première fois, venant de Giuseppe Patroni Griffi, lequel m'avait déjà légèrement barbé avec son prétentieux Metti, una sera a cena. Là, c'est pareil, la réalisation se regarde un peu trop dans le miroir, met le paquet pour choquer - et j'avoue à ce titre que le gorissime final fait tout de même son petit effet - mais ça transpire l'arty à la mode, un peu vain, qui tourne court niveau réflexion, malgré un sujet fort, à la base.
Répondre